Se sont ces bruits de voitures,
Ceux des habitants et
De leurs habitudes, dur
De se l'imaginer.
Cette ville accompagnée
Des ses mille et une ruelles,
Baignée dans ce frais soleil,
Grouille de vie, de liberté.
Veille sur elle cette montagne,
Que de l'immeuble nous observons,
Bercée par le bruit de ce bagne,
Que forme la pire des pollutions.
Et le train qui serpente la ville,
Qui à tout allure rompt le silence,
Passant sous les ponts, il frôle, habile,
Les murs, de quartier en quartier, balance.
Ses wagons accueillent mille passant,
Le bruit des rails inlassablement,
Grince sous le poids de toute cette vie,
Qui quelques stations plus loin, finit.

VOUS LISEZ
Mots mêlés
PoetryBienvenue à celles et ceux qui aiment lire de la poésie, des textes en prose, des courtes réflexions sur des sujets divers et variés ! Bonne lecture, bon voyage ! :)