Après le baisé que nous avions échanger avec River je me sentais heureuse, j'avais l'impression que je me sentais enfin libre, libérée de mes chaînes. River s'était détaché de moi et avait reculer d'un pas avant de me regarder, il avait mit sa main sur ma joue et il me la caressais avec son pouce, mes yeux s'étaient enfin plonger dans les siens et je décelais dans son regard de l'appartenance, je souriais avant de baisser la tête
***
Les jours étaient passer et rien ne s'était reproduit depuis, je connaissais enfin cette sensation d'être aimée et d'être entourée, Lunie dormait dans mes bras et River me tenais sur ses genoux, nous étions un parfait portrait de famille et rien qu'à cette idée je sentais mon coeur se serrer.
Ce n'est que lorsque je me levais pour aller mettre Lunie dans sa chambre que River me suivais, il m'ouvrait la porte et je rentrais dans cette dernière avant de poser ma fille dans son berceau, je lui déposais un baisé sur son front et je lui caressais doucement la joue pour ne pas la réveiller.
- Dors bien mon ange...
Une larme solitaire roulait sur ma joue et River la voyait, il me l'essuyait avant de me prendre dans ses bras, je posais ma tête contre son torse, et c'est à ce moment là que je lui parlait à coeur ouvert.
- Elle ne connaîtra jamais son père, j'aurais tellement voulu que les choses soient différentes, j'aurais voulu que mon père soit là pour moi et pour elle, qu'il soit son grand-père et non son père, je ne sais même pas comment je vais pouvoir lui dire la vérité lorsqu'elle grandira.
- Je le sais, mais tu n'est et tu ne seras jamais seule. Ecoute j'ai bien réfléchis et si tu le souhaite je pourrais prendre la place de ce connard, je pourrais devenir son « père » adoptif.
- Tu en es sûr ? Enfin je veux dire que c'est une lourde responsabilité à prendre.
- Dès qu'elle est venue au monde j'ai tout de suite compris que je ne pouvais pas la laissée sans père, c'est important d'en avoir un, je serais toujours là pour vous deux.
- Tu es très prévenant dis donc.
Je le regardais de nouveau dans les yeux et il m'embrassait avec une infinie douceur, je mettais fin au baisé et je reposais ma tête contre lui.
- Avec toi toujours.
Nous avions été dans ma chambre, River m'avait suivie tout en me tenant la main, puis sans rien ne voir venir il m'embrassait et m'attirait encore plus à lui, il faisait glisser ma bretelle de débardeur tandis que je lui enlevais son teeshirt, je passais mes mains sur son torse alors qu'il me portait déjà et il me déposais avec une grande douceur dans mon lit, il retirais mon jean et très vite nos vêtements avaient rejoint le sol.
Il avait posé ses bras de part et d'autre de ma tête et il m'embrassait de nouveau tandis que je passais mes main dans ses cheveux.
- Si quelque chose ne te plaît pas n'ai pas peur de me le dire
J'hochais simplement de la tête et il mettait un préservatif avant de m'embrasser de nouveau, le baisé devenait plus torride et je sentais son entre-jambe qui entrait doucement en moi, je serrais les draps tandis qu'il me regardait avec amour. Une fois qu'il était au fond il attendait que mon corps s'adapte et lorsqu'il voyait que la douleur s'était transformée en plaisir il avait commencer à se mouvoir lentement en moi.
***
Nous étions actuellement dans la cuisine, nous étions dans les bras de l'un et de l'autre et River brisait le silence tout en me serrant encore plus.
- J'ai oublié de t'en parler mais des amis à nous vont venir nous rejoindre pour vous protéger.
- C'est a dire ?
La porte d'entrée s'ouvrait d'un seul coup et elle laissait apercevoir une femme blonde habillée très vulgairement, et deux hommes armés qui étaient derrière elle.
- Memphis je te présente Amandine, Jack et Martin.
- En...
- C'est bon tait toi on a pas besoin de t'entendre geindre.
Elle entra et elle me dépassait avec ses talons, elle me dévisageait puis elle me regardait de haut en bas.
- J'ai jamais compris ce qu'il pouvait bien te trouver, tu ressembles à une pute en plus.
Je gardais mon calme mais je lui répondais tout de même malgré le bras ferme que River gardait autour de ma taille.
- Dis ça a la fille qui porte un soutif au lieu d'un teeshirt et qui est habillée avec une jupe qui laisserais appercevoir sa culotte.
Elle s'approchait de moi tout en rigolant et elle mâchait son chewing-gum vulgairement.
- T'as signer ton arrêt de mort.
- Vraiment ?
- Vas t'faire foutre.
- Et toi retourne sur les trottoirs.
Elle faisait demi tour et elle se dirigeait vers les escaliers pour entrer dans une chambre au hasard. Jack et Martin se présentaient et Martin s'excusait du comportement de la blonde.
- J'ai besoin d'aller prendre l'air.
Je sortie et allait sur la terrasse, Cathy me rejoignait et elle se positionnait à côté de moi sur les escaliers.
- Tu sais Memphis, River n'a jamais aimer Amandine, c'est son ex. Il etait sortie avec elle juste pour le sexe et pour rien d'autre. Alors tu n'as pas à t'en faire d'accord chérie ?
- Oui, merci d'être là.
- Mais je t'en prie, c'est normal.
- Bon, je vais préparer à manger.
- D'accord.
Quand j'entrais dans la cuisine je voyait Jack dans le frigo et Amandine qui était allongée sur la table de la cuisine. Je n'y pretais pas attention et je me dirigeait vers le lavabo pour me laver les mains avant de me mettre rapidement aux fourneaux. Je faisais cuire les pommes de terre et je préparais le fromage à raclette avant de sortir le jambon.
- J'aime pas.
- Tant mieux, ça nous en fera plus.
- Pff Salope.
- Pute.
Et de là un gros clash faisait son apparition dans la petite pièce, Jack était parti et quelques minutes après la gazière commençait à prendre feu, je me retournais après avoir vu le visage horrifiée d'Amandine et je constatais rapidement que de l'essence avait été vidé par terre, nous encerclant, et que le feu commençait très vite a réagir. Nous étions littéralement prises au piège, et nous étions maintenant sûre qu'un traitre était infiltré dans le groupe.
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Battue Tome 1 et 2 [EN RÉÉCRITURE]
Ficção Geral« Dégage sale pute ! » « Tu ne foutras jamais rien de ta vie ! » « T'attends quoi pour mourir ?! » Ça c'est au lycée... « Je vais t'éclater la gueule sale pute ! » « Oh mais elle a eu mal... ? Tant mieux ! » « Crève je n'en aurais rien à branler ! »...