un amour de djinn

Episode 6

L'amour excuse tout, il croit tout, il espere tout, il supporte tout, l'amour est sans fin. Surtout l'amour que je porte à ma mère. C'est la seule personne qui ne m'a et qui ne me brisera jamais le coeur. La voir étendu devant moi et ne pas pouvoir l'aider me glaçais le sang, on dirait que j'étais immobilisé par la peur de perdre cette être cher. Une giffle d'une retentissante violence venant de Aïcha me reveilla et me permit de reprendre mes esprits.
<<Khalil, reprend toi et aide moi>> cria t-elle. Je decidais d'agir et je me penchais sur elle effectivement elle respirait plus, je tentis de faire pression sur ses poumons sans resultats.
-Maman, Maman, tu m'entends!? .
Rien .....  Tout à coup il me paraissait entendre un petit chuchottement à l'oreille me disant que c'est l'oeuvre de Jelda ... << Khalil, c'est Jelda qui fait ça repete 3 fois le Ayatoul koursiyou et tout ira bien.>>. Je deviens fou ou quoi!? Tant qu'à faire je passais à l'acte je repoussais Aicha qui commencais à pleurer sur ma mère croyant qu'elle était morte et me mis à reciter ces prieres avec passion comme des supplications, pensant que ça aller marcher sur le coup mais.... non le miracle n'arriva pas. Mon coeur s'accélera et je commencais à croire à l'eventualité que ma mère allait mourir. Mon père était completement deboussolé et était sortit cherchais de l'aide chez le sorcier du village mais avant qu'il franchis la porte des toussottements se font entendre, j'ouvris mes yeux et je la voyais reprendre son souffle doucement mais surement Aïcha courut vers elle et la serra tellement fort qu'elle faillit l'etouffer à nouveau.
<< Maman, ca va mieux>> dit-elle dans une expiration qui ressemblait à un grand soulagement et ma mère se contenta d'hocher la tête et répéta à tue-tête << Alkhamdoulilahi Alkhamdoulilahi Alkhamdoulilahi!!!>> Mon père s'approcha et nous demanda de reculer pour le laisser la voir et s'assurer que tout va bien.
<<Aïssatou, qu'est qui t'es arrivé !?>> sortit-il avec tendresse la prenant dans ses bras .
<< je ne sais pas Mouhamed, ca s'est passé tellement vite que je ne realisais meme pas que j'étais entrain d'être etouffé.>>
-C'est à dire que tu pense que  quelqun tentais de te faire du mal.
- <<Pas quelqun mais quelque chose et je ne pense pas j'en suis sur. Je sentais une pression énorme sous ma gorge je tentis de me defaire ... mais rien n'y fit. Je giguottais dans tous les sens faisant tomber quelques objets de la chambre surement ce qui alerta Aïcha qui a trés vite reagis. Le plus bizarre pendant ce temps là tout ce que vous disiez je l'entendais sans pour autant pouvoir répondre. C'est lorsque j'ai entendu la voix de khalil prier avec ferveur que tout doucement cette pression avait finit par disparaitre.>> Tout le monde ecouta l'histoire avec stupeur et curiosité et je finis par dire pour casser l'ambiance qui commencais à être lourde
<< Comme t'a dit maman Alkhamdoulilahi remercions Dieu d'avoir sauver notre trés cher mere>> Quant à Aïcha ce gros bébé ne voulut pas lacher la main de sa mère comme si elle avait peur de la perdre à nouveau. Il faisait 10h du matin et je dis à Aicha d'aller preparé le petit dej etant donné que maman ne pouvait vraiment pas et j'en profitais pour parler avec elle et la rassura que tout ira bien mais cette fois ci elle flancha.
<< Comment peut tu rester là à dire que tout ira bien!? Maman a faillit mourir de maniere bizarre et tu es là à faire ton optimiste. Je commence à croire que malgré tout y'a une force tapis dans l'ombre qui nous en veut. >> cria- elle avec colère
-Calme toi Aicha maman va bien c'était pas toi qui me conseillé de ne pas croire à ces histoires? D'etre positif et d'etre focus sur notre avenir ? Je comprends qu t'ai eu peur mais ce n'est vraimen pas le moment de baisser les bras tout au contraire on doit se concentrer encore plus et s'il le faut se battre contre ces forces. Et je ne voulais pas en parler à personne mais les prières que je disais tout à l'heure ne venait pas directement de moi mais une voix m'a fais comprendre ( je savais que c'était Raya mais pour le moment c'est motus et bouche cousu) qu'un certain Jelda était à l'origine du mal de maman.
