JOURNAL INTIME

JOURNAL INTIME: "UN AMOUR IMPOSSIBLE"

                         8.

Je me débattais de toute mes forces pour le repousser. Mais il était plus fort que moi, et ses baisers langoureux m'affaiblissaient physiquement et moralement, réduisaient considérablement mes forces. Je céda pratiquement et accepta enfin. Il entama des caresses qui s'ensuivirent des baisers.

-Arrête! Avais-je riposté d'un cri quand il desserra ses forces. Sort de ma chambre.

Il était là devant moi sans mot dire. Nonobstant, ses baisers et caresses avaient déjà corrodés mon corps. J'étais entièrement mise en incapacité. Il fit deux pas vers moi, mais de signe de main, je l'avais stoppé. Mon corps réclamait plus; prise au dépourvu, je sautai dans ses bras, me laissant enfin aller. Il me porta pas les cuisses, mes jambes enroulant sa taille, mes mains autour de son cou, les baisers furent repris. Il s'avanca vers mon lit et m'y déposa. J'enlevai sa chemise en la déboutonnant, le jetai sur le sol. Il avait compris sur ce geste que j'étais enivrée d'envie. Il se redressa sur moi, retira mon short ainsi que ma petite robe de nuit. J'étais prête à aller au lit avant son arrivé, du coup, je n'avais pas besoin de mettre un soutien-gorge. Mes seins s'étaient déjà endurcis sous ma robe. Il y déposa sa langue et commença par faire de petits tourbillons, léchant bonnement mes tétons endurcis. Faisant monter le taux d'excitation en moi, il descendit vers ma féminité moite. Il me lécha tout en déposant ses deux mains sur mes seins, les caressant de manière simultanée. Je ressentais des palpitations dans mon corps. Je voulais rapidement que son gland me possède. Je ne voulais plus attendre longtemps avant de sentir son pénis dans mon vagin.

-C'est bon Max, pénètre moi. Avais-je réussi à marmonner.

Obtempérant, il enleva son jean suivit de son boxeur, me tourna de dos. Je m'étais relevé légèrement vers l'arrière, en position d'approche du tigre, lui offrant bien ouvertement mon intimité. Il s'y glissa généreusement puis entama ses mouvements de hanche.

J'admets que sentir son pénis me surchauffer le minou me procurait un sentiment de gaieté. Je tenais très fort les bords en bois de mon lit quand ses coups devenaient plus intense, fort, et délicieux. Je n'ai pu m'empêcher de retenir mes cris de gémissements. Ma mère n'était pas là, mon père quand à lui vivait pas avec nous, toujours en voyage. Tatti elle autre y avait pas de soucis à se faire pour elle, quand elle dort, c'était difficile de la réveiller. Sur ce, nos cris de gémissements n'assourdiraient personne. Sur cette même position durant une trentaine de minutes, Max éjacula en moi. En revanche, on s'en était pas resté là. Nous avions fait l'amour trois fois de suite avant de s'en dormir dans le lit, l'un contre l'autre. Et Oui! Max avait passé la nuit chez moi. C'était d'ailleurs une nuit que jamais je ne serai prête à effacer de mes souvenirs. Être là, endormie dans ses bras après un rapport comme tel, n'était que paradis.

A mon réveil, aux alentours de six heures, j'avais eu une envie inhabituelle de boire de l'eau. J'avais la gorge sèche. Alors, je descendis à la cuisine me chercher une bouteille d'eau d'un litre. Le temps de retourner à ma chambre, j'avais déjà fini la bouteille entière. Max était toujours endormi. J'ai pris ainsi place à ses côtés au bord du lit. J'étais là à le regarder dormir. Il était dans un sommeil profond. Comme il était beau! Le drap du lit recouvrait qu'une partie de son corps, laissant apparaître son torse nu, robuste, avec une jolie tablette dans l'abdomen; envie d'y déposer mes mains le caresser. Au risque de le réveiller, je retirai mes mains à presque deux centimètres de sa peau. Plus l'envie ne me prenait de dormir, donc, j'ai pris la peine d'aller sous la douche; descendre concocter un petit déjeuner après et le lui apporter. Debout dans la douche, j'avais laissé ouvert la porte de la cabine comme j'avais la routine de le faire. Je savonna mon éponge et me le faisais passer sur mon corps. Au moment de me rincer, j'entendais une voix m'interpeller devant la porte de la douche. C'était Max.