Chapitre 6 - Ailes De Félonies
Londres - 2014 - WarrenUne vague forme humaine progressait aux pas de courses dans l'obscurité d'étroits tunnels souterrains, ses coudes raclaient dangereusement la parois irrégulière. Même si des traces de blessures fleurissaient progressivement sur ses avents-bras, causées par de trop nombreuses aspérités qui piquaient la roche; il n'y prêtait pas la moindre attention.
Au creux de son point une lettre se chiffonnait sous la pression ascendante de ses doigts sur le papier parcheminée. Le saut ancien en cire rouge qui refermait la missive était marqué d'un double ouroboros, les deux serpents qui se mordaient respectivement la queue formant ainsi un cercle parfais symbole de magie et d'une infini renaissance, ces deux reptiles renferment en leurs centres un L styliser. Vague stigmate d'un passé enfuis sous les mensonges répétitif et les non-dit qui escortaient sa vie et meurtrissaient son cœur.
Après un temps indéterminée, rythmé par le claquement régulier de ses semelles contre le sol pourpre marbré de blanc, les parois s'espacèrent, se déversant sur des ruelles noyées dans l'ombre d'imposant monument. Le jeune homme ne s'arrêta pas pour contemplé les ruines de la ville enterré, il les connaissaient si bien, il serait parvenus à s'y repérer les yeux fermés, même si de nombreuses lueurs crachotant au seins des lampions disséminés dans la citée enfuie, lui dispensaient de se déplacé dans un noir qui ici même c'était jadis fait pesant.
Derrière les nombreuses fenêtres qui découpaient la roche gris perle des façades victoriennes, apparaissaient quelque visages curieux, rendus blafards par la nuit perpétuelle qui enveloppait les catacombes. Là aussi il n'y prêta point attention car il savait qui se cachait et même s'ils n'étaient pas amis, jamais les habitants de ce lieu ne se permettraient de l'attaquer. Si seulement ils savaient se qu'il en est à Aurox... Ils n'auraient pas la même réaction, cela ne fessait aucun doutes.
Au détours d'une venelle une enfant au yeux mordorés, aperçut l'étranger et après avoir figé son expression facial sur un semblant de peur et de surprise, la petite se métamorphosa en un loup roux pour détalé au plus vite, face à se danger imprévus.
Qui sais quelles médisances pouvaient courir à son propos ? Pourtant, comme habitué par cette réaction excessive, il ne s'en affecta nullement et après une brève escale là ou la gamine avait disparut il repartit d'un pas déterminé. La grand place vient à se dessiner à l'extrémité de la ruelle, étant le cœur de la ville elle était légèrement mieux conservée que le reste de la ville, mais celle si restait délabrée dans son intégralité, la seule chose qui variait était les degrés d'importances des avaries causées par le temps.
Fendant les pavés polis par l'érosion et l'eau salée, un lac. Gigantesque il avait engloutit une partie de la ville et son eau vaseuse en poissait désormais chaque parcelle de terrains, il avait investit la partie basse des ruines, s'infiltrent par les différents points stratégique qui accueillaient l'eau courante à l'époque où cette agglomération urbaine était encore occupée par ses légitimes possesseurs.
L'étendue au fond aujourd'hui insondable, dont l'eau croupie abrite de rare forme de vie marine s'étendaient, infinie et menaçante. Elle semblait renfermé la mort, la couvé telle un trésor, un joyaux si précieux que les bras de l'eau l'étouffaient. Mais il n'en était rien, nul mort sous ses eaux à la profondeur indéterminable, nul bijoux, juste quelque jeunes Faysęrtan légèrement solitaires qui surveillaient la surface, prêt à happé un malheureux promeneur, se qui était sûre restait purement et simplement le fait que mettre un pied dans la vase dense précipitait le moindre malheureux marcheur vers une mort précoce.
Mais malgré ce fait connus des habitués, le jeune homme s'en approcha avec une certaine précaution et sa main libre flatta timidement le liquide d'un vert dense que les yeux jugeaient proprement impénétrable.
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Les Ombres Du Temps
FantasyNous autre humain sommes continuellement a la recherche de la vérité, et pourtant on se berce d'illusion car il nous est impossible de l’acceptée. Pour certain d'entre nous, elle est là. Tout près, cachée dans nos souvenirs enfuis ou ref...