Chapitre 1 : Quand le futur visite le passé

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Dans la vie de tout homme le passé resurgit dans notre présent, nos actes passés marques indéniablement notre présent et notre futur.

La pièce est chargée d'humidité, la lumière y pénètre que par de rares vitres sales et fêlées. La chaleur est difficilement supportable, et la poussière virevolte dans les 40 mètres carrés de ce lieu atypique, elle tourbillonne dans les faisceaux lumineux qui traversent la pièce. Une odeur étrange remplis la pièce, un mélange inconnu pour les personnes présentes, des tiges vertes très odorantes semblent sécher sur un fil tendu.

Rapidement les lieux sont investi par une vingtaine de personnes portant des costumes étranges laissant penser que ces s derniers ont un certain pouvoir d'ordre militaire. Il suffit de compter le nombre d'étoiles sur leurs uniformes et de voir celui qui en porte le plus s'adresser d'une voix forte et d'un ton imposant le silence et le respect, aux autres membres. Seulement deux personnes portent une tenue simple, un homme qui suit attentivement tous les faits et geste de celui qui impose le respect et une femme fluette agée d'à peine 19 ans, des cheveux flamboyant roux et de jolies grands yeux verts, elle court aussi dans cette pièce étrange a la recherche d'un siège, pour l'homme qu'elle assiste.

Chaque homme et femme de cette assemblée est étrangement arrivée comme apparu au milieu de cette vaste salle sombre. Un lieu qui malgré l'attitude de personnes présentent ne ressemble en rien au lieu habituelle ou doivent se réunir des personnels militaires. Un endroit qui semble sorti d'un autre temps. Au sol un étrange cercle de métal est disposé composé de plusieurs partis, ce cercle semble étranger a ce lieu, comme venu d'un autre temps. Personne n'y prête attention, d'ailleurs toutes les personnes s'y éloignent rapidement pour rejoindre les extrémités de la salle. Avec l'arrivée de ses hôtes la mince couche de terre au sol battent par les pieds de ses invites s envolé dans l'air et recouvre les objets présents d'un lointain passé.

Chacun assis sur un vieux fauteuil dont le tissu fait grise l'une ou sur un banc au bois vernis écailles ou même assis sur un tas de bois, l'étrange réunion commence.

Sur un ton alertant le fonctionnaire haut gradé parle d'un ton grave : tout d'abord il rappelle les règles. il est interdit de parler de cet endroit à quiconque, ni de ce qui s'y trouve, il est interdit de sortir de la pièce, de regarder par les vitres recouvertes en partis de peinture à l'extérieur, la réunion est confidentiel et les propos qui y sont tenus doivent rester confidentiel. Toutes personne ne respectant pas ses règles seront soumissent au "SANCIO". Il est rappelé que chacune et chacune à signer un engagement libre envers ses obligations. Personnes n'osent se regarder comme si l'enjeu étaient connu de tous.

Ce qui suit, ressemble à un grand élan désorganisé : les personnes présentent se mettent à courir frénétiquement dans tous les sens. Du moins elles piétinent, trépignent, cherchant un endroit ou déployer des cartes, prendre des notes aisément, et aussi étonnant que cela puisse paraître.... Pas l'ombre d'un ordinateur ou d'une tablette. Tout dans cette pièce semble sortir d'un autre temps et pourtant les tenus porter par ses hommes et ses femmes semblent tout droit provenir du futur.

S'opposent ainsi l'odeur de la terre au parfum entêtant probablement synthétiser en laboratoire, mélangeant dans la pièce des odeurs boisés et fleuries synthétiques à des odeurs plus feutrer de fleurs séchées qui traversent la salle de pare en pare attacher sur des fils de cordelettes. S'opposent un panier tissé a la main probablement contenant des étoles de tissus aux couleurs neutres et à la raideur visibles à l'œil nu, au costume clinquant du commandant en chef, avec ses couleurs vivent presque irréalistes et au tissu que l'on dirait « vivant », créer dans un alliage « Alien ». L'homme bouge et le costume le suit comme s'il s'ajustait automatiquement à ses moindre faits et gestes. S'opposent dans des coins entassés des tas de ferrailles, d'objets oubliés du passé dont pour la plupart leur nom a été oublié, à l'absence de tous métaux qui auraient dus orner les oreilles, cous et poignées des individus présents. Rien n'est venu avec ses hommes et ses femmes de métalliques, d'acier, d'électriques, ou de rechargeable.

Chacun s'affère avec frénésie comme si le temps était limité, comme si un compte à rebours guidait leur action et expliquait leur précipitation. Un brouhaha émanait de chaque petits groupes, tous s'afféraient à écrire frénétiquement des mots sur des blocs notes, ou à établir des croquis aux crayons fusains. 

GénésieWhere stories live. Discover now