Waffles

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LovelyPOV

Je ne m'étais pas rendue compte à quel point j'avais faim avant que ma première gaufres ne soit placée devant moi. Après avoir discuté avec Mackenzie, j'ai décidé de rester pour l'aider, en échange j'aurais un accès absolue à sa bibliothèque et à toutes les données qui pourrait me servir, mais en réalité, je restais parce que depuis notre " union forcée " je m'étais rendue compte que j'avais retrouvé quelques choses et j'étais bien décidé à savoir quoi.
- OH OUI ! Ce truc est trop bon. Quand on divorcera, je partirai avec la recette. Dis-je avant de prendre une seconde bouchée et de soupirer d'extase. Je sais que manger des gaufres à 10h30 du soir n'aidera pas ma silouette, mais c'est tellement bon. Je portais désormais un énorme t-shirt qui m'arrivait au niveau des genoux et j'étais encore surprise d'avoir trouvé quelque chose qui m'irait dans sa garde robe, ce genre de chose n'arrivait qu'aux jolies mannequin qu'on voyait dans les films ou revu magasine. Et vous pourriez vous demander : " Ou sont passés tes affaires Lovely ? " Et bien j'ai laissé mes vêtements de rechange dans la foret puisque je devais choisir entre un loup blessé et mes chandail de laine.
- Pour quoi faire ? Tu pourrais forcer la cuisinière à te la donner . Mackenzie était un peu grincheux parce que j'avais refusé de contraindre toute sa meute à répondre à ses questions. J'avais beau lui expliqué les risques reliés à l'utilisation excessif de ceux-ci, il n'en avais rien à faire.

Flash-back ( quelques heures plutôt dans la chambre )

- Si jamais tu devenais un danger pour toi ou pour les miens, je t'enfermerais dans ma tour. M'avait-il répondu.
- Comme si serait suffisant.
En plus si je me mettais à contraindre des gens, comme ça sans raison, je penses que c'est maintenant que j'aurais besoins de cette tour.

Fin du Flash-back. Retour au présent.

- Je t'ai déjà expliqué que. ..
- Ouais ouais ! Plus tu utilises tes pouvoirs plus il t'es difficile de rester humaine.
- Bon puisque tu sais.
- Parlons d'autre chose. Demain soir, je convoquerai tout le monde et te présenterai à la meute comme leur nouvelle Oméga. D'ici là, je t'en prie essaie d'être discrète. D'accord ?
À cet instant, un homme et une femme entrèrent dans la pièce et quand ils me virent il se ruèrent vers moi. Je réussi à éviter le coup de griffe de la femme et me réfugiai derrière Mackenzie.
- CA SUFFIT ! cria-t-il, mais ça va pas ! Qu'est-ce qui vous a pris.
- Alpha, excusez-nous, le fait de savoir qu'on a tenté de vous tuer et cela sous notre nez, dit l'homme.
- Oui alors, en voyant cette étrangère, on a ... Bon vous voyez, dit la femme.
- Oui, essayer de m'égorger pour avoir manger une gaufre tranquillement dans mon coin. C'est tout à fait sensé. Dis-je avec sarcasme.
- Toi l'humaine, tu la ferme et tu te mêle de ce qui te regarde, concidere-toi chanceuse que je t'ai manqué. Me repondit brusquement la femme.
Je ne dis rien et décidai de lui laisser une seconde chance.
- Fais Attention Margot, il sagit de ton Omega. Informa Mackenzie.
Et pendant un instant, je crus réellement que Margot allait explosée. Elle devint rouge et dit avec un calme menacant.
- Vous êtes entrain de me dire que vous avez rejeté ma soeur pour une pathétique, vulnérables et répugnante humaine ?
Margot ne le remarqua pas la respiration de Mackenzie s'était légèrement accélérer et elle continua tandis que l'homme qui l'accompagnait commençait déjà à reculer et je fis de même.
- Cette grosse bécasse qui ne fera rien d'autre que vider les réserves de la meutes, et même la je ne suis pas sûr que ça lui suffira, ne sera qu'un poids lourd sur votre dos, dans les deux sens du terme.
Et sans même que je ne l'ai vu venir, elle se retrouva propulsé contre le réfrigérateur, Mackenzie se jeta sur elle et appuya son pied sur sa gorge, il était sur le point de lui briser la nuque quand l'homme se mit finalement à parler
- S'il-vous-plaît Alpha, épargner la.
- Tu as vu comment elle a manqué de respect à ma femme, je devrais lui arracher la langue Cedric
- Et elle le mériterait Alpha, mais je vous en prie, pour toutes ces années de loyaux services, épargner ma femme.
- Pour toi Cedric. Dit-il en la laissant partir. Elle se releva et me regarda avec tellement de mépris.
- Une dernière chose Cedric, ajoutai-je attirant ainsi leur attention, je ne vous connais pas, vous n'avez jamais rien fait pour moi et pareil pour votre charmante épouse. En l'occurrence, la prochaine fois qu'elle me manque de respect de cette façon, elle mourra. Vous n'aurez pas le temps de suppliez pour sa vie, ou de comprendre ce qu'il se passe, elle mourra voilà tout. Est-ce clair ?
Pas de réponse
- J'ai dit : Est-ce Claire ?
- Oui Oméga
- Bien sur ce, bonne journée . Leur dis-je avec un sourire.
Quand il s'en allèrent, je me tournai vers Mackenzie
- Discrète tu disais.

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Je suis vraiment vraiment vraiment désolée. En plus d'être ma première histoire. Je suis aux études et je travaille. Maintenant que c'est l'été je vais essayer d'écrire plus souvent. Sinon, vous pouvez commenter et me dire quel direction vous pensez que cette histoire devrait prendre. A plus.

L'ombre De La LuneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant