Carrison : Syndrome de Stockholm -TOME 2- (TERMINEE)

- C'était quand la dernière fois ? -

Pdv D'Harrison :

??? : Est-ce que mon connard de demi frère et avec toi ?

Putain c'est Noémie... Qu'est-ce qu'elle veut encore ?

Moi : Emy tu veux bien aller jouer dans ta chambre un peu et après je viens te rejoindre ?

Emy : Wiiii à tout a l'heure Hawii.

Elle court en direction de sa chambre et au même moment je vois ma demi soeur entrer dans le salon. Quand je vois son visage je n'en reviens pas. Elle saigne et a des bleus. Son ami semble très faible à la limite de l'agonie.

Moi : Qu'est-ce qui c'est passé ?

Noémie : Alors écoute moi bien espèce de connard ! Tu vois à la limite que tu me mette dans tes plans foireux à deux balles je m'en carre le cul mais là qu'on s'en prenne à mes potes je suis pas d'accord !

Moi : Quoi mes plans foireux ?

Noémie : Demande à Hugo et Hayden! Tu crois que c'est qui qui l'a rendu dans cet état ?

Moi : Ils sont où ?

Noémie : Dans leurs maison en ville peut être mort ou je sais pas trop.

Carrie : Attendez.... Pourquoi Hugo et son frère s'en prendrait à Sophie et Noémie alors que tu es sencé être mort Harri...

Noémie : Parce qu'ils doivent se douter de quelque chose et s'ils découvrent que tu es en vie déjà que Carrie n'est pas tranquille ça sera pire.

Carrie : Putain Harri tu me met toujours dans la merde !

Moi : Désolé... Il faut prévenir votre autre amie... Il faut que je vous mette sous protectio...

Sophie : Je ne comprends rien....

Carrie : On t'expliquera viens je vais te mettre dans mon lit pour te reposer...

Carrie amène Sophie je crois dans sa chambre et je me retrouve seule avec Noémie.

Moi : Tu m'en veux vraiment d'être partis ?

Noémie : Tu pose vraiment la question ?

Moi : Mais exprime toi bordel je ne peux pas tout deviner !

Noémie : Je n'ai rien à te dire. De toute façon dans ma tête c'est très clair tu n'est plus mon frère depuis que tu es parti comme le déserteur que tu es.

Moi : Je n'avais pas le choix !

Noémie : On a toujours le choix dans la vie !

Moi : Qu'est-ce qui c'est passé quand je suis partie ?

Noémie : Ma mère est morte d'un cancer un mois après.

Moi : Mamou est morte ?

Noémie : Oui. Et tu veux savoir le plus drôle ? C'est que ces derniers était pour toi ! Tu diras à Harrison que je l'aime comme mon propre fils et qu'il est l'enfant que j'aurais rêvé avoir.

Je la regarde dans les yeux. Je savais que sa mère m'avait toujours beaucoup apprécié mais pas au point de me préférer à sa propre fille.

Moi : Je suis désolé...

Noémie : Ouais bon bref moi je me casse. Je vais chez Océane la prévenir.

Moi : Ok... Fais attention à toi soeurette.

Noémie : Ferme ta gueule vraiment. Je ne suis pas ta soeur !

Et elle quitte l'appartement.

Carrie : Tu sais... Elle ne t'a pas tout dit...

Je sursaute car je ne savais pas qu'elle était là.

Moi : Tu m'a fais peur mon poussin.

Je m'approche d'elle et je l'a fais assoir sur mes genouxsur le canapé.

Moi : Raconte moi alors.

Carrie : Elle a vécu dans la rue pendant deux ans.

Moi : Ma soeur dans la rue ?

Carrie : Oui. Puis quand elle a eu 18ans elle a trouvé un bon travail et elle a réussi à remonter la pente.

Moi : Et toi ?

Carrie : Et quoi moi ?

Moi : Raconte moi ta vie...

Carrie : Et bien je ne parle plus qu'à mon frère et j'ai fuis ici pour me reconstruire.

Moi : Il fait que je réunisse mon gang et que je fasse sombrer les fett.

Carrie : Ne fait pas quelque chose qui risquerait de nous séparer encore.

Elle a les larmes aux yeux. Cette visons me fend le coeur.

Moi : Bébé ne pleure pas s'il te plait. Je la serre un peu plus contre moi.

Carrie : Je ne supporterais pas de te perdre une seconde fois.

Moi : Je ne te laisserais plus jamais mon poussin.

On se regarde pendant quelques secondes et l'envie de l'embrasser devient trop forte. Je plaque mes lèvres sur les siennes et elle répond avidement à mon baisé. Au fur et à mesure nos gestes deviennent plus sensuels et fiévreux. Je la soulève et elle enroule ces jambes autour de mon bassin.

Elle me guide jusqu'à là chambre d'ami. Je ferme la porte à clef et je la jette sur le lit. Je me met à califourchon sur elle et commence à la déshabiller. Rapidement on se retrouve nue tout les deux. Sans préliminaire je la pénètre et elle lâche un petit gémissement de douleur.

Moi : Bébé ça va ?

Carrie : Oui c'est juste que je n'ai plus l'habitude.

Moi : C'était quand la dernière fois ?

Carrie : Sur le transat avec toi....

Elle baisse la tête mais je la lui relève rapidement. Je l'embrasse à pleine bouche et je commence à donner des coups de reins.

Nous avons fait l'amour jusqu'à l'épuisement. J'espère qu'elle sera mienne pour toujours et que cette affaire avec les Fett sera bientôt réglée.

À suivre...