Désirs Inattendus

Le début

Tout cela debuta au lycée, une nouvelle année, de nouveaux espoirs; il se préparait ce matin là à voir de nouvelles têtes qui pourraient changer sa vie. Il espérait enfin rencontrer sa belle, comme dans les films ou séries pour adolescents, mais la vie ce n'est pas ça et il le comprendra bien assez tôt ou tard.

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Il s'appelle Maxence, élève en classe  seconde nouvellement arrivé dans cette école. Cetait le jour de la rentrée, en rentrant dans la salle de classe, il était étonné de revoir mon vieux pote Moran avec qu'il navait pas revu  depuis la classe de Cinquième; ils n'avaient plus eu contact depuis lors, et il avait pris de la taille, alors que lui par contre n'avait à peine pris quelques centimètres. Après le rassemblement des élèves il était temps d'aller en salle lorsque je vis des jumelles qu'il a connu lors d'un  brevet blanc Anna et Annabelle. Annabelle lui annonça qu'ils seraient dans la même classe et dit qu'elle avait d'autres amis dans la salle qu'eux, des copines du quartier. Cependant sa soeur, Anna, serait dans une autre classe étant donné qu'elle ne faisait pas la même série que nous. Annabelle avait presque la même taille que lui; elle avait un teint noir de jaie. Lors de notre discussion, je vis leur ami svelte, teint clair, elle était le genre de fille pour lequel j'aurai le béguin.
-Tout à fait mon genre, se dit-il.
Il la trouvait belle mais par manque de confiance il la trouvait trop bien pour lui.
-Comment t'appelles tu?? Lui demanda-t-il.

 Elle lui répondit avec un léger sourire, vraiment charmant, qu'elle s'appelait Laora. Ainsi naît ce qui sera d'abord une longue amitié entre eux.
 
 

- Cette première année de lycée va être très bien, pensa-t-il.

 Cependant l'heure n'était pas aux amours, il pensait à s'amuser, il s'était séparé de sa copine quelques mois déjà et n'était pas pressé pour en avoir une nouvelle.

Le lycée, cet endroit où chaque jeune cherche sa voie, ces années où on peut encore se permettre de vivre sans vraiment penser au futur; on découvre l'amour, le premier, et le plaisir charnel pour certains. Maxence étant un timide par nature ne faisait que passer son temps à  admirer les filles; après sa séparation avec Adèle celle qu'il a passé toute ses année de lycée à aimer, il lui était compliqué de réessayer à  nouveau un relation.
-Pour te dire la vérité, je n'aurai pas la force de supporter cette relation, à cause de mes problèmes cardiaques, tu sais que je t'aime, ce fut les mots que cette dernière lui a dite. Je préfère qu'on en reste là. C'était la dernière fois qu'ils se parlaient.

Cette première année de lycée fût alors l'année de découverte, des plaisirs des caresses dissimulées. Pour un jeune puceau, une source de motivation insoupçonnable et d'expérience. Maxence s'amusait autant qu'il pouvait, et se demandait assez souvent comment faire pour séduire une de ces filles ayant un joli corps dans sa classe; alors que pendant ce temps son ami Moran s'était lancé à la quête de Stéphanie,  une fille dont le corps n'avait rien à  envier à  qui que ce soit; elle avait un fessier bien arrondi et qui ressortait bien derrière de sa jupe. Un forme à transformer les démons en anges. Elle refusa les avances de Moran de nombreuses fois qu'il finit par abandonner, en effet, il ne pouvait que se résigner. Pendant ce temps dans la même classe, Maxence apprenait des astuces de caresses avec une de ses camarades, Jeanne. Avec elle il découvrait que l'on pouvait caresser juste avec un crayon pointu, rien que le fait de le tenir droit, et le faire glisser le long du bras jusqu'à la paume de la main et dans le sens inverse.
- Alors, Dis moi Maxence, qu'est ce que ça te fait ça ? Lui demandait Jeanne.
- Pour te dire la vérité, bahhh. ... C'est la première fois. Dit-il. Je ressens un frisson jusqu'en dessous de la nuque. Attends je te montre.

Cette nouvelle année s'annonce riche en  événements et autres péripéties de jeune. Jeanne était une fille avec un petit truc qui la rendait différente de n'importe qu'elle autre de ce âge et dans cette classe. Toute ronde, avec un fessier protubérant et remarquable; elle ne passait pas inaperçue, nul ne se douterait qu'elle en connaissait autant. La salle était à l'époque, une de celles qui rassemble les bons et mauvais élèves, les caïds et qui plus est, ce rôle était décerné aux filles à cause de leur habitude à se battre souvent comme des chiffonnieres. C'est dans cette ambiance que Maxence se plaisait.