Yandere! Livai x Reader (Attack on titan)

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Bonswer ! Aujourd'hui j'écris un one shot pour @user10184106 !
Ce one shot est une peu un challenge pour moi qui aie déjà écris un one shot avec un Yandere ! Il faut pas que j'écrive deux fois la même chose, et je pense que c'est chose faite !

[C/e]: un cadet de ton escouade

Bref, ne nous attardons pas plus : Bonne lecture ! ________________________________________

Toi, [T/p] [T/n], tu étais entrée dans le bataillon d'exploration assez jeune, tu devais avoir dix-sept ans. À cette époque, où tous pensaient que vivre dans l'enceinte des murs nous protégeait, peu de gens de ton âge n'entraient dans le bataillon d'exploration : soit ils allaient dans les brigade spécial, dans la garnison ou n'entraient pas du tout dans l'armée. Alors tu avais attisé la curiosité de pas mal de gens ; tu parlais bien, tu étais jeune, belle, tu étais forte et tu avais un nom de bourgeoise, alors que tu avais dis que tu venais d'un quartier pauvre. Mais finalement les gens s'habituait à l'étrange personne que tu étais et au fil du temps tu avais finit par être apprécié de tous le monde.

Et c'est à l'âge de dix neuf ans que tu dirigeas ta première escouade. Ce fut assez surprenant pour toi, mais tu faisais partis des cadets les plus forts, tu arrivais à prendre de bons choix face à un titan et de plus le chef de ton escouade venait de mourir et n'avait pas de remplaçant. Et c'est comme ça que tu te retrouvas à diriger une escouade où tu étais la plus jeune du groupe, ce qui te couta de ne pas être prise au sérieux par les nouvelles recrues. Mais tu arrangeas vite les choses au premier entrainement en battant toutes tes nouvelles recrues très facilement, devant tes amis, pour certains anciens équipier d'escouade, de longue date qui rigolaient bien.

L'année qui suivit fut une année assez mouvementé, tu n'étais plus la plus jeune à ton plus grand bonheur, il y avait plus de gens de ton âge et les recrues étaient respectueuses, enfin pas toutes. Il y avait cette femme là, Hanji Zoe, elle n'arrêtait pas de te donner des surnoms ridicules et tu avais beau la battre pendant les entrainements elle continuait en disant que tu étais trop gentille pour lui faire vraiment mal ou la punir - ce n'était pas l'envie qui manquait mais elle n'était pas dans ton escouade-. Et en plein milieu d'année trois "jeunes délinquants des bas-fonds", un nain, une gamine et un sage, entrèrent dans le bataillon d'exploration, bien que tu n'avais rien contre eux, tu avais l'intuition, qui s'avérait vrai, que ce petit groupe n'écoutait personne d'autre qu'eux même et c'est pour cette raison que tu étais bien contente qu'ils ne soient pas dans ton escouade.

Et c'est après l'expédition extra muros qui avait suivit l'arrivée de Livai, Farlan et Isabel, que ta "relation" avec le futur caporal commença. Au début c'était juste toi qui lui parlait et lui qui te disait juste de fermer ta gueule, mais tu ne l'écoutais pas, tu lui riais même au nez. Tu voulais juste l'aider, mais pas en lui disant que s'il avait besoin il pouvait se confier, ça ne marchait pas, surtout pas avec une personne aussi fermée que Livai... Ton premier chef d'escouade te l'avait bien fait comprendre des années auparavants, quand il te racontait des histoires sur les anciennes recrues.

Et comme pour toi des années en arrière avec ton premier chef d'escouade, Livai avait commencé à te parler, quelque mots au début, autre que "Ferme-là", puis plus le temps passait, plus les discussion se faisait longue, une relation d'amitié s'était formée à ton plus grand bonheur. Cette évolution te prit six ans de ta vie, tu ne savais pas vraiment si tu étais fière de toi ou désespérée de ton acharnement.

Pendant ce long laps de temps, tu avais vue passé des dizaines de nouveaux visages et un nombre incalculable de morts et tu voyais cela juste comme un quotidien, quelque chose de normal. La manière si féroce qu'avait un titan de tué un humain ne t'effrayait plus vraiment c'était plus pour la personne qui se faisait dévorer que tu avais peur, mais tu te disais à chaque fois que les gens qui comptait pour toi ne pourraient jamais mourir des mains d'un titan. Et, pour la première fois de ta vie, tu fus terriblement triste d'avoir raison.

C'était un jour de repos, il n'y avait pas d'expédition de prévu avant un moment et tu avais prévu d'aller en ville avec ton escouade comme l'aurait fait de simples amis. Mais alors que tu avais prévu de partir à quatorze heures pile, il se trouvait qu'une demi-heure après un membre de ton escouade n'était toujours pas arrivé, alors tu pris la décision d'aller le chercher, un peu énervée par son retard.

Tu commenças par sa chambre, puis le réfectoire, le terrain d'entraînement, les écuries pour finir par aller voir Livai pour lui demander s'il n'avait pas vu [C/e]. Tu ouvrais la porte, comme tu le faisais habituellement en lui commençant à dire : "Dis moi Livai tu n'aurais pas vu" avant de refermer la porte et de jeter un regard à la pièce et de découvrir une scène horrible.

"[C/e] !"

Dans le bureau du caporal se trouvait un Livai tremblant dos à toi, ayant dans sa main droite un couteau immaculé de sang et dans la gauche une touffe de cheveux roux appartenant à ton camarade qui se trouvait à terre entouré par une marre de son propre sang, dans une position que les articulations ne pouvaient pas permettre sans se déboîter. [C/e] avait le même regard que les Hommes tué par un titan, c'était le dernier regard qu'on faisait face à notre mort : un regard horrifié.

Tu tombais lourdement sur le sol en appelant Livai, en lui suppliant de te dire pourquoi il avait fait ça. Tu sentais ton cœur se briser, tu en voyais presque les morceaux tomber au sol, tu ne savais plus quoi faire, plus qui croire. Tu aimais Livai, mais pas ce monstre qui venait de se retourner vers toi ! Il venait de tuer ton meilleur ami, un frère d'arme et toi au lieu de l'arrêté tu restais tétanisée face à son regard.

C'était un regard emplie de passion pour toi, ses joues se teintèrent de rouge quand il baissa les yeux vers toi. Tu avais l'impression d'être une proie face à un titan. L'homme, si on pouvait encore l'appeler ainsi, laissa tomber son couteau et s'avança jusqu'à toi, puis se baissa à ta hauteur. Il caressa ton visage avec ses doigts ensanglantés, tu sentais l'odeur et la couleur du sang se déposer sur ton visage maintenant déformé par la peur.

"Ne fait pas cette tête voyons~ "

Il dit ceci avant de t'embrasser, c'était un un doux baiser qui sentait la folie, mais tu ne fis rien : tu ne protestas pas, mais tu ne répondis pas au baisé. Alors Livai te tendit l'échantillon de cheveux de [C/e] en disant : "Regarde ce que j'ai pour toi !"

Mais tu n'eux aucun réaction, le trait de ton visage s'était détendu et tes yeux s'était vidé de toute vie. Livai commença à s'énerver face à la poupée vide : "POURQUOI ?! HEIN ! POURQUOI TU NE ME REGARDES PAS QUAND JE TE PARLES, [T/P] ?!"

Il commença à te secouer dans tous les sens, alors que tu commençais à pleurer : "Qu-Qu'est-ce que tu veux de moi, Livai ?" Ta voix tremblait.

"Je. Te. Veux. Toi. C'est pas compliqué à deviner quand même !"

Il commençait à rigoler comme si s'était une évidence et puis il t'embrassa de nouveau et continua : "Si ça peut te rassurer (surnom) si tu ne restes qu'avec moi, personne d'autre ne va mourir !"

Il avait prononcé ces mots d'une voix mielleuse. Mais cette proposition te redonna un peu d'espoir : si tu restais avec lui il ne tuerait personnes d'autres et tu pourrais peut-être tuer le monstre qui avait pris la place de l'homme que tu aimais. Oui, l'amour te faisait dérailler toi aussi, tu n'acceptais pas que se soit Livai le véritable coupable.

Alors pour lui répondre, tu lui pris la main, encore en tremblant et tu posas doucement tes lèvres sur les siennes, en espérant que les contes de ta mère soit vrai et qu'un baisé d'amour véritable pourrait transformer le pire des monstres en prince charmant. Mais rien n'y fait, Livai se releva déterminer et commença à nettoyer la scène du crime et balança le corps de [C/e] maintenant en morceaux, comme s'ils n'étaient que de simples projectiles.

Il te prit dans ses bras et te porta jusqu'à la salle de bain pour que vous puissiez prendre une douche ensemble.
...

Quelques jours plus tard tous les restes de [C/e] furent retrouvé, mais ne trouvant aucun criminel, la decouverte de ce cadavre ne fut communiquer qu'aux chefs d'escouade et caporal-chef et [C/e] resta un disparus à jamais.

Et c'est comme cela que se finit cette histoire : l'histoire de la chef d'escouade qui fut rétrogradée dans l'escouade de l'homme le plus fort de l'humanité et qui due porter les enfants de celui-ci, de cette homme qui était devenu un monstre.

Recueil de One shot ( Character x OC/Reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant