Le Bal Masqué {TERMINER}

Chap.08.

Je me réveille dans la salle de jeux. Victor... Je veux dire Jason était assis entrain de m'observer avec un sourire.
- Olala, Mais qu'est ce que tu me veux encore toi ! Dit- je en me frottant les yeux.
- Je te l'ai déjà dit, je te veux.
- Je te l'ai déjà dit, tu m'auras jamais.
- Mais comment tu fais pour me résister ? Les autres filles sautent sur moi juste en me voyant.
- C'est vraiment que tu es attirant mais je ne t'aime pas.
- Et pourquoi ça ?
- Tu penses que je vais aimer un violeur.
- Olala c'est bon ! J'avais juste la dalle.
- Et c'est supposé être une excuse ? Dégage de là. Je veux revoir Victor.
- Pffff, t'es vraiment pas drôle !
- Oui oui, maintenant dégage.
Il se lève et me jette un regard noir.
- Je te promet qu'un jour je t'aurais !
- Va rêver ailleurs. Tu gâches mon oxygène.
Il part enfin. Sérieusement, j'avais peur qu'il me ressaute dessus. Je monte dans ma chambre. J'ouvre la porte et quelqu'un met sa main sur ma bouche part derrière. Je me retourne et je vois Jean.
- BORDEL ! MAIS C'EST TON...
Avant que je finisse ma phrase, il m'embrasse. ENCORE !? Il m'emmène dans ma salle de bain. Il ferme la porte à clé. Il se retire enfin de moi et il met du dentifrice sur la caméra de surveillance.
- Mais c'est quoi ton problème à m'embrasser à chaque fois. Chuchote-je.
- C'est pour que tu arrêtes de gueuler et parce que si je t'embrasse pas, il va se douter qu'on planifie quelque chose. Il faut qu'on aille au cinquième étage. Maintenant. Puisque tout le monde dort encore. 
Avant même que je ne lui réponde, il me tire part le bras et m'emmène au cinquième étage. Un ouvre une des portes du cinquième étage avec une clé. On entre dans une bibliothèque poussiéreuse.
- Bien, aide moi à trouver des indices dans ces bouquins. Quelque chose qui peut nous aider à sortir d'ici.
- Il y a pas de caméras dans cette étage ?
- Si, seulement dans le couloir mais je les ai désamorcé hier.
- Et comment tu as trouvé la clé ?
- Je l'ai trouvé dans la salle de torture.
- Oh...
- Bon, je dois te dire un truc. Les portes de cet étage peuvent s'ouvrir avec une clés ou avec un mot de passe. Ça serai plus facile de chercher la clé mais on va essaye d'avoir aussi le mot de passe si on le peut.
- D'accord.
La bibliothèque n'ai pas gigantesque mais il y a beaucoup de livres. Je vois un livre qui m'attire. "Le scientifique fou"... Avant même que je l'ouvre, Jean me le retire des mains.
- Où est ce que t'as trouvé ce livre ?
- Là... sur cet étagère... je peux le revoir maintenant ?
- Nan...
- Je peux savoir pourquoi ?
- Parce que ma mère me le lisait quand j'étais petit... avant qu'elle meurt... je le cherchais depuis tellement longtemps !
- Oh... C'est bon garde le...
On est rester longtemps dans la bibliothèque. On a rien trouvé mais on n'a pas encore fini de l'explorer.
- Bon, on doit descendre avant que les autres ne remarque quelque chose.
- Ouais t'as raison.
- On se voit ici à 3h du matin.
- T'es sérieux là ?
- J'ai l'air de rigoler ?
- Non...
- Et bha voilà. Bon, tu viens on doit y aller.
- Oui oui j'arrive...

On rentre dans la cuisine. Aria me lance un regard noir. Elle s'approche de moi et me gifle.
- Aria ! C'est quoi ton problème ? Me défend Jean.
- Dégage de mon chemin le dépressif ! C'est entre cette tchoin et moi !
Je fais un signe à Jean pour me laisser me débrouiller seule.
- Qu'est ce que j'ai fait encore ?
- Eh bien, ma chérie, je ne sais pas si tu t'en ai rendu compte mais tu es une pute.
- Pardon ?
- Bha oui, D'abord tu te tapes Victor maintenant tu tape MON mystérieux.
- Ton mystérieux ?
- LUI ! Dit- elle en me pointant Jean. Jean comme à rire discrètement.
- De un, il n'est pas à toi, ce n'est pas un objet et de deux tu n'as rien vu donc tu ne peux pas témoigner.
- Il y a Christa qui peut témoigner.
Je lance un regard noir à Christa. Elle est sérieuse de m'afficher comme ça.
- Aria, je te préviens tout de suite, tu te calme direct sinon tu vas sérieusement le regretter.
- Et sinon quoi ? Espèce de prostitué !
- Tu es sur de vouloir jouer à ça avec moi ?
- Oui totalement salope.
- Très bien, tu l'auras voulu.
Je me dirige vers la cabine "tuer"