"LA MENACE"

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Moi: quoiiiii?
Papa: ( il sourit ).
  Moi: une nuisetteeee? Non t'es malade ou quoi? Je ne porterai pa ça c'est tout. ( en le lui jettant sur la figure ).
  Papa: je ne te demande pas ton avis. C'est un ordre.

Mais il me prend pour qui lui? Moi? Porter ce truc pour lui il peut toujours rêver ce vieux porc.

Moi: je t'es dit que non. Non non et non. ( en croisant les bras ).

Et boom il me donne une bonne claque et me plaque au mur. Il commence à m'étrangler.

Papa: tu vas la porter ou pas?
  Moi: arr...arrêtes. ( pleur ).

Il me relasse et je tombe direct par terre.

Papa: allez! dépèche toi je commence vraiment à m'impatienter.

Je me dépèche d'enfile la robe. Il me fait signe d'approcher et ce que je fis sans exiter. Bah suis pas folle dh je veux pas encore risquer ma vie.
Comme ça ne lui suffisait pas.

Papa: allez danse pour moi ma chérie.
   Moi: ahh pas ça.
Papa: ne commence même pas. Sinon je fouterai ta mère hors de chez moi y compris toi et nous allons voir comment vous allez vous en sortir sans moi.

A ces mots je me suis rappelée:

          Flash back.

Aprés la mort de papa alors que je n'avais que 8ans ; nous vivions dans la misère totale. Maman avait même du mal à nous nourrir.

Moi: maman ! j'ai faim moi.
  Maman: oui chérie je sais mais tu vois je n'est pas d'argent.
   Moi: ça fait 3jours qu'on ne mange presque plus.

J'étais une gamine je ne pouvais pas comprendre que mes mots blessaient ma pauvre mère. Car qu'elle mère pouvait voir ses enfants mourrir de faim sans pouvoir les nourrir.
Alors elle a commencé à travailler comme laveuse à domicile.
Je me souviens encore ; elle se levait à 06h du mat pour aller travailler et ne rentrait que vers 22h. Elle m'amenait avec qu'elle si j'ai pas cours.
Un jour alors qu'elle m'avais laissé chez une voisine , elle est rentrée l'air épusée.

Moi: maa qu'est ce t'as? ( je me couche sur ses pieds).
  Maman: non rien ma chérie je suis juste un peu fatiguée c'est tout. ( elle me sourit ). Alors t'a mangé?
    Moi: oui maman. Merci pour tout. ( je me lève ). Quand je serai grande je t'achéterais un grand palais rien que pour toi.
    Maman: anbon

Moi: oui! Et ce n'est pas tout dh tu auras beaucoup de serventes et tu sera traitée comme ce que tu es: UNE REINE.( je la prend dans mes bras ). Je t'aime maa.
   Maman: moi aussi ma puce. ( elle me sert fort contre elle ).
Moi: aïe! Tu m'étrangles là. ( je lui tire son nez ).

Le lendemin

Maman devait aller lavé les habits d'un homme qui vivait dans une grande villa apparemment tout seul. Et devinez quoi? Cet homme est nul autre que mon beau-père.

Il y'a eu un coup de foudre depuis lors entre lui et ma mère. Ainsi ils se sont mariés. Et il me considéra comme sa propre fille et j'ai fait de même en l'appelant Papa.
  Nous vivions comme une vrai famille papa me donnait tout ce que je n'ai jamais eu. J'étais inscrite à l'école privée jusqu'à obtenir mon BFEM à mes 16ans.

Et je peux que sans lui nous ne sortirions jamais de cette situation. Il a su rendre ma mère heureuse et c'est ce qu'il comptait pour moi.

           Fin flash back.

J'ai commencé à danser les larmes aux yeux. Les images de ma mère me traversaient la tête , je revoyais son sourrir lorsque je lui avais demandé si elle l'aimait  il y'avait de la joie dans ses yeux. Ah cette femme pour elle je ferais tout absolument tout rien que de la voir heureuse. Et c'est ce que utilise ce monstre pour me menacer.

Papa: allez! Tu danse comme une deesse ma poupée.
  Moi: ( pleur).
Papa: ça suffie ; maintenant viens vers moi!

Je m'approche de lui et il commence à me caresser les cheuveux puis il descend petit-à-petit. Il m'embrasse.

Moi: stp! Laisse moi. ( pleur ).
  Papa: la ferme.
Moi: je t'en supplie juste pour aujourd'hui. ( les mains joints ).

Si je savais j'allais la fermer car le vieux est devenu violent ; il l'a toujours été mais cette fois ci il l'est plus.
  Il me donne des coups partout sur le corps et ; et m'étrangle comme un sauvage. Je me débattais le mieux que je pouvais mais c'était peine perdu.

Moi: s...stppp. ( en pleurant puis trou noir ).

J'ai ouvert les yeux avec beaucoup de difficultés et tout était blanc. J'ai tourné la tête vers le côté droit et vis une femme vêtue d'une blouse blanche c'est surment une infirmière.

La femme: docteur elle est rêveillée.

Et devinez quoi le docteur est...

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JE SUIS DEVENUE LA SECONDE EPOUSE DE MON BEAU-PEREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant