{Ce sont les premier ... x ... que je fait, soyer indulgent}
Pauline x Claude ; PaulineWithingale
Tous opposaient ses deux élèves, leurs comportements, leurs notes, leurs amis, leurs vies. Et pourtant au fil des années passées ensemble dans les bagarres et l'ironie, les deux personnes ont commencé à voir naître en eux des sentiments inconnus a l'égard de leurs ennemis jurés. La jeune fille sentait son cœur s'accélérer lorsqu'il entrait dans son champ de vision et le garçon pouvait percevoir des brisements dans sa voix lorsqu'il se battait avec la fille.
Leurs joues commençaient à rosir sans leur commandement et ceux, devant tout le monde, certains pouffent en silence tandis que d'autres sifflaient le couple entrain de se former devant leurs yeux. Cet à ce moment que Pauline devins rouges, un rouge flamboyant presque parfait, seules les mains de la victime cachait cette couleur si brave. Claude ne compris pas sur le moment pourquoi il avait tant envie de voir son visage rougir... Il ne dit rien et il se contenta de partir, loin de la jeune fille qui fessait brisé sa carapace.
Mais un jour, alors que les cauchemars envahissaient l'esprit de la jeune fille, celle-ci poussa un cri, Claude fût le premier à pénétrer dans sa chambre, la voir recroqueviller sur elle-même ses mains pressant son crâne le faisaient souffrir. Il s'approcha d'elle et lui donna l'étreinte la plus forte qu'il put, la rassurent comme il le pouvait. Elle fit basculer le corps du garçon sur le dos, la fille le serrant au maximum, comme si elle allait se briser d'un moment a l'autre.
Claude releva doucement la tete de la jeune fille avant de sceller leurs lèvres dans un baiser, Pauline ne se fît pas prier et elle intensifia le baiser, intiment la langue de se dernier à danser avec la sienne. Le jeune garçon accepta immédiatement l'invitation et leurs langues commençaient alors un bal passionné. Pour les deux amants, cette danse était comme leurs bagarres, à prouver qui sera supérieur a l'autre, et contre toute attente ce fût Pauline qui remporta le duel.
Le manque d'air, aura eut raison des deux adolescents qui séparèrent leurs lèvres. Mais celles-ci se rencontrèrent de nouveau, et ceux jusqu'à ce que la jeune femme tombe de fatigue, l'homme à ses côtés la regarda paisiblement avant de s'endormir avec elle....
Luna x Shawn ; Coeur-de-nuit
Ils étaient comme les deux doigts de la main malgré leur forte distance de caractère. Luna était toujours celle qui protégeais Shawn, comme une grande sœur. L'homme voulait lui enlever le poids qu'il était, mais rien n'y fessait, elle le protégeais toujours. Il avait même essayé de s'éloigner d'elle, elle revenait toujours à la charge, comme aimantée au jeune homme. Shawn ne comprenait pas la nature de ses sentiments, mais son cœur se tordit douloureusement lorsqu'il dut partir avec Raimon. Sa tendre amie lui avait juste dit quelque mot avant de partir au loin.
Il se sentait vide, trop vide, comme s'il lui manquait quelque chose auprès de lui, il vint à la conclusion que cette chose manquante était Luna. Ils se retrouvèrent, de part et d'autre d'un terrain de football, prêts à disputer un match, la jeune femme était aveuglée par son chagrin qu'elle avait accepté la pierre alius. Dans les empereurs noirs, se trouvaient les membres qui avaient été blesser ou abandonné par leurs rêves.
Il avait tout donné, il donnerait tout pour cette chose qui lui manquait, pour cette chose qui l'avait laissé passer devant ces yeux. L'amour. Lorsqu'il demanda à Luna de la suivre une fois qu'elle avait repris connaissance, elle le suivit sans broncher. Une fois a l'abri des regards indiscret, Shawn colla ces lèvres timidement sur ceux de son amie. Elle ne réagit pas mais fini tout de même par passer ses bras autour de sa nuque, pressant un peu plus son corps sur celui-ci du garçon.
Elle finit par appuyer le dos du garçon sur un mur avoisinent, pendant que les langues tournèrent en rythme, leurs doigts finirent par s'enlacer mais Luna finit par rompre le baiser, lui adressant un clin d'œil avant de partir vers l'équipe appelant leurs noms.
Ilyana x David : Nanouis
Ils étaient seuls, dans leurs chambres d'hôpital, silencieuse. Quelques jours après leur match contre Raimon, la nouvelle royale académie s'était dissoute et aucun des membres n'avait plus en sa possession la pierre alias., Ilyana regarda intensément le visage endormi de son ami, qu'elle considérait comme bien plus que ça. Elle était tombée amoureuse de la personne qui avait failli la tuer lors de son entré à la Royal Académie. Ces cheveux argenté se déplaçait paisiblement sur son visage dû à la brise qui rentrait par la fenêtre. Une légère larme coula sur son visage avant qu'elle l'essuyais rageusement avec sa manche.
Elle avait attendu longtemps avant que son ami n'ouvre les yeux, il l'appela, murmurant son nom, voulant à toux prix la voire vivante. La jeune fille poussait sur ces jambes à moitié paralysée pour se hisser près du lit de son ami, mais elle trébuchât et leurs lèvres firent collé ensemble, elle se releva et dit maintes excuses essayant de calmer les rougeurs qui l'attaquaient, seulement le garçon sourit et les dit trois mots qui la firent frémir. Elle souriait et posait à nouveau ses lèvres sur celle de son ami qui y répondit sans se faire attendre
Ces jambes la fessant souffrir, elle s'était allongé dans le lit de son petit ami, qui lui s'était rendormi, les bras se renfermant sur sa taille, elle était heureuse d'avoir enfin pu faire sa déclaration, quelque peu brutale mais au final elle n'était pas mécontente d'être tombé sur lui. Elle joua avec quelques mèches argentées de l'endormi avant que ces yeux ne se ferment, Ilyana se fit alors emporter par Morphée.
{NDA : J'espère que les trois filles aiment leurs OS ^^ J'ai essayer de garder le caractère des filles tout en mettant mon style, et pour Nanouis j'ai reprit ton histoire dont j'attend la suite avec impatience ! Si vous voulez d'autres OS avec d'autres garçons venez me proposer :)}
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Inazuma Eleven: Changement De Camps
FanfictionDepuis que j'ai commencé le foot, mes frappes et mes tirs rependaient la peur et l'infériorité à quiconque s'en approchait. Le Royal Académie, ma famille, se délectait de la terreur que nous donnait les autres collèges et leurs petits clubs de foot...