La Malédiction des Maisons Ennemies - Tome 1

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Notre trio d'or vivait maintenant chez les Weasley, Harry n'ayant plus famille et Hermione qui avait effacé la mémoire de ses parents, ils devaient donc tout les deux habite là-bas.

L'un était heureux car il vivait le parfait amour avec sa petite amie rouquine Ginny Weasley tandis que l'autre ne l'était pas du tout.

Depuis la fin de la guerre son ami le rouquin avait changé et pas que d'humeur son comportement effrayé parfois la brune, tantôt il l'insulter, tantôt il l'a frappé ou parfois il était doux et attentionné même trop.

Hermione sortait de c'est altercation avec des bleus sur les cotes, une lèvre coupe, un œil au beurre noir, un bras cassé et même une jambe.

Personne ne le savait car elle cachait toujours tout derrière des sorts qu'elle avait apprit au fil de ses lectures, Ginny se doutait bien de quelque chose mais à chaque fois Hermione change de sujet au moment fatidique.

Molly : Les enfants descendez.

Tout le monde était en bas sauf elle, Hermione n'osait sortir de sa chambre tant la douleur pour respirer était douloureuse mais elle jeta les sorts nécessaire un peu trop tard car la porte s'ouvrit sur Ginny qui hoqueta de surprise.

Ginny : Mais Moine' qui t'a  fais sa ?
Hermione : Je n'est pas envie d'en parler et puis tu ne me croirais pas.
Ginny : Hermione tu es ma meilleure amie et je veux savoir qui ta fais sa.
Hermione : Ron.
Ginny : Ahah elle est bonne ta blague.
Hermione : Ce n'est pas une blague Gin'.
Ginny : Mais oui allez on descend ma mère nous attend en attendant je veux quand même savoir la vérité ensuite.

Hermione souffle bruyamment voilà ce qu'elle avait redouté, Ginny ne la croyait pas et elle le savait au fond d'elle depuis longtemps mais comment s'avouer à soi-même que votre « meilleure amie » ne vous croit pas car c'est son frère qui vous a fait sa.

Hermione fini par lancer les sorts et descendit les marches en suivant Ginny qui attrapa la main de son « frère », Madame Weasley s'assit devant eux avec M Weasley.

Molly : Bon cela concerne Harry et Hermione.
Hermione : Pourquoi nous ?
Arthur : Car James et Lily ne voulait pas que vous le sachiez avant que la guerre ne soit fini.
Harry : Quoi donc ?
Molly : Et bien Harry je suis désolé de te l'apprendre que maintenant ainsi cas toi Hermione mais vous êtes jumeaux.
Hermione : Ahah nan c'est une blague et bas dis donc vous êtes tous drôle dans cette famille.

Les nerfs d'Hermione avait lâché, tout se qu'elle avait gardé enfoui au fond d'elle était ressortie comme une bombe qui explose petit morceau par petit morceau.

Harry : Hermione voyons ce..
Hermione : Alors la stop. Vous vous foutez tous de moi la ? C'est sa ? D'abord toi Ronald, puis toi Ginny et maintenant vous. Je pensez pouvoir compter sur vous mais en faite je mettais tromper.
Ronald : Mais qu'est-ce que tu raconte Mione ?
Hermione : Ne fais pas l'innocent et avoue leurs a tous. Tout ses bleus, ses coupures, ses fractures que tu as vu tout à l'heure Ginny m'ont été infliger par ton frère. Mais comme je le disais la confiance et quelque chose qu'on perd au fil du temps.
Molly : Hermione mais arrête donc calmez vous.
Hermione : Merci d'essayer de calme la situation mais sa ne sert a rien. Strictement à rien puisque les personnes que je pensais être mes amis ne le sont pas.
Ronald : Tais-toi avant de dire encore un trucs de travers.
Hermione : Quoi sa ne t'a pas suffit d'abuser de moi mais en plus de me frapper, de m'insulter ou même de me violer ? Vas-y ne te gêne pas frappe moi et tout le monde verra ton vrai visage.
Harry : Hermione mais arrête.
Hermione : Mon soi-disant frère jumeau n'est même pas capable de voir quand sa sœur est mal.
Ronald : La ferme.

Ron s'avança vers la brune qui ne bougea pas, il sourit et abattit son point sur la joue de la jeune fille qui était tellement habitué, des cris de surprise se répandirent dans la pièce alors que Hermione retenait les larmes de couler sur ses joues.

Hermione : Tu as réussi le test avec bravoure Weasley.

Hermione se releva et ria jaune personne comprit jusqu'à ce qu'elle pointe sa baguette sur son corps et qu'elle tombe les genoux au sol, elle se releva avec l'aide d'une chaise puis souleva son teeshirt afin que tout le puisse voir les marques que Ron avait laissé.

Hermione : Vous voyez tous sa et bien je ne me l'ai suis pas infliger toute seule. Comme vous avez pu le voir juste avant Ronald en est la cause. Passons laissons je ne reste pas une minute de plus ici.

Elle lança à nouveau les sorts sur son corps qui lui permit de tenir sur ses pieds, elle monta les escaliers douloureusement car les marques n'était pas mais la douleur était présente.

Ginny : Mione attend.

Mais la lionne avait disparu derrière la porte ferme à clé, Hermione rassembla ses affaires dans son sac extensible, elle utilisa des sorts pour effacer toute trace d'elle dans cette maison, elle déverrouilla la porte et transplana avant que Ginny ne puisse lui dire quelque chose.

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Elle avait atterri dans une rue qui lui était complètement inconnu, elle marchait son sac sur ses épaules, sa capuche rabattu sur sa tête car la pluie lui tomber dessus, elle ne savait pas où elle allait et tout dans sa tête s'embrouilla.

Elle sentit ses forces quitter son corps puis ses genoux tomber au sol, sa respiration se fit rapide et tellement la douleur était forte qu'elle laissa les larmes coule sur ses joues ainsi que la pluie qui se mêla.

Elle avait entendu des pas venir vers elle mais n'étant doté d'aucune force, elle avait juste fermé les yeux et avait sombré dans les ténèbres en entendant une voix prononcé son nom de famille.

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La douleur était moins immense mais elle était toujours présente, Hermione essaye de se relever mais à chaque fois ses bras ne l'aidait pas car il était en coton.

... : Ne bougez pas Miss vous êtes encore faible.
Hermione : Madame Malefoy ? Mais que fais-je ici ?
Narcissa : Je vous ai trouver inconsciente dans la rue sous la pluie alors je vous ramener ici et j'ai demandé à Gulou de vous soigner.
Hermione : Merci mais je dois partir.
Narcissa : Oh non non Miss vous allez rester ici et tout me montrer.
Hermione : C'est le moins que je puisse faire. Bien tout à commencé après la guerre...

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