Chapitre 8 - Nouvelle Ombre

198 8 14
                                    

Hey !
Chapitre court, j'espère qu'il ne vous semblera pas stagner. N'ésiter pas à commenter. Vos conseilles me manquent cruellement. ^^ Je le répète, je ne mord pas et j'essaye de répondre à tout vos messages. (Dans la mesure du possible en prévision des examen qui se profils.)
Bye, Aest'
oO.°Oo.oO°.Oo

Une couverture vaporeuse pesait lourdement sur moi et sa masse, bien qu'aérienne, réussissait à m'étouffer. Mais j'aimais cette sensation, c'est moi qui bordait fermement les draps avent de m'y glissée. Au moins cela me permettait d'avoir chaud, car la chambre à la qu'elle on m'avait assigné était gelée. Chaque respiration rajoutait un nuage d'écume à la brume qui noyait la chambre. J'aurais pus croire qu'on avait rendus l'air tangible, imbibant de blanc chaque molécule qui le composait. Mais c'était seulement le chaud et le froid, des opposés bien réels et tangibles qui s'affrontaient, là sous mes grands yeux.

Des yeux que je fermais pour remonté la couverture jusqu'a mes oreilles avec un gémissement plaintif. Grelottante sous les draps je me frictionnais les avent-bras avec la même force que l'aurait fait une morte, le tracé brûlant de mes membres sur ma peau n'était pas plus agréable que le froid en lui même. Je me consumais lentement depuis de Père m'avait fait porté cette tisane aux fruits rouges, son goût était atrocement salé, voir métallique. Si j'avais eu la moindre autorité, le cuisinier se serait fait renvoyer, mais je n'en avais pas du tout. Même pas une once accordé par bonté d'âme ou, par défaut avec se qui lui restait d'humanité, voire de pitié.

Je méditais sur le fait, ô combien probable, que Père avait enfin trouvé un moyen de se débarrassé de moi, m'imposent une lente descente au enfer par la main d'un quelconque poison; quand la porte s'ouvrit brusquement, libérant son habituel et horipilant grincement de ferraille qui racle le sol en bois.

Sans bougé j'écoutais le planché gémir sous les pas de l'intrus, son déplacement était rapide et il ne cherchait pas à faire dans la finesse. Si un Dragon était entré, sa aurait fait exactement le même boucan.

- Ombre ?

Pas il... Elle. Bien sur, seul Victoriqua avait les clés de ma prison dorée. Pas toujours, mais quand l'occasion se présente elle ne manque pas de les ravirs à la garde attentive de Père.

J'ai repousser le pan de tissus afin de chercher à accroché son regard mauve. Malgré sa face d'ange ensommeillée, elle était d'une beauté à faire pâlir les courtisanes les plus coriaces, ses cheveux roux vaguement ébouriffés, l'auréolait magiquement de feu et ajoutant à son aire excité, d'une gamine un peux folle au saut du lit, une robe de chambre chiffonnée pendait sur son corps enfantin, dévoilant des formes exquises que tout prétendants à sa main s'étaient sûrement empressés de mémorisés.

Même si elle paraît encore sous l'emprise de sommeille, avec ses gestes brusques, dépourvu de grâce et pourtant emplit d'une énergie bourrue, elle dégageait une joie infinie et une bautée équivale à un diamant brut, juste avent la taille.

- Victoriqua, qu'es qui se passe ?

La jeune fille m'offrit son sourire le plus éclatent qu'elle gardait à mon intention, pour les grandes occasions, cela prévoyait une sortie magistrale. J'écarquillais les yeux, réceptrice de se qui transparaît dans son attitude.

- Papa à des invités ! Il nous veux toutes les deux à leurs tables. Et je peux t'emmenée ou je veux. Je sais pas combien de temps sa vas duré, mais tant qu'ils sont la, tu as champ libre !

J'avais écouté, mais mon cœur avait buté sur le mot Papa. Devenus Père pour moi, une simple différence de vocabulaire pour certain, mais au fond il s'agissait de me protégé de ce géniteur, de son injustice envers moi. Qu'avais-je fait pour attiser sa haine à part naître en second lieu ?

Les Ombres Du TempsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant