Le Bal Masqué {TERMINER}

Chap.05.

Toc toc toc.
J'hésite pendant un moment d'ouvrir la porte mais je l'ouvre quand même. C'est Victor. Je lui lâche un énorme sourire.
-Salut ! Tu as besoin de quelque chose ?
- Ouais j'ai besoin de te parler.
- Vas y entre je t'en pris !
Je m'assoie sur lit mais il reste debout devant moi.
- Tu veux pas t'assoir ?
Il ne me répond pas. Par contre il s'approche de moi. Ses yeux ont changé. Ils sont devenus plus sombre. Il me pousse contre lit. Il se met à cheval sur moi.
- V-Victor... Qu'est ce que...
Avant même que je finisse ma phrase, il m'embrasse. J'essaye de le repousser mais je n'y arrive pas. Il glisse sa main sous mon t-shirt. Je le pousse de toute mes forces mais il est trop fort. Il passe maintenant sa main sur mon pantalon. Il essaye de me l'enlever. Je tend mon bras pour prendre quelque chose avec quoi le frapper. Je touche un livre. Parfait ! Je le gifle avec et je réussis de me dégager. Je cours vers la porte mais il m'attrape le bras. Il me plaque sur le mur et me coince les mains au dessus de la tête.Il retire mon t-shirt et commence à m'embrasser le cou.
- Victor ! Arrête ! Dégage de là ! Qu'est ce qui te prend ! VICTOR !
Il se retire soudainement. Il a l'air surpris. Ses yeux sont redevenue normal. J'ai les larmes aux yeux.
- Je suis... Je suis vraiment désolé... Il... Il faut vraiment plus que tu m'approches... c'est trop dangereux pour toi... Je suis sincèrement désolé.
Et il court retourner dans sa chambre. Je n'arrive toujours pas à y croire... Il a essayer de me violer... Je remet mon t-shirt et je pars me coucher. Il faut vraiment que je lui demande ce qui lui a pris.

Le lendemain...

Je me lève, je prend ma douche et je pars dans la cuisine. Il y a tout le monde sauf Victor. Je remonte dans au deuxième étage pour toquer à sa porte.
Il ouvre un peu la porte. Lorsqu'il voit que c'est moi, il ferme immédiatement la porte. Mais je la bloque en mettant mon pied.
- Je t'ai dit de ne plus t'approcher de moi. C'est trop dangereux...
Je pousse la porte pour qu'elle soit complètement ouverte. Il me regarde avec un air désolé.
- Je veux juste comprendre ce qui t'as pris hier soir.
- C'est compliqué...
- Si tu m'expliques je comprendrai.
- ... Bon, hier ce n'était pas vraiment moi. En fait je partage mon corps avec une autre personnalité. On appelle ça de la schizophrénie... Et cette personnalité aime beaucoup,alors la beaucoup,les femmes. Et on dirait bien qu'il t'as pris pour cible. Donc c'est pour ça que je ne veux surtout pas que tu m'approches. Je ne veux prendre aucun risque.
- Oh... C'est pour ça... Comment il s'appelle ?
- Jason
- Bien, je ne m'approcherais plus de Jason mais je serais toujours ton amie.
- Quoi ? Non c'est trop dangereux !
- Je sais comment vous différencier.
- Et comment ?
- Vous n'avez pas les même yeux. Jason a les yeux plus sombres par rapport à toi.
- Oh... Mais je veux quand même pas que tu m'approches.
- Nan. J'ai pris ma décision. Et de façon si je me violer ça sera de ma faute.
- Mais...
- Olala arrête de réfléchir et vient déjeuner.

Il n'était toujours pas convaincu. Il est rester planté près du lit.Je roule les yeux et m'avance vers lui. Je lui tire le bras mais il est trop fort. Je ne le fais même pas bouger d'un centimètre. Je monte sur le lit et je saute sur son dos.

-Mais qu'est ce que tu fous ?
- Je resterais avec toi que tu le veuille ou non !
- Ok ok je viens avec toi mais est ce que tu peux descendre de mon dos ?
- Nan. C'est ta punition de ne pas avoir accepté la première fois. Alors tu vas m'emmener sur ton dos.
- T'es sur de ce choix ?
- Ouiiii
- Tu l'auras voulu !
Il commence à courir. Et moi je commence à rire. On arrive dans la cuisine. Tout le monde nous regarde bizarrement.

- Salut tous le monde ! Cris- je.
- Euh.. Qu'est ce que tu fous sur son dos ? Me demande Alain.
- J'ai fais une balade !
- Aaaaaaaaawn C'est tellement cuuuuute ! Aria... Elle est sérieuse ?
- T'es jalouse ? Lui demande- je en lui lançant un regard noir. Elle rougis énormément.
- N-Non....
Je pars prendre mon petit déjeuné. On part tous dans le salon. 
- Ça vous dit une partie de soccer ?
Tout le monde accepta. On a jouer jusqu'au soir. On était tous super fatiguer alors on décide de monter dans nos chambre.