Mon réveil me sortit de mon rêve, je murmurais une injure pour moi-même, nous sommes dimanche et ma grasse mâtinée venait d'être brisé en deux. Je me levais, non sans mal, mis un pull noir large, un pantalon blanc et des bottes noires. Je mangeais un morceau et sortis dehors, par malheur mes pas m'ont conduit au terrain de la rivière, ils ne s'arrêtent donc pas de s'entraîner ? J'accélérais la cadence de mes pas, ne voulant jouer aujourd'hui. Je prévenais ma mère d'un coup de fil que je passerais chez elle dans environ dix minutes. Une fois arrivée chez l'ami de ma mère, je la saluais d'une étreinte qu'elle me rendit. Une voix retentis, un peu trop familière à mon gout.
Voix trop familière : A-Aya ?!
Moi : C... Caleb !
Je fonçais dans ces bras et il resserra ces bras autour de ma taille, ma mère rigola, avant de soupirer de soulagement, nous étions toujours collées ensemble étant gosses, elle était heureuse que notre lien n'était pas porté disparut, une fois notre étreinte coupé, il me tira vers sa chambre sous les regards amusés des deux adultes. Une fois la porte de sa chambre fermée, il me reprit dans ces bras, il sanglotait en murmurant «Six ans, que je n'ai pas pu te serrer dans mes bras...», j'étais tellement heureuse de le revoir, je passais mes bras autour de son dos et je l'ai serré aussi fort que je le pouvais... Laissant mes larmes vagabonder sur mon visage. Il se retira et s'assit sur son lit, tapotant la place a coté de lui, m'invitant à m'asseoir, je m'exécuta et m'assis en soupirant de bonheur.
Moi : Six ans... Ça fait un sacré bout de temps !
Caleb : J'te le fais pas dire ! Tu m'as tellement manqué !
Moi : J'ai vu ça, ça m'a fait chaud au cœur !
Il a posé sa tête sur mon épaule en fermant les yeux, et c'est ainsi que nous avons passé la fin de mâtiner, il avait fini par s'allonger et j'ai fait de même, mais âpres quelque temps il a entremêlé mes doigts aux siens. Je ne savais pas si je rougissais ou non, mais j'étais tellement bien, il n'y a jamais eu de gène entre nous, on se disait tout, même les conneries les plus débiles, aucun de nous n'avait été gêné. Mais je ne pouvais dire, si notre relation allait rester intacte, nous avions grandi, notre mentalité avait changé, on ne rigolait plus pour les mêmes choses... Ma mère est venue me chercher, j'ai essayé de bouger mais Caleb a placé son corps sur le mien pour m'empêcher de partir.
Moi : S'il te plaît Cal... Je reviendrais Mercredi, je n'ai que deux heures...
Caleb : Je ne veux plus te voir loin de moi, j'ai déjà attendu six ans pour te revoir.
Moi : Si tu as attendu six ans, tu pourras attendre trois jours...
Caleb : Pas question.
Avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, il déposa un baiser sur le coin droit de mes lèvres, il m'avait dit que c'était là que les âmes sœur s'embrassaient... C'était sûr, je rougissais, son regard me le prouvait, il aimait tant faire ça que je me suis mise à pleurer, tout m'avait manqué, j'entourais son dos de mes mains et le forçais à s'allonger sur moi, mes sanglots se furent plus ascendants et mes cris plus forts. Après m'être calmé, il m'a ramené chez moi, j'étais toujours dans ces bras, je ne voulais plus le voir partir, comme Jude ou Nathan, j'avais toujours ce sentiment de solitude qui m'agressait quand il partait loin de moi...
Il passa la porte de mon logement et m'aida à m'endormir dans ma chambre, ainsi tout devin noir autour de moi, et un «Bonne nuit princesse» résonna dans mon esprit.
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Inazuma Eleven: Changement De Camps
FanfictionDepuis que j'ai commencé le foot, mes frappes et mes tirs rependaient la peur et l'infériorité à quiconque s'en approchait. Le Royal Académie, ma famille, se délectait de la terreur que nous donnait les autres collèges et leurs petits clubs de foot...