chap: 13

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Je vous remercie beaucoup pour les 1000 vue vous êtes de super lecteur que jador, je ne poste pas beaucoup de remerciement mais je pense que je vais en posté plus souvent en tout qu'a un gros love pour mon amis jelisemma et marmy77 qui mon soutenue en se moment, j'écris moin souvant car en se moment je m'entraîne pour les championa de France de gymnastique académique et j'espère que la chance arriveras mais bon je fait un gros bisous à tous et encore merci 💕💕💕.
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Après un long moment de choc je sentie l'envie d'un accompagnement de petit croissant et de meringues, j'ador sa, puis vers 16h30 nous primes un smoussi au raisin miam trop trop bon.il ne restait que quatre bonne heure avant que la soirée commence, je n'avais n'y de robe n'y de quoi me préparé à par ma carte bleu ou j'ai récolter plus de 18 000 environs.

Anaïs: alors prête pour se soir.

Moi: je n'est rien à par ma carte bleu mais...

Anaïs: tinquiette pas chez moi j'ai plein de robe tous plus belle que les unes que les autres tu verra on dit 18h30 sa te vas, oui.

Éclipse de 2 heure
***

Après mettre engueuler avec mon frère, je me dirigea alors vers l'appartement d'Anaïs. Elle macceuilli a Brad ouvert et me fit retirer mes chaussure (basquette) sur son tapis avec écris hello are you ok.

**flas bac

Alon: Non mais tu te prend pour qui la apène tu rentre chez lui et c'est la fiesta.😠😠😠

Moi: Ferme ta gueule Alon, se sont mes choix qui font que je suis moi.😡😡😡😡😡

Alon: Papa n'aurai jammais voulue sa?😠😠

Moi: Et parle pas deux d'accord, maman maurai dit de suivre mon chemin et de me comporter comme je suis. Criaige plus fort que lui.😡😡😡

Alon: Et bas maintenant papa et maman son mort, et toi tu n'es qu' une pauvre idiote, bête, et incapable de te géré.

Cette fois c'était la goutte d'eau qui est de trop, la serise sur le gâteau. Je m'avance prêt de lui mes larmes coulait et d'un seul coup je lui met une énorme gifle sur la joue, il avait une énorme marque rouge sur la goue et ma main me fesait très mal même me brûlait comme si j'avais mit ma main sur le feu, mais je m'en fichait, mes larmes coulait abondamment mais je némètais pas de bruit.

Moi: Tu n'es qu'un connard, salo, qui ne se comporte encore comme un gamin de 8 ans.

Je me dirige vers la porte, prend mes clés et mon sac à main et claque la porte énormément fort. La voisine était sortie et vena vers moi elle était âgée de 45 ans et s'appelait Catherine et je la considérait comme ma mère, elle s'approcha de moi et prie mes main.

Catherine: Tu t'es encore disputer avec ton frère.

Moi: il ma insulter et à parler de maman et papa alors que normalement le sujet... Les gouttes voulais plus s'arrêter je prie revuge dans le creux de son coue et y restait en mapitoyant sur mon sort, sur se qui venait de se passer.   

Catherine: il ne pensait pas se qu'il disait ma chérie il était énervé.

Moi: peut être mais se n est pas une raison pour m'insulter et de parler de...

Catherine: Chutttt... j'irais lui parler mais maintenant calme toi.

Ces main douce caressa mon visage jusqu' à l'arrivée de mes mèche rebelle. Je relevas ma tête vers elle et lui fit un câlin, je remarquait alors que je ne pleurais plus et qu'un sourire était apparue sur le coin de mon visage .

Passionnément IrréelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant