Chapitre 10

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Je me ressaisi, et fait semblant de n'avoir rien senti...
Je me concentre sur le grand écran devant moi mais une main me sort brusquement de ma concentration. Elle venait d'attraper cet éléments irrésistible que j'avais entre mes jambes. Malgré la présence des uns et des autres à quelques 5 mètres à la ronde, je ne pu empêcher mon troisième pied de se rebeller et se mettre au garde debout. Je tousse, un peu comme pour dire, qu'est-ce que tu fais? Mais rien! Cette main si froide continua de se balader dans mes frocs. J'essaie de crier halte, mais aucune voix ne sort. Faut croire que je suis devenu muet. Dans mes oreilles j'entends :
- Tu as quoi? Tu es souffrant ?
Je secoue la tête pour répondre non..
Je n'ai pas eu assez de courage pour lui dire combien ces gestes me mettent mal à l'aise. Si je lui dit, que pensera t-elle de moi? Ne va t-elle pas me traiter de gamin? Que veut-elle ? Qu'arriverait-il si je mouille mon pantalon ?
À toute ces questions, je retrouve en moi un courage pour repousser sa main. Mais 2 minutes après, le les caresses reviennent. J'aurai dû fermer ma fermeture après l'avoir repoussé.
L'ai-je fait consciemment ? Cette fois-ci, je suis au piège, envahi par cette folle envie de faire l'amour amplifié par les ébats de Christian et Anastasia.  Les doigts d'Odile chatouillant le gland mouillé de ma verge n'ont fait que multiplier cette sensation. Elle se penche vers moi, je la laisse faire me penchant aussi vers elle pour l'écouter. Erreur.. L'objectif n'était pas de m'écouter, c'était plutôt un chant qu'elle voulait offrir à mon micro de circonstance pendant au vent frais. Je regarde autour de moi, pour me rassurer que je ne suis pas exposé aux regards. Verdict, ils étaient tous concentré sur le film qui passait devant et Odile sur ma verge qu'elle mordille avec ces lèvres luisantes.
Les vas et vient de sa bouche, les tours de langues le long de mon pénis, me torturent. La sensation est trop grande, trop forte à contenir, j'ai juste envie de crier, exprimer cette vibration extraordinaire qui parcours mon corps. La chaleur de sa bouche est remplacée par la fraîcheur de ces mains une fois de plus. Je suis au paroxysme, comment traduire en quelques lignes ce que je vis? Les mouvements de haut et bas effectués par cette main frêle réchauffe tout sur moi. D'un coup sec, je me lève sans savoir. Durant 30 secondes, j'étais là, debout, braguette ouverte, la verge en l'air avec un liquide concentré qui jaillit et pollue les sièges devant moi. Enfin... Je suis libre.. Débarrasser.
- Assieds-toi, tu fais quoi?
- 🙊
- Tient nettoie ton pantalon et on y va. Faut pas trainer ici..

Honteusement, je saisi le mouchoir qu'elle me tendait et et me nettoie rapidement. Heureusement personne ne se soucie de nous. Après m'être nettoyé nous descendons l'escalier pour rentrer à la maison. J'avais l'air de flotter...
- Madame, vous rentrer si tôt ?
- Oui, mon mari ne va pas bien, on va aller à la maison.
Elle remis 500 francs au vigile, elle mentais si gracieusement.
- Merci madame, bonne guérison à monsieur.
Je suis resté sans mots dire. Elle ne faisait que rigoler..

Le saut de l'Ange DéchuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant