La Malédiction des Maisons Ennemies - Tome 1

4.1 ☜

Ce jour qu'elle attendait temps aller arriver dans 2 jours, Hermione et Drago retournait à Poudlard et la jeune fille était particulièrement enthousiaste même si Narcissa aller beaucoup lui manquer, elles avaient passé plusieurs jours ensemble pendant que Drago sortait jouer avec Blaise.

Narcissa : Hermione qu'est-ce qui vous préoccupe ?
Hermione : Je me demandais seulement si.. Ronald aller être dans le Poudlard Express ou encore en établissement.
Narcissa : Ne vous inquiétez pas Hermione personne ne s'en prendra à vous. Drago sera là pour vous protéger.
Drago : On parle de moi ?
Narcissa : Je disais que tu protégerais Hermione de tout danger possible.
Drago : Effectivement ma mère c'est se montrer très convaincante quand elle veux.
Narcissa : Voilà qui est réglé bien maintenant passons à table avant que vous ne mourriez de faim comme Hansel et Grethel.
Hermione : Vous connaissez ce conte ?
Narcissa : Mais bien sûr je le lisais tout les soirs à Drago quand il était petit.
Drago : Je m'en souviens encore. Il me semble qu'il soit encore dans la bibliothèque non ?
Narcissa : Effectivement, je vous y conduirais après le repas Hermione.
Hermione : Merci Narcissa.

Le repas se passa dans le calme seul les bruits des couverts qui s'entrechoquent avec l'assiette et le bruit de mastication faisant honneur de son dans la pièce, Hermione fini et débarrassa son assiette une chose que Mme Malefoy n'avait jamais compris, ils y avaient pourtant des elfes pour s'occuper de sa.

Narcissa emmena comme promis Hermione dans la bibliothèque après le repas, elle lui montra plein d'ouvrage dont Hermione ne connaissait pas les noms, puis elles s'arrêtèrent devant une étagère contenant une quantité incalculable des contes Grimm.

Narcissa : Prenais en quelque uns si cela vous dit. Ils sont à votre disposition Hermione.
Hermione : Merci Mme Mal.. Narcissa c'est très gentil.
Narcissa : Mais de rien. Bon je vais vous laisser bonne nuit Hermione.
Hermione : Bonne nuit Narcissa.

Narcissa sortir de la pièce ou la jeune lionne tournoyait afin d'apercevoir tout les livres, elle avait les yeux qui pétillaient et son sourire sincère et heureux était présent sur son visage, elle s'avança vers les étagères qui contenaient tout les contes des frères Grimm et se saisit de celui d'Hansel et Grethel.

Elle s'assit dans un fauteuil beige et très doux au touché, elle défit ses pieds de ses chaussures et se recouvrit d'une couverture qu'elle fit apparaître avec sa baguette, puis alluma le feu afin de pouvoir commencer sa lecture devant un bon vieux feu de cheminé.

« A l'orée d'une grande forêt vivaient un pauvre bûcheron, sa femme et ses deux enfants. Le garçon s'appelait Hansel et la fille Grethel. La famille ne mangeait guère. Une année que la famine régnait dans le pays et que le pain lui-même vint à manquer, le bûcheron ruminait des idées noires, une nuit, dans son lit et remâchait ses soucis. Il dit à sa femme
- Qu'allons-nous devenir? Comment nourrir nos pauvres enfants, quand nous n'avons plus rien pour nous-mêmes?
- Eh bien, mon homme, dit la femme, sais-tu ce que nous allons faire? Dès l'aube, nous conduirons les enfants au plus profond de la forêt nous leur allumerons un feu et leur donnerons à chacun un petit morceau de pain. Puis nous irons à notre travail et les laisserons seuls. Ils ne retrouveront plus leur chemin et nous en serons débarrassés.
- Non, femme, dit le bûcheron. je ne ferai pas cela! Comment pourrais-je me résoudre à laisser nos enfants tout seuls dans la forêt! Les bêtes sauvages ne tarderaient pas à les dévorer.
- Oh! fou, rétorqua-t-elle, tu préfères donc que nous mourions de faim tous les quatre? Alors, il ne te reste qu'à raboter les planches de nos cercueils.
Elle n'eut de cesse qu'il n'acceptât ce qu'elle proposait.
- Mais j'ai quand même pitié de ces pauvres enfants, dit le bûcheron.
Les deux petits n'avaient pas pu s'endormir tant ils avaient faim. Ils avaient entendu ce que la marâtre disait à leur père. Grethel pleura des larmes amères et dit à son frère:
- C'en est fait de nous
- Du calme, Grethel, dit Hansel. Ne t'en fais pas; Je trouverai un moyen de nous en tirer. »