Chapitre 6 : Beauté de la nature

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Même dans les pires moments la vie à toujours quelques choses à nous offrir.

Laura fut ébloui par la forte luminosité du soleil et elle peina à ouvrir les yeux. A cette heure de la journée le soleil se situait assez bas. Après avoir cligné des yeux plusieurs fois pour s'accoutumé à la lumière Laura fut empli d'étrange sensation, tant olfactive, que auditif, ou visuelle. Elle fut tellement émerveillée par la beauté de ce qu'elle avait devant les yeux qu'elle en tomba littéralement sur les fesses. Un champ d'orge s'étendait à perte de vue, avec en fond un magnifique soleil se levant pour réchauffer les épis d'un jaune paille. Une odeur d'herbe mêlée à l'odeur des épis emplissait ses narines. Un étrange bruit qu'elle n'avait jamais entendu un chant mélodieux émanait des arbres à la lisière du champ. Laura se releva et avança d'un pas vers l'orge pour les caresser délicatement avec la paume de sa main. Elle enleva ses chaussures et posa ses pieds au sol avec autant d'excitation qu'un enfant découvrant pour la première fois un nouveau jouet. Elle ressenti une sensation jamais ressenti auparavant, une caresse fraîche de l'herbe portant encore un peu de rosé du matin, sous sa voute plantaire. Un agréable massage frais et voluptueux qui lui était offert gratuitement par la nature. Elle courue, folle de ses nouvelles sensations, vers un arbre, elle colla ses narines sur l'écorce et huma son odeur à plein poumon. Laura reculé et attrapa une feuille de cette arbre majestueux en faisant attention à ne pas la blesser, ni l'arracher. Elle senti de nouveau et laissa entrée en elle, au plus profond de ses poumons la douce odeur verte de la chlorophylle. Laura se senti étrangement bien loin de toutes inquiétudes, comme au paradis. Elle n'avait jamais vu pareil chose dans son monde. Les plantes, fleurs et arbres avaient disparus, les sorties à l'air était rare, une pluie radioactive et sale tombait en quasi permanence. Seule quelques lieux privilégiés profitait d'atrium mais l'air distribué était créer par l'homme. D'ailleurs dans ses lieux des médicaments y étaient distribué dans l'air respiré, afin que les populations ne tombent pas malade. La mère de Laura avait toujours fuit ses endroits elle pensait et peut être à juste titre que le gouvernement administrait ainsi d'autre substance comme des régulateurs hormonaux rendant stérile la population afin de pouvoir contrôler la natalité. D'ailleurs tout aillant un cout les séances de procréation étaient couteuses pour les familles et c'était très lucratif pour l'état. Les médecins tous comme les militaires, la police, dépendait de l'état et appliquait les protocoles et soins selon les règles exclusive du gouvernement. Ainsi certain médicaments n'étaient pas distribués dans le REFUGE. Là-bas la population mourrait rapidement dans des conditions de vie plus que déplorable. Laura était fille unique, sa mère avait jouie dans son enfance des promenades à l'air « pure » dans un atrium du secteur 3. Sa famille assez aisée avait les moyens financiers de payer un abonnement mensuel à l'atrium. A grand renfort de publicité, les Atrium étaient plébiscités pour les familles riches. Laura revint sur l'instant présent profita de la vue et des odeurs encore quelques instants avant de réfléchir à ce qu'elle allait bien pouvoir faire. Deux choses vitales venaient à privilégier toutes les autres décisions : il lui fallait boire pour ne pas se déshydrater surtout que la première partie de la nuit avait été difficile pour elle, elle avait subi une grande perte hydrique. Puis il lui fallait aussi manger, elle avait répandu au sol, la veille, le peu que son estomac contenait. Pour l'eau, elle n'avait aucune idée d'où elle pouvait la trouver. Chez elle, elle était distribuée par la robinetterie. La nourriture aussi d'ailleurs était distribuée sur son secteur quotidiennement par ration. D'ailleurs personne n'osait ce demandé ce qu'il y avait dans ses carrées gélatineux ou grumeleux, selon les jours. Laura se dit qu'elle allait finalement mourir de soif et de faim. Elle se rassura en se disant qu'elle avait lu assez de livre pour se donner une idée de ce que à quoi ressemblait la nourriture dans le passé, comme elle se chassait ou se pêchait. Sa passion pour la lecture allait peut être trouvé tout son sens dans sa nouvelle vie. Elle regarda autour d'elle, tourna autour de la grange qui était partiellement enterré. Elle avait l'air abandonné vu de sa nouvelle position, c'est peut-être d'ailleurs pour cela que le lieu avait été choisi. Mais elle avait pourtant des plantes séché étendu sur des cordelettes à l'intérieur, servait-elle peut être de lieu de stockage, et de séchage. Elle devait être peut fréquenter. J'avais lors de ses passages de portes elle n'avait rencontré d'autre population, d'ailleurs elle avait toujours pensé qu'il n'y avait pas de vie dans ses autres mondes. Mais force est de constater que les céréales ne s'étaient pas planté toutes seules, ni les plantes ne s'étaient pendu sur les fils sans une aide humaine. Une immense crainte vint s'insinuer dans ses veines comme un poison glacé. Qui était ses hommes et ses femmes, comme allait-il l'accueillir ? Devait-elle les craindre ? Lui ferait-il du mal ? Elle décida de préparer son départ et de rester peut être encore une nuit dans la grange. Après tout depuis hier au soir personnes ne s'étaient présentés à elle, enfin personne de ce nouveau monde. Le soleil était haut dans le ciel et marquait le milieu de la journée. Elle dégrafa le haut de sa combinaison et la laissa tombé en arrière nouant devant elle les manches. Elle portait dessous un petit débardeur blanc. Elle trouva un bout de cordelette et s'attacha les cheveux avec, et remis à ses pieds ses chaussures. Laura entrepris ensuite de faire le tour de la propriété, du champs et voir un peu au-delà pour voir ce qu'il devait se trouver derrière cette petite colline qui lui bouchait la vue. Pour l'instant en faisant le tour sur elle-même il n'y avait que de la verdure, la nature, les arbres... Arrivé derrière la grange Laura découvrit un rond en pierre qui semblait assez profond à y voir en s'y penchant au-dessus. Un petit toit en bois couvrait le dessus du trou comme un chapeau et une corde descendait à l'intérieur du trou. Elle pensa que la corde n'était pas là sans intérêt et elle tira sur son extrémités après avoir détaché le nœud, elle remonta ainsi plusieurs mettre cette corde et elle découvrit stupéfaite un petit sceau contenant de l'eau clair. Elle senti l'eau comme pour être certain qu'elle était consommable, bien qu'elle s'avait que l'odeur de pouvait en rien préjuger de sa consommation saine. L'eau était assez clair, et outre son odeur ou son aspect, sa gorge à la vue de cette eau, se mis à la bruler. La soif se fit ressentir de plus belle. Perdu pour perdu, elle prit de l'eau dans sa main valide et bu dans le creux de sa main. L'eau avait un gout légèrement terreux mais sa soif était tel qu'elle en reprit plusieurs fois jusqu'à que sa soif soit étanchée. Elle remonta ensuite un second sceau dont elle rependit le contenu sur sa main blessée pour laver le sang et nettoyer la plaie. Laura pensa à stocker cette eau surtout en prévision de son futur départ. Elle chercha dans l'amoncellement d'objet divers de la grange un contenant transportable. Elle trouva des bocaux en verre avec des couvercles. Elle en rempli plusieurs, vérifia l'étanchéité en les retournant et les secouant un peu, et les mis à l'intérieur à l'abri du soleil. Eau : OK. Concernant la nourriture, elle n'avait aucune idée. Elle pensa bien manger des feuilles mais elle n'avait aucune idées de celle qui était consommable ou pas. Elle avait lu des ouvrage de plantes mais elle n'avait pas pu s'entrainer à comparer les diverses variétés car hors mis en dessin ou photographies sur des ouvrages elle n'avait jamais vu de plantes ou feuilles, même celles exposé au musée était facticeet n'avait comme intérêt de montrer au génération actuel et futur à quoi ressemblait le monde avant, enfin tout n'était pas montrer, il nr'était surement pas utile de faire déprimer les visiteurs sur un passé magnifique qui avait définitivement disparus. Le musée exposait seulement des plantes sous des cloches en verre sous fond de lumière artificiel. Rien de les représentait dans leur milieu naturel comme ce qu'elle voyait là aujourd'hui de ses propres yeux. Laura se dit que si elle avait eu connaissance de cette nature, elle aurait surement été très mal de voir ce que les hommes à travers la guerre avaient pu anéantir. Comment vivre en sachant que les êtres humains avaient détruit une telle merveille. Laura n'avait jamais pu imaginer qu'il existait une telle chose. Elle ne savait pas où elle était, sur quelle planète elle avait été téléporté, mais une chose était sure cette planète ressemblait à ce qu'il y avait eu sur la planète terre avant la guerre nucléaire. Laura en avait lu des livres, et beaucoup de livres interdits auxquels elle avait accès grâce à son père, décrivaient précisément une planète ressemblant à ce qui s'offrait en ce moment devant ses yeux. Elle fut quelques instants rassurés imaginant que si le lieu était semblable à un lointain passée d'une planète peuplé d'humain, cela signifiait peut être qu'il y avait sur cette planète des êtres qui lui ressemblait. Laura passa la journée adossé à un arbre à réfléchir, à sa vie, et ne se lassa de regarder à s'en sécher les yeux la beauté du paysage jusqu'à que le soleil commence à frôlé le bout des épis d'orges. Elle rentra dans la grange, referma derrière elle, la porte en insérant de nouveau la tige de ferraille empêchant l'entrée de toutes personnes. Elle s'était préparé dans l'après-midi une couche avec les tissus trouvés çà et là. Elle n'y pas froid cette nuit-là et dormit d'une traite. 

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