#Chapitre 51

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[...]

3 mois plus tard...

Moi: PAUL JE T'AI DÉJÀ DIT QU'UN JOUR JE TE TUERAI ?!
Paul: Calme toi c'est bon je suis la...
Moi: FERME LA ! AHAHAHAAAAH J'AI MAL ! POURQUOI TU LES AS MIS DANS MON VENTRE !
La sage femme: Allez madame je vois la tête du premier ! Quand je vais vous dire vous pousser ! 1.2.3 ! Poussez !!!!
Moi: AHAHAHAH !

Bon je pense que vous avez compris se qu'il se passait ! La main de Paul est dans la mienne et autant vous dire que sa main est broyé ! Le travail à commencer il y a déjà 6 heures !

La sage femme : Allez madame ! Il est presque sortie ! Poussez !
Moi: J'AI MAL ! AHAHAH !
La sage femme : C'est bon allez encore un effort pour le dernier ! Poussez très fort !
Moi: PAUL J'AI MAL !

Les larmes montent et je me mets à pleurer ! J'entends un bébé pleuré suivis d'un autre !

La sage femme : Très bien madame ! C'est bon ils sont là !

Elle part avec sa collègue et les bébés leurs faire les soins puis ils reviennent même pas 3 minutes plus tard.

La sage femme : Voilà ! Vos deux petits bonhommes !

Paul et moi avions décidé de ne pas connaître le sexe des bébés avant l'accouchement ! Nous sommes donc parents de deux garçons !
J'ai rien compris mais je me suis directement mis à pleurer. J'ai regardé Paul et il avait lui aussi les larmes aux yeux. Il m'a souris et fait un bisou sur le front puis la sage femme lui a donné un des bébés. Elle m'a donné l'autre pour que je l'allaite (entre temps ils nous avaient ramèner dans une chambre).

Paul: On est parents...
Moi: Oui... J'y crois pas...

La porte de la chambre s'ouvre et je vois mon père. Mes larmes se mettent à couler encore plus ! Il vient et me prends dans ses bras. 

Lui: Ma fille... 

Il se relève, les larmes aux yeux. 

Moi: Tu veux en prendre un ? 
Lui: Oui bien sûr ! Ta mère aurait été heureuse d'être la... 

Je le regarde droit dans les yeux avec les larmes qui coulent et je lui fait un petit sourire. 

Lui: Comment vous allez les appeler ? 

Je regarde Paul. 

Paul: Kais et Kassim ...


[...]


To be continued...

S H A N N O N  DESCHAMPSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant