SONIA
حياة أكاذيب
Une vie de mensonge.➖ Le lendemain matin ➖
Les mains posés sur mon ventre, je caresse celui-ci avec amour, je viens de sortir de la salle d'échographie et attend l'infirmière qui s'occupe dorénavant de moi ainsi que Nassrredîne.
Ca allait faire quelque jours que j'étais gardé dans cette clinique privé, car j'ai eu un début de fausse couche il y a une semaine de cela... Je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie pour la vie de mes enfants... Même sous le joug de Nassrredîne je ne pouvais pas laisser mourir mon enfant sans rien dire.
●⚫️ Une semaine plus tôt ⚫️●
Comme d'habitude j'étais enfermée dans ma chambre, n'ayant aucun droit de sortir. Plus les jours passaient plus mon calvaire me semblait interminable, m'enfoncant dans un état d'esprit pitoyable... Pas un jour ne passait sans que je ne pleure à en vouloir sortir à tout prix.
Mais je savais que si je franchissait le pas de ma chambre ( ce qui était déjà compliqué à faire étant attaché la plupart du temps à mon lit ) il me tuerais ou me ferais tellement de mal que je n'oserais plus jamais retenter l'expérience. Le connaissant, je sais qu'il tien toujours ses promesse quand il s'agit de menaces...
Beaucoup de choses avaient changé dans la maison, vu que j'étais assignée à ma chambre, une nouvelle employé s'occupait de moi, Meriem, qui m'aportait de quoi me nourrir, m'aidais dans tout mes déplacement, me changer voir même me laver. C'est horrible comment je suis devenue dépendante d'elle avec la grossesse, mais je m'en suis faite une amie...
J'avais honte de ma situation mais je n'y pouvait rien... Alors je lui racontait mes angoisses et mes rêves quand elle passait son temps avec moi. Je profitait le plus longtemps d'elle parce que je savait que dès que j'accouchais je ne la reverais plus jamais.
Mais ce jour là Meriem n'étais pas là c'était donc une des employés de la maison qui s'occupait de moi, déjà dès le matin au réveil je me sentais mal, mon mal de dos déjà présent depuis plusieurs jour me faisait souffrir plus que jamais... Il devait être 8 heures du matin déjà, et j'attendais toujours mon petit déjeuner...
Je savais que tout le monde devais être dans la maison... Nassrredîne, Nael et même leur père... Leur horrible père. Après quelques minutes assises je me suis révélé, ma douleur s'emplifiant d'instants en instants devenant insupportable... J'avais essayer de marcher un peut pour oublier la souffrance mais rien ne passait. Au bout de quelques minutes j'étais en larmes..
C'est quand j'ai senti du liquide couler à l'intérieur de mes cuisses que j'ai commencé à paniqué... Qu'il y ai le père des triplés où pas je ne pouvais pas laisser mourir mon enfant... Mon instinct maternelle m'a fait hurler de toute mes forces....
- AAAAHHHHHHHH !! MON BÉBÉ !!
Je croyais et pleurais de toute mes forces... Je ne pouvait pas le perdre... Je ne voulait pas...
- NASSRREDÎNE !! NASSRREDÎNE !!
C'était le seul prénom qui me venait à la bouche... Malgré tout ce qu'il me faisait subir je n'avais plus que lui... Nassrredîne.
Puis tout s'était enchaîné rapidement, je tombais à terre, les cuisses en sang quand Nassrredîne accourait dans ma chambre, me retrouvant à terre dans une flaque de sang en position foetale... La douleur s'intensifiant à chaque instants, sans même chercher à savoir je sais qu'il m'a prise au sol et s'est précipité hors de la maison avec moi à moitié inconsciente dans ses bras... Sous le regard venimeux de son géniteur et étonné de son grand frère.
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[1] 𝓞𝓻 𝓝𝓸𝓲𝓻
Romans« Ils n'estiment pas ce que je traverse ce que eux voient c'est juste un gars qui sort de prison, plein aux aces, le coeur vide, les émotions effacés, je ne leur dirais pas que tu es le plus beau de mes secrets » T1 OR NOIR : « Je suis ton Paradis...