Chapitre 20

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Ça faisait une heure que je n'avais pas de nouvelle d'Oli. En message je lui disait qu'il ne devait pas lui dire. Mais quand j'ai expliquer ça à Yanis il ma demander pourquoi je ne voulais pas qu'il soit au courant. Je ne veux pas car il tient à Sarah et si il la voit comme ça il ce la mettrait à dos. Mais dans un sens elle ne mérite pas sa compagnie non plus. Alors j'ai arrêter d'harceler Oli et le dernier message que je lui est envoyé était "Fait ce que tu veux après tout. De toute façon tu ne m'écouteras pas". Et depuis plus de nouvelles.Je ne voulais voir personne aujourd'hui. Je ne voulais pas que l'histoire s'ébrute et que tous mes amis s'inquiète. Je sursaute quand j'entends la sonnette de l' appart. Yanis ce lève et regarde dans l' œil de bœuf, ce tourne vers moi et ouvre la porte. Mon cœur bondit dans ma poitrine. Je me lève du canapé. C'était Flo. Il regarde désolé son ami. Qu'il avait du envoyé boulet au téléphone ce matin puis ses yeux ce pose sur moi. Il titube. Oli s'avance à son tour.

-Tu crois vraiment qu'elle se serrait frapper toute seul.

Yanis referme la porte. Nos regards ne ce sont pas quittés. D'un cou il prend son téléphone et le met à son oreille.

-Ouais. Dis moi t'es dispo ? ...Ouais maintenant... Ouais chez Yanis... C'est bon ? Cool à toute suite.

Mon cœur ce resserre. Il la appeler. Il s'approche de moi et me serre dans ses bras.

-Je suis désolé. Je suis con.

Je le serre et pleur dans ses bras. Oui. Je ne fais que pleurer ses dernier temps. A dire vraie mon cœur est très sensible.

-Pleur pas s'il te plait.

Je quitte ses bras. Et il essuie mes larmes.

-Je suis désolé... Mais l'image était tellement vraie. J'ai penser à un montage. Mais votre relation est tellement fusionnelle. Qu'après... Je suis tellement désolé.

Son doigt effleure ma lèvre cabosser et mon front griffer. Sa sonne à la porte. Je recule.

-Pourquoi la tu appeler ?

-Parce que je vais régler des choses avec elle.

Yanis part ouvrir. Je ne sais pas où me mettre. Je n'avais pas peur d'elle. Mais me retrouverau centre de l'attention n'est pas mon grand kiffe. Et surtout que quand elle va me voir et va vouloir me sauter dessus. Elle rentre toute sourire, elle le perdit en me voyant et son regard devis vers Flo. Il passe son bras derrière mon dos. Elle nous regarde et fronce des sourcils.

-Qu'es ce qui ce passe ici ?

-Tu ne sais rien ?

-Qu'es ce que je devrais savoir ?

-Ce que tu as fais hier soir.

Je me braque aussitôt. Mais Flo caresse mon dos pour me rassurer.

-J'étais chez moi hier soir.

-Tu ne te souviens pas avoir été au parc ? Avec t'es frères ?

Je vois son visage ce décomposer.

-Qu'es ce que tu insinue à la fin ?

-Pourquoi avoir fait ça ?! Pourquoi t'en est tu prise à elle ? T'es complètement folle !

-Tu ne peu pas comprendre !

-Au si au contraire ! Juste parce que je n'éprouve pas les mêmes sentiments que tu t'en prends à celle que j'en éprouve ? Mais si tu as un problème c'est avec moi. Pas avec elle. Elle va porter plainte.

Je la vois devenir livide. Et moi je jette un regard interrogateur à Flo puis à Oli. Il hoche la tête.

-Quoi ? non ...Vous n'avez pas de preuve !

-Bien sur que si. Les messages de Lena puis celui que tu as envoyer à Colyne. Ce sont des preuves. Je pense que ce sera facile pour eux de tracer ton numéro.

-No-non !

Les larme au bords des yeux elle explose.

-T'es qu'un abrutit ! T'as toujours vu ce que j'éprouver et t'en à jouer ! T'es vraiment qu'un connard ! Qu'elle porte plainte j'en es rien à foutre !

-Je n'es jamais jouer avec toi Sarah. Et tu veux savoir quoi ? Ça me fond le cœur que tu sois comme ça. En faite non. Ça me fond le cœur que je n'es pas vu t'as vraie facette avant. Inutile de te dire que tu peu supprimer mon numéro. Et on ce reverra au tribunal.

Elle s'en va les larme dégoulinant de ses joues.

-Flo je ne veux pas...

-Je sais. Je respecte ton choix. Mais elle te laisseras tranquille et si elle recommence tu me le dis cette fois hein ?

J'hoche la tête et plonge ma tête dans ses bras. ça y est... c'est finis maintenant. Je vais être tranquille. Et plus personne ne nous embéteras.

La vraie vie c'est la merde ➰ Florian Ordonez Où les histoires vivent. Découvrez maintenant