CHAPITRE 3 - Disparitions dans la nuit
Aurox - La ville d'Elfatria - 2014La silhouette reptilienne qui se détachait du couchant, immobile sous les fortes rafales de vent, fixait les étoiles, le ciel était pour elle une expansion d'elle-même, ses grandes ailes noires en étaient la preuve incontestable. Des volutes de brumes s'élevaient dans le ciel à chacune de ses respirations, ces nuages blancs semblaient, pendant le cour laps de temps où ils étaient visibles, capturés les dernier rayonnements de Saurâl.
Le soir, plantes et arbres se couvraient de givres à cause du froid mordant des hauts pics, mais le matin toutes trace de froid disparaissait, chasser par une bande astrale écrasante de chaleur, qui noyait les valets et les pics acérés de la grande chaine dans ses rayons pouvant se montré impitoyable et mortelles.
Le jeune Dragon s'ébrouât et déployât ses grandes ailes sombres qui se fondaient dans le ciel nocturne, d'un mouvement agile le reptile s'élevât dans le ciel et piqua vers les vallées en contrebas, encore légèrement protégées du froid qui avait dors et déjà atteint les hauts plateaux et les pics. Se laissant porter par les courants ascendant il survola la citée Elfique, observant de loin les majestueuses tours en verres du palais, qui telle des épées argentées pourfendaient le ciel obscures en y diffusent un faible lumière bleutée.
Dès qu'il fut assez près, ses yeux ambrés fouillèrent le paysage en quête d'une présence familière. Il repéra la haute silhouette d'un elfe dont la longue chevelure noire s'emmêlait avec vénusté sous la force du vent. Soulevant sa tête dans un mouvement emplit de grâce, l'elfe aperçu la créature de cieux et lui fit signe de descendre. Obéissant, le dragon piqua et se réceptionna non loin du l'objet de sa venue. Replient ses ailes sombres il jaugea l'elfe des yeux, son uni le regardait avec assurance, comme toujours un sourire impertinent accroché à ses lèvres fines.
- Et bien, Fenris. Qu'attend tu ? Aurais-tu par pure hasard perdus la facultés de te stabilisé en ta forme humaine, l'attaqua l'elfe en se détournant, comme désintéressé par la majestueuse présence accroupie derrière lui.
Le dragon secoua sa tête titanesque de mécontentement et poussa d'un coup de museaux le jeune homme irrévérencieux, le projetant avec force contre le sol lisse d'une matière proche à celle du cristal.
- Tes paroles sont toujours aussi acerbe, dit la voix caverneuse du reptile pendent que son interlocuteur se relevait en s'époussetant.
- Mes paroles sont se qu'elles sont, pour qui te prend tu pour les jugées ?Un sourire étira les coins de la bouche du dragon, révélant une rangée de dents effilées comme des rasoirs. La surface de ses ailes membraneuse se mît à onduler tout comme le reste du cors de la créature, les couleurs cryptique restèrent les même mais l'animal se mua rapidement en un jeune homme. Les ailes drapèrent momentanément ses épaules avent de prendre la forme d'une longe cape noire. Fenris passa une main dans ses courtes mèches noires ondulées et souris malicieusement.
- Ho, simplement l'héritier du trône de mon peuples !
- Et bien, pourquoi ne t'es tu donc pas lier avec mon cher cousin ? Tu aurais eu des conversations avec quelqu'un de ta tempe, ricana l'elfe en lèvent les yeux au ciel, complètement exaspéré.
- Je ne veux pas d'un future roi encore plus dédaigneux que toi pour Unis, fit Fenris amusé par la proposition.
- Ne t'inquiète pas, j'ai dus en décroché la palme depuis longtemps !Le dragon étouffa un rire qui se mua hâtivement en soupir, car il savait devoir abordé un sujet importent qui ne l'enchantait guère. Le silences flotta entre les deux amis pendant un moment avent qu'il ne décide de se lancer.
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Les Ombres Du Temps
FantasyNous autre humain sommes continuellement a la recherche de la vérité, et pourtant on se berce d'illusion car il nous est impossible de l’acceptée. Pour certain d'entre nous, elle est là. Tout près, cachée dans nos souvenirs enfuis ou ref...