Chapitre 11

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Je suis resté sans mots dire. Elle ne faisait que rigoler..
Elle sert doucement la voiture à la devanture, je descend et passe lui ouvrir sa portière. Indiscrètement je lui dit :
- Tu ne veux pas rentrer me tenir compagnie ?
Elle sourit bizarrement et descend de la voiture.
- Vas-y, je ferme les vitres et je te rejoins. Avec ce temps je doute qu'il va pleuvoir.
- Et si tu faisais rentrer la voiture ? Celle du voisin est au garage en réparation.
- OK, ouvre je fais rentrer.

Le temps de fermer le garage, Odile descend du véhicule ses chaussures talons à aiguilles en main et se précipite vers la porte de ma chambre. Je profite pour relooker son derrière, sa forme aux allures mannequins.
- Tu viens pas ouvrir la porte ou tu restes là à regarder..
Je me soustrait  à ce mini-rêve debout et court ouvrir la porte. Odile s'installa la au bord du lit et jeta sa clé et son sac sur la table.
- Toi, faut aller prendre une douche. (Sourire)
Elle avait ce sourire moqueur que je lui ai découvert au cinéma ce soir. Sans réagir à sa provocation, je me débarrasse de mes habits sous son regard étincelant.
- c'est quoi ça ?
- quoi?
Elle se met une fois encore à rire en pointant du doigt ma verge recroquevillé entre mes jambes.
Je ne dis mot, pris ma serviette et mon savonnier et me dirigea vers la douche.

À peine ai-je commencé mon bain que j'attends des bruits de pas dehors. J'arrête tout mouvements et j'essaie de savoir ce qui provoque ce bruits de pas.
- Je viens te nettoyer le derrière ?
- tu as finis de te moquer de moi?
- tu n'as pas répondu à ma question
- Toi non plus.
- On t'a pas appris qu'on ne répond pas à une question par une autre?
- je vais te taper si tu rentres ici.
- Tu peux me faire quoi toi?
- Rentre et tu verras.

Je rouvres la colombe d'eau et reprends ma douche, soudain je sent une chaleur enivrante envahir mon corps et une main qui saisi brusquement mon phallus. Le frisson provoqué par le contact de ses seins sur mon dos et la chaleur foudroyante de sa main sur mon arme de destruction massif, me glacèrent le sang. Je suis resté là sans bouger. Elle a réussi à me remettre d'aplomb. Je n'ai qu'une seule envie. Je saisi son bras en le tapant pour qu'elle lâche enfin mon p*nis.
- Tu es sûr de ce que tu fais?
- Qu'est-ce que j'ai fait? ( elle souriant)
Je l'enlace en prenant soin de refermer la porte de la douche. J'aspire en parcourant son corps l'eau ruisselant les courbes de cette fresque vivante que je tiens dans mes bras. Soudain elle s'abaissa, repris ma verge puis l'enfonça goulement dans sa bouche. Mon excitation est à son paroxysme...

Le saut de l'Ange DéchuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant