L'ombre De La Lune

Les aristochats.

Lovely POV

Vous savez en tant que grande amatrice de série policière, je dois avouer que je vivais le meilleur moment de ma vie. J'étais présentement sur la "scène du crime" qui se trouva être un immense coffre fort avec un pupitre au milieu de la salle. Question : Comment fait-on pour rentrer et sortir d'un endroit pareil sans être repéré ? S'il y a bien une chose que j'ai apprise durant toutes ces heures passées à regarder : CSI, Rizzoli & Isle, NCIS, Esprit Criminel, et j'en passe, c'est que si tu veux trouver ton coupable, connais d'abord la victime.
- Comment assurez-vous la sécurité du coffre ? Demandai-je au chaman responsable de nous faire visiter les lieux. Il se contenta d'hausser les épaules et d'ignorer mon existence.
- OK. Mackenzi, chérie aurais-tu l'amabilité de demander à notre guide comment ils assurent la sécurité de leur coffre. Criai-je au loup qui se trouvait dans l'allée sans quitter mon interlocuteur des yeux . Un grognement me répondit et mon interlocuteur sembla subitement prendre conscience de ma petite personne.
- Il y a des capteurs sensoriel sur le plancher et des rayons rouges mobiles, pour les désactivés il faut rentrer un code qui change toute les demi-heure et le personnel autorisé reçoit un texto codé avec ce nouveau code. Il y a une caméra au milieu de l'allée avec une vu 360 et les pièges à levier sont désactiver grâce à une empreinte digital, une reconnaissance vocale et une vérification de la rétine .
- Waw. Ça en fait beaucoup, j'en déduis que cette objet doit être très important.
- Oui, beaucoup trop pour qu'une humaine soit ...
- Qu'en est-il des êtres surnaturel ? Vous devez aussi avoir des protection contre eux. N'est-ce pas ? Il ne sembla pas apprécié que je l'interompe, mais bon, j'ai pas toute la journée non plus.
- Nous y avons pensé, les plus grand sorciers et sorcières ont jeté des sorts en tout genre pour prévenir ce genre d'incidents : un labyrinthe sans fin, un sort de congélation instantané, des sorts de tourmantes, nommés les on les à tous et aux prix qu'ils ont coûté ça m'étonne que pas un seul système n'est été activités.
- Que voulez-vous dire ?
- Ce que je veux dire, c'est que pas un seul protocole de desactivation a été enclenché et pas un seul piège n'a fonctionné. C'est comme si le livre était parti de lui-même.
- Ha ! Alors il s'agit d'un livre.
- Hum ... non ... ce n'est pas ... je veux dire ... en fait vous voyez ...
- Laissez tomber, d'ici la fin de l'enquête j'aurais appris tous les secrets de ce clan. En attendant, sortez le pupitre de la pièce. Un fois que le pupitre fut enlever, je m'assayai en tailleur par terre.
- Mais que faites vous, femme.
Je lui jetai un regard sévère et pris une grande inspiration, laissant mon pouvoir envahir la pièce. Il ecarquilla les yeux et s'agenouilla sous la puissance de mon pouvoir. Comme ça faisait longtemps que je ne l'avais pas utilisé, je du tâter un peu pour trouver un parfait équilibre.
- Qu'est-ce que vous êtes ?
- Aucune idée, mais je sais que c'est bien la dernière fois que tu m'appelles femme. Il hocha la tête, toujours à genoux. Bien, je ravallai un peu de mon pouvoir et le laissai se relever. Maintenant, tu vas me laisser seul dans la pièce et activer tous les protocoles de sécurité. Reviens me chercher dans exactement une heure et que personne à part Mackenzi ne me touche.
- À vos ordres, dit-il avant de se précipiter à l'extérieur de la pièce.
Des que je vis les rayons rouges je pris une grande inspiration, fermai les yeux et entrai dans une transe quasi total pour mouvoir les molécules afin qu'il me ramène 5 mois dans le passé. Je vous expliquerai plus tard.

    J'étais présentement dans le coffre et j'observais : tout étais parfaitement silencieux je ne remarquais rien de particulier et ce fut ainsi jusqu'à ce que j'entendisse un murmure, ou plutôt un sifflement, oui quelqu'un fredonnait " tout le monde veut devenir un cat " des aristochats, ensuite je vis une forme se mouvoir. Il s'agissait d'un homme, habillé en costume bleu marin et un chapeau assorti qui se dirigeait en dansant vers le livre. Au debut je ne comprenais pas comment il fesait pour ne déclencher aucune alarme, mais en faisant plus attention je me rendis compte que les rayons lui passait au travers, et il ne marchait pas sur le plancher, mais il glissait dessus.
- Tout le monde veut devenir un cat parce qu'un chat quand il est cat retombe sur ces pattes. Tout le monde veut... ha , mais qui es-tu toi ? on m'avait pourtant affirmer que personne ne veillait sur le livre.  
Demanda-t-il en me regardant.
- Vous pouvez me voir ?
- Chéri, je suis un elemental, spécialité air, je contrôle chaque respiration, chaque déplacement de chaque molecule,  dit-il en deplacant sa main dans le vide ,alors pour répondre à ta question, non , je ne te vois pas, je te perçoit plutôt.
- Que faites-vous ici ?
- Je vole le livre du destin, c'est évident.
- Bien sur, comment vous appeler vous ?
- Non, c'est à mon tour,maintenant, je ne reconnaît pas votre magie. Qu'est-ce que vous êtes ?
- Je ne sais pas, répondis-je franchement . mais je peux faire beaucoup de chose.
- Pouvez-vous m'empêcher de prendre ce livre ? fit-il en haussant un sourcil
- Peut-être, mais ce n'est pas la raison de ma présence, de là où je viens vous l'avez déjà fait.
Il resta un moment sans rien dire, paralysé, finalement il jeta un regard dans ma direction, semblant comprendre quelque chose,  souri et pris le livre.
- Nous nous reverrons bientôt.
Quelqu'un cria mon nom, je n'arrive pas à croire que cela fasse déjà  faire une heure.
- Alchimiste, dit-il  a mon intention,  mon nom est Aíolos. Nous nous reverrons bientot et il me salua de son chapeau en s'eloignant avec le livre.   : '' Tout le monde, tout le monde  veut devenir un cat, alléluia, alleluia, tout  le monde veut devenir un cat, Hahaha, alleluia, alleluia, tout le monde veut devenir un cat. ...  '' et sa voix se tamisait au fur et  à mesure qu'il disparaissait.

Quand je rouvris les yeux, je me retrouvai nez à nez avec ce loup qui m'avais poussée au mariage. J'étais partie  pour une raison, mais une seule idée hantait mon esprit : Je meurs d'envie de revoir les aristochats.

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