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Mes cordes vocales sont à coup sûr éraillées. Maintenant que je viens d'extérioriser toute la peur en moi lorsque j'ai aperçu ce corps au dessus de ma tête.
En effet, à la place du ciel habituel que me laisse l'avantage d'avoir une chambre avec un plafond transparent j'ai pu avoir l'honneur d'avoir une vue imprenable sur un individu dos à moi.
Ses bras et ses jambes ont l'air démembrés.
C'est un homme au vu des vêtements : Il porte un jean et un chandail blanc qui est taché par les résidu de ce plafond. Mais également par sa carrure : Ses large épaules nous laisse facilement deviner qu'il est adepte d'un sport, et sa morphologie entière est celle d'un homme fort.
Sa tête est face au ciel, il m'est donc impossible de donner l'identité de ce cadavre.
Mon moment d'observation et de tétanie est rapidement interrompu par la porte de ma chambre qui fut ouverte abruptement.
Dalaïs fit irruption suivit de First, les deux dans des tenues proche de la nudité. Je voudrais leur faire remarqué ce détail mais les circonstance actuelle font que ce n'est qu'un élément inutile.
De leur regard inquiet et aussi rempli d'incompréhension, je peux facilement traduire leur question :
Pourquoi ai-je criée ?
Et pour les axé sur une réponse muette je leur montre du regard le cadavre en dehors.
Ceux-ci suivirent mon œillade et il aperçurent tout comme moi ce drame.
Cependant la réaction suscité n'est pas du tout la même que la mienne.
Non.
Eux semble totalement rassurer de voir cette scène digne d'un affreux cauchemar.
Ils se regardèrent dans les yeux avec synchronisation pour finalement partir dans un sourire sous mon regard noyé de confusion.
Pourquoi trouvaient-ils cela ironique alors que cette situation était totalement le contraire ?
Subséquemment, ils redevinrent sérieux et s'approchèrent de moi.
C'est à ce moment précis que mon cerveau surchauffa.
Je me suis mis a penser qu'ils avaient une liaison avec ce meurtre, puis qu'ils étaient même les meurtrier et qu'ils ont voulu cacher le cadavre ici en ne se rappelant plus que je couchais en dessous.
S'en suivit un instinct de survie primitif, je mis la couverture sur ma tête et cria lamentablement :
- Ne me tuer pas ! Je... je... j'étais pas là... Je ne dirais rien.
Et leurs fous rires redoublèrent. Il rigolaient tellement qu'ils se tenaient le ventre en essayant de respirer entre deux éclats et des larmes perlèrent sur le coin de leurs yeux.
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Love Candid.
RomancePendant toute ma vie on m'a menti. J'ai vécu toute mon enfance et la moitié de mon adolescence dans une vérité parallèle. Je découvre le vrai monde à mes 19 ans. Moi. Amnesty Don Riageli. Princesse d'Italie. Je suis loin de mon pays. Avec des ge...