JOURNAL INTIME

JOURNAL INTIME: "UN AMOUR IMPOSSIBLE"

                      5.

Max s'était rapproché de moi, il avait commencé par m'embrasser d'abord très lentement, puis avec fougue, sa main caressait mon corps puis s'arrêtait sur mes seins. Ses baisers me procuraient un plaisir intense. Je n'avais pas repoussé ses caresses quand ils devenaient de plus en plus intime. Bien au contraire, cela me plaisait beaucoup ce qu'il me faisait.

Une étrange sensation m'envahissait. Je ne savais plus ce que je faisais. Telle une voix qui me dictait des choses à faire dans ma tête. Ma main caressait en retour son entrejambe cherchant son sexe. J'ai ouvert sa braguette et, à ma propre surprise, j'avais sorti sa verge. C'était ma première fois que j'en touchais une. Elle était chaude et dure. Cela m'avait plu. Mes copines m'avaient racontées leurs premières expériences. Certaines avaient fait des fellations dès la première fois. Et pour dire vrai, j'en avais très envie. Je m'étais alors mit à genoux, bercée par le son de la musique douce qu'il jouait. Ed sheeran, le titre perfect. Je l'aimais tellement cette chanson, que ça me donnait plus envie de profiter de ce moment. Je m'étais décidée dans ma tête, que, j'allais perdre ma virginité. Tout était parfait pour moi. Un homme que j'aimais profondément, un instant parfait.

Lui, assit sur le lit, j'avais mis donc son pénis dans ma bouche. Le goût m'avait surprise, c'était fort, mais la grosseur de sa verge me plaisait énormément. J'ai tiré un peu, légèrement sur la peau de son prépuce, ce qui a découvert son gland en entier. J'enchaînais mes mouvements de ma tête avec l'aide de ma main qui tenait son sexe dans ma bouche. Max avait fermé les yeux, et tenait ma tête entre ses deux mains. Cela me démontrait à quel point il aimait ce que je lui infligeais. Il poussa de léger gémissement. Toujours à genoux, une fois retirée son gland de ma bouche, j'avais fait descendre la robe moulante jusqu'à ma taille. Il m'a ôté mon soutien-gorge, exhibant ainsi ma généreuse poitrine. En me relevant, j'ai fait enlever complètement ma robe. Il ne restait que mon string noir. M'approchant de lui, je lui soufflai dans l'oreille.

-Prends moi Max, je veux te sentir en moi.

Il se releva du lit, et me serra dans ses bras, me couvrant de mille baisers dans le cou, parcourant instantanément mon corps. Sa bouche avait effleuré l'un de mes seins durement dressés. Il prenait de son temps à me les caresser, du bout de sa langue et d'une main mon second sein. Je sentais comme un frisson qui descendait de mes seins vers mon sexe. Il s'est mit à genoux, après m'avoir fait planer au niveau des seins, et il a déposé un baiser sur mon ventre. Cela donnait un effet comme si j'avais un papillon dans l'abdomen. Max retira mon string de ses mains puis déposa un autre baiser sur ma chatte. Sa langue cherchait mon clitoris. Je m'étais assise, et j'ai écarté mes cuisses pour qu'il découvre mieux mon intimité. Il excitait bien mon clitoris. De son doigt je ne savais lequel, il faisait une sorte de petit tourbillon.

J'avoue que c'était immense ce que l'on pouvait ressentir à cette période. J'avais découvert des sensations que j'ignorais totalement. Je m'étais mise à gémir, quand il jouait avec mon minou de sa langue. J'arrivais pas exactement à voir comment il le faisait. J'avais ma tête penché vers l'arrière, yeux fermés tout comme lui quand je lui faisais la fellation. Tout mon corps tremblait, mes cuisses quand à eux vibraient. J'arrivais plus à me tenir, même assise. Je me suis laissée retomber sur son lit. Couchée, je serrai très fort le drap; envie de le déchirer. Serrant très fort mes cuisses, sa tête entre elles, il réussit quand même à les contrôler. Le souffle me manquait, j'avais un mal fou à pouvoir respirer. Mes gémissements devenaient plus fort. Une envie d'uriner me venait, alors, j'essayais d'articuler quelques mots lui prévenant. Mais non, j'y arrivais pas. Ainsi, de mes mains, je repoussai fortement sa tête afin de pouvoir l'écarter de ma féminité. Je venais de vivre mon premier orgasme. J'ai joui pour une première fois dans ma vie. Aucun mot, pouvait exactement exprimer mes sentiments en cet instant T.