Désirs Inattendus

Un moment inoubliable

Cette première visite était des plus intenses et intéressantes. J'ai été agréablement surpris de voir à quel point Laora pouvait être étonnement entreprenante. Je ne m'y attendais pas du tout. Ni à son attitude, ni tout ce qui a pu se passer après. 
Le feu d'artifice dans ma tête lorsqu'elle m'a embrassé se faisait encore plus fort. La texture de ses lèvres pouvait être comparable à celle d'un tissu en coton, si douce. L'après-midi commençait à laisser place à la soirée, on a continué à discuter comme si de rien n'était elle était plus détendue et souriait. Après un autre tour de la maison elle proposa de me montrer les chambres, une virée touristique dans une maison comme premier rendez-vous, si on peut le nommer ainsi. Il fallait s'y attendre personne ne faisait attention à nous. Après un petit tour, il m'emmena dans sa chambre et ferma la porte à clé.

- Personne ne se posera de question. J'ai l'habitude de fermer ma porte à clé souvent. Répondant à l'interrogation sur mon visage. Sa chambre était assez grande, plus que la mienne à vu d'oeil. Elle était assez bien rangée

J'eus une idée qui me paru invraisemblable et je me l'ôtai de la tête immédiatement. Il n'y avait pas de chaise ou de fauteuil donc elle me proposa de m'asseoir sur son lit puis elle vînt s'allonger à côté et posa sa tête sur ma cuisse. Elle me racontait ses histoires et on rigolait. Je ne pourrais expliquer ce qui a pu me passer par la tête mais à cet instant je ne réfléchissait plus. Je plongeai mon regard dans le sien, un silence régna d'un coup dans la chambre; mes yeux faisaient des aller-retour entre ses lèvres et ses yeux, pendant que je mordillais les miennes; j'entourai sa taille avec mon bras et ma main saisi sa taille pendant que l'autre main et sous sa nuque, le pouce derrière son oreille. Aucun signe de résistance; au contraire, elle se rapprocha. Et je l'embrassai avec toute la tendresse dont je pouvais être capable. Je sentais ses petites mains me serrer très fort et elle me tirait vers elle voulait sentir mon corps contre le sien, et je fis pareil. Cela ne pris pas longtemps avant qu'on ne se retrouve allonger. On commença à se caresser doucement puis cela devenait plus intense. La chaleur avait augmenté d'un cran, le désir émanant d'elle pouvait être comparé à une fournaise inextinguible. Il ne fallu pas beaucoup de temps avant qu'elle ne me retire ma chemise, je fis pareil en lui enlevant son t-shirt puis son short, c'était comme une sorte d'automatisme; j'appréhendais difficilement ce qui était en train de se passer mais mon cerveau et mon corps n'était pas dans la même optique, nos vêtements avait déjà volé de part et d'autres de le chambre. Subjugué par la vue de ce corps parfaitement dessiné par la nature je ne pouvais m'empêcher de la regarder.
- Ne me regarde pas comme ça, s'il te plaît. Tu es le premier à me voir ainsi
-Excuse moi, j'admirais cette oeuvre divine  que j'ai devant moi.
Je n'attendit pas sa réponse que je me remis à l'embrasser puis à l'allonger sur le dos. Et pendant que je la caresse, je la couvrais de baisers un peu partout; je tétai  ses seins comme s'il s'agissait de sucettes. Elle frémissait chaque fois que mes lèvres touchaient sa peau délicate; le frisson qui parcourait son corps la faisait trembler. Son abricot était tout trempé; et lorsque ma langue s'y aventura J'eus peur que toute la maison ait des échos de ce qui se passait. Elle me dit qu'il était temps qu'elle me sente en elle.
Je me suis redressé pour enfin entrer en elle. Ce que je fis doucement et je me suis rendu compte que c'était à tous deux la première fois. Ça ne m'empêcha pas de continuer. Ses gémissements étaient comparable à une symphonie qui allait de gammes en gammes.
On a passé trois bonnes heures ou plus à faire l'amour et à la on s'est endormi sur place; une heure de sommeil.