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Mon fameux huitième malheur...
Il est arrivé quand mon sauveur m'a emmené au poste de police le plus proche.
Alors que, j'avais aucune idée où Will me conduisait, -je connais son prénom car je lui est dit ne pas vouloir suivre un inconnu- je ne pu m'empêcher de le remerciez.
Chose, que je regretta amèrement par la suite vu la continuité des évènements.
Lorsque nous nous sommes retrouvée devant le bâtiment, fait de pierre méticuleusement taillées, avec l'enseigne bien connu des bureaux de police, j'ai eu un mouvement de recul.
Pourquoi me diriez-vous ?
Simplement, car les seules chose que je sais sur les personnes qui travaille ici dans ce pays, c'est malheureusement qu'il ne sont pas digne de confiance. Je le sais grâce à ma culture cinématographique, et aux nombreux avertissements que ma femme de chambre m'a faite avant mon départ pour les Etats-Unis.
Ainsi, mes peurs étaient fondées sur des avertissement, et un peu de culture.
Cependant, mon ami qui m'avait accompagné jusque là ne fut pas du même avis, et en voyant ma réticence quant à rentrer dans cet endroit, il me réconforta :
- C'est la seule solution à vos problème mademoiselle, je n'en ai pas d'autre. Et puis, si vous n'avez rien à vous reprocher cela ne vous posera aucun soucis particulier.
Il termina sa phrase en me regardant d'un oeil suspicieux.
Pour lui prouver alors, qui se faisait des fausses idées, je le suivit.
Nous passâmes donc la porte menant vers l'accueil.
Une femme avec un chignon bas et un uniforme parlait au téléphone d'une manière terriblement lassante. Will se dirige vers elle, en prenant délicatement mon poignet avec, me poussant donc à l'accompagner dans sa gestuelle.
Il se racla la gorge pour signaler sa présence, action réussie puisque la jeune demoiselle leva le menton en notre direction, pour, ensuite nous demander d'attendre.
C'est une fois avoir raccrocher son appareil cellulaire fixe qu'elle nous accorda une importance :
- Que puis-je faire pour vous ?
- Et bien...je suis embêter, j'ai trouvé cette dame.... et elle me dit s'être perdue et ne pas savoir où elle habite.
L'officier répond :
- Elle parle notre langue, vous avez réussi à lui parler ?
Elle demanda cela à mon accompagnateur, alors que j'étais juste à coté d'elle. Elle pouvais tout simplement s'adresser à moi, au lieu d'agir comme-ci je n'avais aucune apportante. Elle m'a donné l'impression d'avoir autant de considération pour moi, qu'elle aurait pu en avoir avec un vulgaire animal.
C'est pour cela que j'ai répondu de la sorte :
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Love Candid.
RomancePendant toute ma vie on m'a menti. J'ai vécu toute mon enfance et la moitié de mon adolescence dans une vérité parallèle. Je découvre le vrai monde à mes 19 ans. Moi. Amnesty Don Riageli. Princesse d'Italie. Je suis loin de mon pays. Avec des ge...