Inazuma Eleven: Changement De Camps

Chapitre VIII

Une dizaine de jours s'étaient écoulé depuis l'incident du combat. Et je ne sais dire si ma «nouvelle situation», est pire ou égale à c'est combat... Je savais, qu'une rumeur pouvait se répandre à cause de mon uniforme. J'en ai entendu venant de la bouche de personne que ne me connaissait même pas. Mais les plus blessantes sont celles que tu entends alors que tu es juste derrière la personne. En à peine quelque jour j'ai détruit toutes mes relations avec les garçons, je ne parle même plus à Nathan, c'est dire si je lui dis encore bonjour.

Encore une journée, ou la peur et l'envie de vomir sont devenue normales, Je passe la porte de ma classe, le visage baissé, elle me détruit de l'intérieur, juste pour Nathan. Au final, il m'oubliera comme tout le monde.

«Après tout, elle a eu ce qu'elle voulait.»

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Pdv Nathan ;

«Après tout, elle a eu ce qu'elle voulait.»

C'est ce qu'elle a soufflée en passant devant ma table, avant de s'asseoir sur la table tout au fond, exclu du reste de celle-ci. Ça me tue de la voir dans cet état, je me dégage une nouvelle de l'emprise de la fille qui me suis maintenant partout, et ce juste depuis qu'Aya ne me parle plus... Le cours se passait dans l'agitation, malgré tout le bruit occasionné par les élèves, je réussis tout de même à entendre le léger sanglot d'Aya. La cloche sonna et on se dirigea tous vers la cour pour la pause du matin, mais au bout de cinq minutes un rond s'était formé autour de deux adolescentes. Je me rapprochais et vus avec peur Aya et Ariana, celle qui me hante....

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Pdv Aya ;

jetée au sol comme un moins que rien, les jambes mise a la vue de tout le monde, la boule au ventre, les rires qui s'accumulent dans ton dos, les regards qui te jugent, ceux qui prennent peur pour toi mais qui ne peuvent rien faire, elle semblait victorieuse, aimée des autres, populaire, une véritable hypocrite.

Ariana : Que vas-tu faire maintenant sale monstre ?

Je n'ai pas répondu, je préférais garder ma salive et ne pas me battre avec elle, comment en six ans, mon comportement a-t-il put changer à ce point ? Moi qui, étant petite, frappé tout ce qui était une menace pour moi ou pour les garçons.

Ariana : lève toi ! Divertis-nous ! Je ne m'amuse pas.

Je suis restée au sol, «Elle» veut jouer aussi. Elle m'a pris par le col, pour me relancer à terre aussitôt, elle frappa mes jambes, me fessant lâcher des cris de douleur, sans et trop...

Moi : Ça suffit maintenant !

Ce sont les derniers mots que j'ai dits, avant de la laisser reprendre le contrôle, «Elle» veut se venger, et je lui laisse carte blanche.

Détruis-la.