Une histoire qui ne fait que commençais.

Chapitre 8. Perdu pour Perdu autant accepter de vivre un instant

Pov Hope 

-J'entendais à peine le monde qui m'entourais j'était enveloppée dans quelques choses d'agréable quelques chose d'aussi merveilleux que détestable qui me bercée comme un enfant avant d'avoir la sensation d'être lâcher dans un bain glacée pour être noyée, l'image même parvint à me ramenée à la réalité aussi dur que si j'avais sautée du haut d'un immeuble pour m'écraser vingt étages plus bas. Avant même d'ouvrir les yeux je sentait qu'il avait tenue cette promesse aussi stupide que mon existence en elle même, mes pupilles ce brouilla pendant un instant quand je tomba sur le petit morceau de papier déchirée qui était restée dans la paume de ma main serrée conservant cette formes semi froissée qui me permit de le lancée quelques part dans ma chambre pendant que je me redressée pour enfin me levée rapidement sans me permettre une seule seconde de réfléchir, même de trop regardée la pièces qui me rappelée d'étrange souvenir qui serrée autant ma poitrine qu'un point sensible dans mon bas ventre endolorie. Après une douche j'avais repris formes humaine, mes cheveux attachée en une queue de cheval haute qui retombée dans une vague de boucles sur ma nuque qui abordée trop de marques violacée pour que je les garde ainsi après les avoir détachée, je maquilla mes yeux puis mon cou dissimulant du mieux que je pouvais ce carnage avant de m'habillée d'un jeans déchirée noir accompagnée d'un débardeur avec un décolletée dans le dos avant de me décidée enfin à partir pour rejoindre Faith qui m'attendais un sourire au lèvres qui apparemment n'allée pas être prêt à la quittée de si tôt. Je marchais instinctivement sans réellement savoir si je le faisait pour moi ou pour me donner une image de parfaite froideur qui au fond devenait au fur et à mesure une façade belle et bien entrain de ce briser. -

Pov Nolan.

-J'était arrivée à l'université depuis déjà quelques minutes quand Aaron se posa à cotée de moi fumant un clope silencieusement, inspirant et expirant sans même me jetée un regard avant de lâcher sont sac qui tomba sur le sol, éparpillant ces maigres affaires devant mes pieds sans prendre la peine de les ramassée je m'adossa au grillage attrapant le cylindre incandescent de sa main pour l'approchée de mes lèvres inspirant profondément avant de fermée les yeux, m'obligeant à effacée chaque courbe du corps de Hope chaque mots qu'elle avait chuchotée pendant que je la faisait jouir, même mon corps refusait irrévocablement de l'oubliée d'effacée cette nuit qui devait être un plan d'un soir, juste un putain de plan cul. Pourquoi avait il fallut que mon putain d'esprit enregistre la moindres de ces expression, le moindre fragment d'elle qui collait à ma peau comme une pièces déjà existent. Avant même de vouloir effacer tout ça je me retourne tout de même vers Aaron qui était lui plonger dans des penser surement bien plus sombre que les miennes. -

-Mon père à fait une expérience sur Hope quand on était enfant dans notre chambre à quelques mètre de moi. J'ai pas bougée j'ai même pas osée l'aidée j'était tétanisée, j'avais peur de lui de voir ce qui était réellement entrain de ce produire.

-Chaque muscles de mon corps ce contracta douloureusement sous la colère qui s'injecta dans mes veines quand je redressa la tête pour regardée Aaron qui n'osée même pas tournée la tête vers moi, de peur de m'affronter de peur de moi briser l'Alpha qu'il était. Je respira une fois profondément retenant à peine le grognement profond de mon loup qui hurlée à présent dans ma tête, m'ordonnant de tout détruire, de détruire l'homme à cotée de moi qui avait détruit la femme qui lui appartenait, la femme qui nous appartenait malgré tout. Serrant les poing je ferma les yeux pendant un instant pendant que j'entendais vaguement les battement du coeur déchirée du frère de la fille dont j'était presque sur qu'elle était mon tout, ma rédemption, la part d'âme qui me manquée pour être complet, retenant pendant un instant mon monde qui s'entourée d'un filtre rouge meurtrier. Un monstre que mon loup dissimulait si bien depuis tellement de temps, comme un chien docile j'avais obéit respecter et même apprécier faire partie d'une meute de cette famille... -