Aïda Ma Vie C'est De La Folie

# Partie 58 #

# Partie 58 #

Je regarde mon tel et le regarde et la je me lance à reculons et j'appuie sur message je vois le début de sont message mon cœur battait encore plus et j'appuie direct dessus et la je lis.

Amadou : Ça va pas entre nous en ce moment et tu trouve rien de mieux à faire que sortir et d'aller dans les bras d'Ali, tu crois je t'ai pas vu ? Tu le prend dans tes bras, tu me prend pour qui ? Sa t'arrange bien que toi et moi on soit plus ensemble, tu peux faire ce que tu veux maintenant, je vais pas te compliquer la tâche fait ce que tu veux j'en ai rien a foutre.

Quand j'ai lu le message j'avais l'impression qu'on me planter un couteau dans la poitrine et qu'il s'enfoncer de plus en plus, j'avais tellement mal.

Depuis l'histoire elle a commençait je suis même pas sortie une seule fois et la je sors et sa me tombe dessus, sont message il était méchant et blessant mais un truc de ouf, mes larmes monter et j'en avais marre de ressentir cette douleurs je me suis lever et je suis partie vers le bar et mes larmes ont coulait.

Je les ai essuyer et j'ai demander un verre d'alcool il faut que je bois, je vais me bourrer pour oublier j'en ai marre le jsuis a bout sa me fait trop mal, c'est insupportable.

Il a pas de cœur comment il peut penser ça de moi ? Pourquoi il fait une montagne pour un problème de je lui ai pas dis que j'étais plus vierge, il peut quand même comprendre que j'ai eu peur et que c'était pas facile.

J'étais à bout là je toucher le fond du fond, le barman me donne le verre et je le prend j'étais prête à le boire quand on me le prend de la main.

Je tourne la tête et je vois Haby et je lui dis.

Moi : Tu fais quoi là ? Laisse moi.

Haby : T'es malade tu crois l'alcool ça va te soulager ?

Moi : Ouii ça va me soulager ! Laisse moi Haby, j'en ai marre c'est un gros cons et je veux oublier cette soirée !

Haby : Qu'est-ce qui c'est passer ?

Moi : J'étais dehors avec Ali et on parlait et comme par hasard il est passer et il nous a vu !

Haby : Tu l'a vu toi ?

Moi : Non je l'ai pas vu, c'est lui qui nous a vu et il m'a envoyer un message blessant rend moi mon verre, il m'a dit de faire ce que je veux, je vais faire ce que je veux et boire.

Haby : Mais tu te vois Aïda ? Tu vas te détruire à cause d'Amadou ? Arrête de raconter de la merde et ressaisis toi.

Moi : Rend mon verre !

Haby : Non.

Moi : Ok.

Je me lève et elle m'attrape je lui dis me lâcher et elle me lâche et je sors.

Je pleurais a mort, jsuis une vrais faible sa m'énerve.

Une fois dehors je monte dans ma voiture démarre et me barre.

J'arrive dans un endroit me gare et je me demande quand tout ça vas s'arrêter j'en avais ma claque, je voulais pas lui parler mais sont message m'a tellement fait mal que j'ai pris mon tel et j'ai décider de l'appeler.

Sa sonner mais il répondait pas, du coup j'ai décider de lui envoyer un message en lui disant.

Moi : Tu me dis ça va pas entre nous en ce moment et que je trouve rien de mieux à faire que d'aller dans les bras d'Ali et sortir, mais je peux faire quoi d'autre tu te comporte en lâche tu répond pas à mes appels, tu m'ignore depuis presque un mois et tu prétend m'aimer, pour une histoire de je t'ai pas dis que j'étais vierge tu vas si loin, tu me fais tellement de mal tu sais pas a quelle point, j'ai déconner je le sais mais j'ai pas mériter que tu me fasse autant souffrir et que tu me blesse autant, tu veux pas qu'on ce parle tu veux rien faire pour arranger les chose donc j'en parle a Ali parce qu'il est là pour moi lui dans cette période difficile et rien d'autre, t'es complètement percher a me dire que c'est ce que je cherchais pour pouvoir sortir comme bon me semble, depuis qu'on c'est disputé je ne sors pas, je suis sortie juste aujourd'hui pour faire plaisir à ta sœur et rien d'autre, donc avant de raconter n'importe quoi sur moi réfléchis à ce que tu dis, c'est toi arrête de me faire attendre et me faire du mal si tu veux plus de moi parce que tu pense que je suis une pute dit le moi qu'on en finisse, je vais pas souffrir éternellement si tu t'en fou de ma vie.