- tu es serieux la!?
- je blagues pas avec ce genre de choses.
Elle garda un silence d'église et me regarda avec une expresion bizarre qui ressemblait plus  à de la crainte qu'à autre chose. J'en fis fi et continuais de lui parler de choses qui nous proteges et tout, et c'est avec ces arguments que je suis parvenus à la rassurer. Je decidais d'aller parler à ma mère voir ce que je pouvais tirer de ce demi-cauchemar qu'elle a vecu. Elle était allongé vétu d'une djellaba blanche avec capuche et avais un chapellet à la main. Je voulais juste savoir si pendant un moment elle n'avait pas entendu le nom de Jelda. Une sueur traversa son front rien qu'a l'appelation de ce nom et se mit à frissoner grave. Je me rapprochais d'elle la serra trés fort pour qu'elle se calme. Elle était vrément perturbé par ce "jelda". Apres avoir retrouvé son calme elle me repondit.
<<-khalil d'où est ce que tu connais ce nom >>. Je lui expliquais ce qui s'etait passé. Elle me fit comprendre qu'elle ne voulait pas comme à son habitude nous inquiéter mais ce Jelba était celui qui la maintenait et lui soufflait des mots tellements violents de sens et lui dit que mon pouvoir sur eux ne faisait juste que  mettre ma famille en danger.
-maman, s'il te plait arrête de penser pou nous dorénavant il faut que tu me promettes de ne plus me cacher des choses.
-Promis .... la tête entre les mains avec de chaudes larmes. Elle paraissait vraiment inquiete mais je la rassura elle aussi et je me suis dit que faudrait que j'entre en contact avec Raya parce que faudrait qu'on parle. Hé bien frere, finallement c'est toi même qui est sorcier du village maintenant. ( auto-discussion) . L'apres-midi aux environs de 17h je decidais d'aller parler à tima car oui vraiment j'avais besoin de lui parler non pas de mes soucis, mais de nous, je l'avais dans la peau cette fille la fallait que je la vois pour qu'on puisse eclaircir certaines zones d'ombre ravaler ma fierté, et lui faire comprendre que sans elle je n'y arriverais pas. Je mis un tee-shirt en vitesse, culotte assortis , parfum waya waya ( mort de rire c'est les parfum eau de cologne) et direction chez ma dulcinée. Je trouvis sa mère devant la porte et m'accueillit avec respect, et me demanda d'entrer que tima était à l'interieur. Elle avait un debardeur rose qui mettait en exergue sa potrine voluptueuse, elle n'attendit que je dise bonjour pour s'envoler et m'embrasser fougueusement et me dit doucement: <<tu m'as manqué ♡♡♡>>. Vraiment les femmes savent s'y prendre pour s'excuser je fondis comme du beurre de karité mais je le lui rendait bien mais prudement de peur que quelqun nous surprenne.
- waouh Tima à ce point.
- beaucoup plus mon amour. Je voulais te dire que suis désolé de ma reaction de la derniere fois et que c'est juste l'effet de la  surprise.
- T'inquiete cherie, je comprend c'est moi qui ai fauté mais c'est derriere nous. Je veux juste que tu sache que ça ne sera pas facile au debut mais si on se serre les coudes tout le monde nous jalousera de cette amour naturel et sincère, promet que tu m'attendra.
- un siecle s'il le faut c'est toi et seulement toi
- viens ici.... On s'embrassa encore et encore, et encore.... comme si c'etait la derniere fois qu'on se voyait et voilà que  son père nous prient en flag suscitant un desordre total d'emotion elle qui s'ecarta et moi qui la poussait ....... Il a vu rouge et cria. <<mais qu'est ce qui se passe ici, je rêve ou quoi, Fatima c'est qui lui !? ..........