La soirée se passa calmement, même trop calmement. Aucun signe de Félix à l'horizon alors que ce rassemblement aurait été un parfait happât.
Je me tenais auprès de Peter à une table prés de la sortie pendant que Emma et Regina étaient à côté de la scène pour disposer d'une vue d'ensemble. Cette soirée était à mourir d'ennui.
- Peter, je suis vraiment désolé pour Wendy.
- T'inquiète, je n'avais pas de sentiments pour elle, je me sens juste bête de n'avoir rien vu venir. Et puis l'amour n'existe pas, c'est toi qui l'a toujours dis.
Il ne paressait vraiment pas triste, mais il était vrai que j'avais souvent nier l'existence de l'amour. Enfin, c'était avant lui. Avant que je ne tombe à ses pieds comme une vulgaire adolescente qui idolâtre une rock star.
- Oublis ce que j'ai dis dans le passé, l'amour existe je le sais et c'est grâce à... à toi.
J'accompagnai ma réplique en enlaçant sa main dans la mienne. Il me regarda intensément, je sentis la surprise et étonnamment de la douceur dans ses yeux. L'inquiétude s'empara de moi, qu'allait-il se produire à présent ?
J'avais beau m'en empêcher, je revenais toujours auprès de lui.
Nous demeurâmes ainsi de longues minutes, lorsqu'un claquement de doigt nous sorti de ce moment. Il s'agissait d'Emma, je me retournai et vit que Félix venait d'entrer.
Notre conversation s'acheva là à mon plus grand soulagement. Félix nous remarqua très vite et ressortit par la même occasion. Nous nous précipitâmes tous vers la porte, une course poursuite commençait.
Félix avait un longueur d'avance. Nous dévalions les rues de Storybrooke dans l'humidité de la nuit.
Il nous mena à un hangar où se trouvait les réserves des fournisseurs d'alimentation. Le bâtiment était métallique et fait de plusieurs dizaines de rangé d'étagères gigantesques. Un véritable labyrinthe, un avantage pour notre ennemi. Il se précipitait entre les étalages. Nous fûmes vite séparer les uns des autres. Je courais ne sachant vers où longeant cases et tonneaux.
Aucun bruit ne se faisait simplement des respirations essoufflés s'étendaient de temps à autre. Regina se trouvait à l'étage et Emma au suivant. Seuls Peter et moi restions au rez-de-chaussée étant la plus grande surface.
Je marchai en restant sur mes gardes lorsqu'un bac de framboises se renversa dernière moi. Je me redis et me retournai aussitôt. Il était là, juste en face de moi, à peine essoufflé et un regard triomphant. J'entrouvris la bouche mais il commença :
- Je sais que ce n'est pas toi qui à la sphère de Vénus bleue mais qu'il s'agit de ton cher amant qui en est en possession. Je te propose alors un marché. Tu m'aides à la récupérer et je te laisse la vie sauve. Qu'en penses-tu ?Je ne répondis pas tout de suite et leva un sourcil. Lorsque Peter bondit juste devant moi et conclut :
- Je pense que tu parles beaucoup trop Félix.
Il était en position de défense, l'air combattant mais l'intéressé reprit :
- Voyez vous cela ? Tu prends la défense de ta copine maintenant ? Tu as vite oublié Wendy. Mais là n'est pas le sujet. Katherine ?
Je relevai la tête à entente de mon prénom. Puis celui-ci plissa légèrement les yeux. Je sentis soudainement une brûlure atroce sur tout mon corps rougissant de douleur. Je hurlai de souffrance, mais Peter le stoppa :
- Arrête Félix !
Son visage redevint neutre et la brûlure s'estompa.
- Je ferais brûler ta petite amie vive si je n'ai pas la sphère bleue. Demain, à 17h sur le toit de Big Ben. Ne sois pas en retard !
Il se volatilisa la seconde suivante. Peter se retourna vers moi et se précipita afin de m'aider à me relever.
Emma et Regina arrivèrent trop tard, il fallut alors leur expliqué la situation.Dans le salon d'Emma nous réfléchissions tous ensemble à une possibilité de nous sauvé. Mais rien n'était possible, même pas les sortilèges de Regina. Félix était un être particulier puisque dans ses veines coulaient de la Vénus bleue. Il s'agissait de son élément, de sa puissance. Obtenir la sphère pouvais être nocive pour tous. Seul Peter en était sa possession. Au petit matin, après une nuit de réflexion. Nous rentames nous couché quelques heures.
Peter me laissa à ma chambre, avec un sourire soucieux. Après tout les épreuves et les ennemis que nous avions affronté il s'agissait de la première fois que nous étions impuissant. Avant qu'il ne s'en aille je lui ordonna de ma voix la plus douce :
- Peter, quoi qu'il n'arrive demain ne lui donne pas la pierre. Si demain est mon dernier jour il en serra ainsi. Mais il vaut mieux un mort plutôt qu'une centaine.
Il ouvrit la bouche dans l'ambition de protesté mais je continuai :
- J'ai nettement eu le temps de faire et de vivre de grandes choses. En 166 ans on a pas le temps s'enmerder. Avec toi j'ai passé les meilleurs moments de ma vie. Je t'en remercie, je t'aime...
J'accompagnai mes parole sur d'un délicat baiser sur son front puis fermai la porte avant de m'effondrer. Je saisis un stylo et une feuille de papier. Quoi qu'il arrive, demain tout allait changer...
Je me mis alors à écrire :••••••••••••••••
Un chapitre légèrement plus long, attendez les prochains événements.
Kiss !
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Éternellement à toi, Katherine.
FanfictionCher Peter, Si on m'avait dit que l'on se retrouverai un jour, je ne l'aurais certainement pas cru. Mais tu es aujourd'hui ma porte de sortie, mon dernier espoir. Retrouvons nous une dernière fois. K...