Il sonnait 20h, je venais de raccompagner Sylvie, ma tendre et douce amie d'enfance quand je l'entendue m'appelant.
- Hamed, Hamed, attend.
D'un air surpris, je fais l'effort de voir ce visage hématié par le temps en me couvrant le visage pour me protéger des lumières éblouissantes des engins roulant.
- Hamed, tu ne me reconnais plus? ( d'un air surpris) c'est moi Odile, tu te souvient? On a fait le collège ensemble.- 😱 Odile ? Comme tu as changé, tu es devenu une grande jolie femme. Qui prend donc aussi bien soin de toi comme ça ?
- (rire) Tu n'as pas abandonné tes blagues et moqueries grotesques du collège.. Dis donc tu n'as pas changé
Odile, c'était celle qui faisait battre mon cœur au Collège, malheureusement j'étais trop timide pour l'approcher et lui dire quoi que ce soit. Elle est si belle et avait les grand gaillards de la classe à ces pieds, je ne pouvais rivaliser..
Elle - Tu fais quoi dans ce quartier ?
Moi - J'habite ici maintenant, et toi je présumé tu es passé voir tonton (rire)Elle - Non, tu vas enfin arrêter tes mauvaises blagues ? Je suis juste passé chez ma couturière.
Moi - Ahh OK. Tu deviens quoi? Et si on trouvais un coins pour discuter un peu? Évidemment, si tu n'es pas pressée de rentrer voir Tonton (rire)Elle - Quel tonton? Tu vas arrêter ces blagues oui! ( d'un air rancunier). J'ai encore un peu de temps.
Après quelques minutes de marche à se remémorer la vieille époque nous rejoignons un bar, malheureusement c'est là je me rend compte
- oups, j'ai pas pris mon porte-monnaie, ni mon second téléphone. Et si on allait chez moi les prendre et revenir ? Tu profiteras pour connaître chez moi (rire)
Après quelques seconde d'hésitation, elle répondit oui et renchérit
- J'espère que Tata ne va pas me causer des problèmes (rire)
- Quelle Tata? Moi, je suis né libre comme l'air heinnn
Après quelques minutes de marche, nous arrivons chez moi.
- C'est ici que je me cache, c'est une vraie mosquée (rire)Dans ma chambre je n'ai qu'une vieille table d'étude et une chaise qui tient encore debout.
- Attention, la chaise là n'est pas catholique
- (rire)Je ne veux pas me retrouver par terre donc je m'assieds là ( elle s'installa sur le rebord de mon lit local fait en paille sèches et couvert de mousse communément appelé Kokou & fils.La honte, Sylvie elle comprenait, de toute les façons elle est aussi pauvre que moi, mais Odile ces parents sont aisés et elle avait une chambre pour elle seule alors même que nous étions au Collège.
- Je te sers de l'eau? J'arrive !
- Non, j'ai bu il y a pas longtemps. Alors tu deviens quoi ? Ça fait 6 ans..
- C'est très long, parle moi plutôt de toi.Alors qu'elle parlait d'elle tout ce que je regardais, c'était ces lèvres magique et luisante, son sourire qui me faisait tant rêver. Je ne me rappelle plus combien de fois je me suis masturbé en imaginant son visage quand j'étais au Collège. D'un coup, je m'emmene comme pour lui chuchoter un mot à l'oreille et commis l'irréparable. Je ne sais ce qui s'est passé, ce qui m'est arrivé pour l'embrasser ce soir, sans résistance aucune, nous nous embrassons comme si ce moment nous l'attendions depuis. Je ne sais comment je suis arrivé à le déshabiller, doucement je passe mes main sous la rode qu'elle portait comme à la recherche d'une aiguille dans un foin. Sûrement j'ôte sa robe et lui enfonça mon majeur entre ces cuisses. Je saisie son sein gauche et me mit à les téter comme un bébé affamé depuis des jours.
- Stp, arrête - arrête
Ces mots, parurent comme un appel à continuer, son corps angélique disait autre chose... Quand tout paru comme un rêve, quand j'approche mes lèvres pour caresser et déguster avec ma langue son joli minou.
D'un coup sec, elle se recroquevilla, rouvre grandement ses jambes comme pour me dire, la voie est ouverte, j'entendis des cris de gémissement et des mots ..
- Stp, arrête, arrête....
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Le saut de l'Ange Déchu
General FictionL'amour le vrai, quantifiable et mesurable par les actes. Hamed, jeune diplômé recroise une de ces camarades de classe qu'il convoitait tant... Ceci, n'est pas une histoire comme vous lisez chaque jour. Vous serez sur votre faim à chaque chapitre, v...