The Walking Dead Hailly Weatherly

Chapitre 45 : Lecture déconseillée au moins de 18 ans.

Le lendemain matin, je m'étire dans notre lit et suis quelque peu déçue d'y être seule. Mais je retrouve vite le sourire en me remémorant la soirée d'hier. Je me lève et entend le bruit de la douche.

J'entre dans la salle de bain et là je bloque.

La vue est tout simplement splendide. Daryl est nu, de dos, le corps ruisselant, se rinçant les cheveux. Une chance pour moi, il ne m'a pas entendue rentrer. Je me déshabille sans faire de bruit et me glisse sous l'eau derrière lui. Il se retourne sentant ma présence, ses yeux passent rapidement de la surprise au désir. Il m'enveloppe de ses bras et m'embrasse langoureusement. Après quelques minutes, ses lèvres quittent les miennes pour s'attarder sur mon cou pendant que ses mains parcourent mon corps, le faisant frissonner à chacune de ses caresses. Une de ses mains finit sa course sur mon sein dont il titille le téton à l'aide de son pouce pendant que l'autre trouve le chemin de mon intimité. Il s'insinue en moi faisant ces lents et doux mouvements qui me font simplement perdre la tête. J'appuie mes lèvres sur les siennes pour ne pas hurler. Il aspire chacun de mes gémissements, jusqu'à ce que je tremble sous la violence de l'orgasme. Daryl sourit manifestement content de son effet. Je décide de lui faire connaître ce qu'il me fait ressentir. Sous son regard interrogateur, je commence à embrasser son torse en me laissant tout doucement tomber à genoux devant lui. Au moment où mes lèvres embrassent son membre, Daryl lâche un grognement rauque rempli de désir en empoignant mes cheveux. Enhardie par cette réaction, je décide de le prendre entièrement dans ma bouche, de le lécher, le suçoter et de faire de légers mouvements de va et vient sur son gland, maintenant ma position en plaquant mes mains sur ses fesses musclées. Je sens tous ses muscles se contracter. Sa respiration devient de plus en plus haletante, saccadée et ses gémissements sont de plus en plus forts et de moins en moins discrets.

_ Putain . . . Hailly . . . J'vais . . . Arrête . . . ronronne – t – il en serrant les dents.

_ Je me débrouille si mal . . . je suis désolée . . . c'est la première fois que je . . . soufflai – je rougissante et mal à l'aise de le décevoir.

Daryl me serre dans ses bras et chuchote contre mon oreille : « Au que non !, tu es très douée mais . . . je voudrais terminer autrement. » Avant que j'ai le temps de répondre, je me retrouve plaquée contre le fond de la douche, mes jambes enroulées autour de sa taille. Nous nous embrassons sauvagement quand il me pénètre par surprise d'un seul coup de rein me faisant gémir. Je me perds dans ses yeux et lui dans les miens. Ses coups de rein sont si profonds et sauvages que nous atteignons rapidement l'orgasme. Épuisés nous retournons nous coucher. C'est Carol qui vient nous réveiller une heure plus tard pour le déjeuner.