Les Goonies - Oc

Partie 10

On ce mit à faire des grands pas, en les comptants. Mickey et Data e mirant le bras autour des épaules pour faire leurs pas ensembles.

Arrivés à soixante, on vu le restaurant et des gens y entrer ;

Mickey : Il a quelqu'un là-bas ! (On ce met derrière un tronc d'arbre, qui est couché)

Bagou : Oh, je n'aime pas ça.

Mickey : Les soixante qu'on à fait plus les quarante qui restent. (Regarde la carte) C'est bien le vieux restaurant, le trésor est juste au restaurant.

Choco : Tu vois, je me demande, Mickey... Eh, dites il est tard. C'est un resto qui marche qu'en été. Pourquoi il est ouvert en automne ?

Data : Il n'a pas de quoi avoir la trouille, mon vieux ! On vient juste de voir deux clients entrer dans un restaurant.

Choco : Oui, mais si c'était pas des clients justement ? Si c'était des trafiquants de drogues ??!

Data : Des trafiquants de drogues ?! (Le tape)

Choco : AIE !!

Tous : Chutttt !! (Bagou et moi mettons nos mains sur sa bouche pour le faire taire)

Data : Des trafiquants de drogues ? Tu as vu leurs fringues ? Ils risqueraient pas de ce faire flingués dans des impers en polyester comme des flics !

On continua donc à marcher vers le restaurant, en comptant nos pas. Un coup de feu retentit quand nous furent presque arrivés. J'attrapa le bras de Bagou, et on s'arrêta tous. Choco nous rejoigna en courant.

Choco : Mickey ! Mickey ! Tu sais, on dirait bien des coups de feu ! Pas des coups de feu dans le genre « Bang bang » comme dans les films de guerre, mais des coups de feu ! Des vrais coups de feu ! Et ils vont nous tuer !

Mickey : Oui Choco ! Oui Choco ! Mais ne fatigue pas trop tes méninges ! Quelqu'un à juste fait tomber une poile !

Bagou et Data : Oui, oui ! Une poile, ce n'est rien du tout !/Une poile ou une casserole !

Je ne fus pas très rassurée, et commençais à penser que Choco ne disais peut-être pas n'importe quoi pour une fois... Mais je me rassura en me dissant que Choco disait TOUJOURS n'importe quoi...

Je ne relâcha pourtant pas la veste de Bagou qui ne dit rien, pas comme à son habitude.

On arriva au restaurant, on regarda par la fenêtre.

Bagou : Qu'est-ce que c'est ? (Je ne vois pas du tout)

Data : (Mickey utilise son inhalateur) On dirait que c'est le cuistot qui apporte un paquet à la cuisine, ou chez pas où.

Mickey : Ouais, de la bouffe. De la bouffe ou un truc bizarre.

Data : Il ne faut pas qu'ils nous voient.

On entra dans le restaurant, qui était très poussiéreux.

Bagou : Eh bien, si ce restaurant n'ouvre que l'été, il à au moins 10 ans qu'il n'a pas eu de véritable été.

Une vieille : (Derrière nous, nous fessant sursauter) Sa fait combien de temps que vous êtes à cette fenêtre ? (On ce retourne vers elle)

Bagou : Oh, assez de temps pour vous dire que vous devrait prendre une femme de ménage dans cette baraque. (Je m'accroche à lui alors que les trois autres se serrent entre eux)

Un mec : (Sortant de la cuisine) Eh merde ! Mais comment on veut que je créer quelque chose avec cette putain de pièce de musée ?!! (Nous voit, s'approche)

La vieille : Jake, nous avons des clients.

Ils parlés italien, où quelque chose comme ça. Nous les regardons tour à tour.

Jake : Eh, les enfants, mettez-vous à l'aise. Elle va vous faire quelque chose de bon. (S'en va)

La vieille : Qu'est-ce que vous voulez ?

Data : Juste un verre d'eau !

Choco : Un verre d'eau, un verre d'eau.

La vieille : Alors, quatres verres d'eau, c'est tout ?

Tous (sauf Bagou) : Oui !

Bagou : Non ! Je veux... (Commence à dire des trucs incompréhensibles en ce rapprochant d'elle)

Les autres : Tais-toi ! La ferme, Bagou ! La ferme !

Bagou : (Nous ignore) Une bouteille de Fettucini, un 1981. (Embrasse le bout de ses doigts comme un chef cuisinier)