°~~ Sequestrer ~~°

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Nda: vous comprendrez ce media très vite, l'histoire est partit en couilles, c'est partit en fanfic :')) bref bonne lecture :D

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PDV Anne

Avec Hoseok on décida de rejoindre les autres après avoir interrompu notre étreinte. Je ne savais pas vraiment ce qui m'avait pris de le prendre dans mes bras de la sorte. Je pense que c'était juste parce que je n'avais pas supporter de le voir sur le point de pleurer. Je préfère le voir sourire. Il était si beau quand il souriait. Ses petites fossettes ressortaient et je n'avait qu'une envie; enfoncer mes doigts dedans pour voir si ils pouvaient disparaître. Ce qui était sûr c'est que j'avais beaucoup apprécier ce moment. Ses bras étaient si réconfortant, si réchauffant. Et puis, pour première fois depuis longtemps, je me sentais en sécurité.

- ANNE! Cria une voix tout près de mon oreille, qui devait être celle de ma meilleure amie, me sortit de mes pensées et me fit faire un bond de 15 mètres. J'était tellement dans mes pensées que je n'avait même pas remarquer que Hoseok était partit.

- Non mais t'es folle de crier comme ça! Tu m'a fait peur bouffonne! Lui dis-je en tentant de calmer mon pauvre petit cœur toujours sous le choc.

- C'est le garçon de tout à l'heure qui te rend aussi pensive? Me demanda-t-elle, un sourire en coin.

- Non pas du tout! Protestai-je. Enfin si peut-être un peu... ou peut-être pas... RAAAH! J'en ai marre! Ca me prend trop la tête! Rajoutais-je sous les rires de ma meilleure amie.

- C'est l'amour! Youpi! Anne est amosdfghjkl! Je lui mis ma main devant la bouche pour la faire taire ne voulant pas attirer l'attention.

- Arrête de dire n'importe quoi! Je te préviens sois tu fermes ta bouche sois t'as pas mon dessert ce midi. Dis-je sur un ton sadique en retirant ma main de sa bouche.

- QUOI?! T'as pas le droit de me priver de mon mari! Dit-elle en boudant.

- Alors tu me promet d'arrêter ça. Je ne suis pas amoureuse.

- Promis, promis, promis!

- Très bien, t'auras ton dessert dans le coup.

- Je pense quand même que t'es amoureuse. Dit-elle avant de s'enfuir en courant.

- SOLEINE! Criai-je en lui courant après pendant qu'elle riait aux éclats.

Après avoir couru une bonne dizaines de minutes, on avait atterri dans notre chambre. On s'effondra sur le lit de Soleine et malgré le fait que l'on soit essoufflé par notre course, on ne pouvait s'empêcher de continuer de rire. Une fois calmées, un long silence s'en suivit. Au bout d'un certain temps, je décida de briser le silence.

- Je lui ai parler de mon passé. Au début je ne voulait pas vraiment lui en parler mais je sais pas. Je me sens en confiance avec lui. Dis-je en regardant le plafond.

- Et tu dis ne pas l'aimer. Dit-elle en soupirant.

- Parce que c'est le cas! Enfin je croit pas. Je marqua une petite pause pour balancer l'oreiller dans la face de ce qui me servait de meilleure amie puis reprit. Il m'a raconter son passé lui aussi. Lui aussi était enfermé à longueur de journée. Il a parler d'hommes en blanc qui lui faisait des espèces de séances bizarres où il se prenait des électrochocs dans le cerveau. Apparemment il n'a jamais connu ses parents et il n'a réussi à sortir de là-bas il y a seulement quelques jours.