Chapitre 7

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- Sylvie, tu sais? Je t'aime beaucoup, et je te dirai toujours ce qui est juste.

Mon regard posé sur ces seins.. J'ai toujours été foudroyé devant ses seins, allah seul sait combien de fois j'ai voulu téter, boire à la source de ses nichons voluptueux. Mon cerveau tazé ne pense qu'à une seule chose, déguster ce vin lactée sortant de ces vallées d'Éden.
Je l'embrasse sans le savoir, attiré par ses lèvre comme la pesanteur attire vers le sol. Inconsciemment nous nous retrouvons à nous embrasser tel deux chiens en chaleur qui se lèchent et se montent l'un l'autre.

Cette fois-ci, c'est la bonne, je vais tirer enfin mon coup. Une belle baise comme je les aime. Qu'importe avec qui, je suis prêt à baiser, fourrer ma queue dans une ch*tte.

J'étais gonflé à bloc. Emporté, je plonge mon mes mains dans son corsage pour enfin saisir ma source de nectar.
Subitement, une main saisit mon bras et le repousse. Elle se leva et commença à se rhabiller.
- Hamed, je suis désolée. Ceci ne devrait pas arrivé
Bouche bée, je ne savais quoi lui répondre, resté sur ma faim. Je savais parfaitement ce que je faisais, j'en ai bien conscience. La seule idée qui me vient, la ressaisir et lui faire l'amour comme je l'ai toujours imaginé. Je me lève et l'approcha, au lieu de reprendre contrôle, je me contente de m'excuser.
- tu n'es pas à blâmer. Je suis le seul responsable de cette situation. Je me suis emporté.
Sans mot me dire, elle s'empressa de quitter ma chambre avec un air de culpabilité. Je l'a comprend parfaitement, à quelques secondes prêt je venais de la contraindre à tromper Georges. Comment vais-je la regarder désormais ? Et notre amitié?

Pour ne pas rester seul et me torturer avec les questions de mon subconscient, je décide d'aller au terrain de basketball dans le lycée voisinant pour jouer avec des amis de jeu. Je prend une une éclaire et m'habille d'un maillot des Chicago Bulls bleu. Je m'apprête à fermer ma porte que je vois Odile rentré à la maison. Elle n'était pas venu avec sa moto. Quelle surprise ? Après tant d'appels sans réponse.

- Tu as mille francs sur toi? J'ai pas de monnaie pour payer le taxi-moto
je plonge ma main dans ma poche et le lui donne sans mot dire. Même pas un bonjour, pourquoi ? Je décide alors de faire disparaître le sourire de mon visage, rouvre ma porte et m'assois sur ma chaise. Cette fois-ci, il faut que je mette les points sur les "i".

Elle rentre dans la chambre et me lance:
- Ca va ? ( avec un large sourire)

De la tête je fais un *Oui.

- Tu es fâché après moi, c'est ça ?
- Oui, comment ne pas me fâcher après ce que tu as fais?
- j'ai fais quoi ? C'est toi qui a décidé d'ouvrir ta porte à ta femme sans me l'avoir dit. ( du ton grave)
- Odile, je t'ai dit que je ne suis pas marié et que j'ai aucune petite amie actuellement. C'est quoi cette jalousie ?
- Donc je ne dois pas être jalouse? Tu as vu comment elle te dévorait des yeux? Si vous n'avez pas encore couché ensemble, elle te désir sexuellement. Et surtout ne me dit pas le contraire.

- ...

Ne sachant quoi répondre, je change de sujet.

- Je ne sais où tu vis, je t'appelle tu décroches pas... Pourquoi ces caprices ? Tu n'es pas une enfant.

- Donc tu veux savoir où je vis? Je pensais tout ce qui t'importe, c'est de me sauter dessus pour me violer!

Je suis dépassé, pourquoi revenir chez un homme que tu crois violeur?

Je décide cette fois-ci, d'arrêter l'hémorragie et de sortir.

- Je m'apprêtais à aller à mon entraînement. Je suis en retard.

- Je t'attends, vas- y revenir.

Que me prépare t-elle? Pourquoi veut-elle m'attendre? Je décide de m'en passer.
- A mon retour, j'avais prévu aller au cinéma avec des copains.
- À quelle heure?
- 18h30, il y a le film, les Cinquante Nuances de Grey, réalisé par Sam Taylor-Johnson qui est au programme.
- Je rentre me préparer et on y va ensemble alors.

Face à cette auto-invitation, je ne peux rien que faire un OK.
- passe ici à 18h et on y va alors.

Le saut de l'Ange DéchuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant