Histoire Courte Avec Patricia

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Je revins la voir le lendemain et les jours suivants. Notre relation commença réellement le lendemain, je veux dire vingt quatre heures après ma première visite. Elle était seule à la maison avec la bonne, et elles m'invitèrent. Sans hésiter j'y suis allé.

Lorsque j'arrivai, elle était sur la terrasse à m'attendre. Elle portait un petit short vraiment très court caché sous un grand t-shirt blanc qui donnait l'impression qu'elle était juste habillée avec cela er qu'il n'y avait rien en dessous. On discuta pendant un long moment, et comme si c'était un acte automatique, je commençais à me frotter à elle tel un chat, je l'incitais à vouloir faire des câlins. Je ne compris pas comment tout à tourner cours. Puis elle me demanda de la suivre au salon, la bonne s'y trouvait et était concentrée à  regarder un feuilleton et ne remarqua ma présence que lorsque qu'il y avait la publicité.
- Ah !! Max tu es là depuis ? Je ne t'ai même pas entendu.
-Je suis là depuis peu, tu étais à fond sur ton feuilleton.
Patricia s'était éclipsé sans que je ne m'en aperçoive jusqu'à ce que je ne reçoive un message d'elle disant :

<< Rejoins moi discrètement dans le couloir sans que la bonne ne te voit >>
 
J'attendis quelques minutes de sorte que la bonne soit concentrée à nouveau dans son feuilleton puis je me levai lentement et me dirigeai vers le couloir en faisant très attention à ne faire ne moindre bruit. Elle m'y attendais, dos au mur. Ensuite je me mis face à elle et je posai ma main gauche sur le mur au dessus de son épaule gauche, je plongeai mon regard dans le sien, et je demandai :
- Alors on fait quoi là ? Mystère. Sur tu ton suspicieux et un regard en coin. Elle me fixa pendant un moment.
Alors que je m'y attendais le moins elle approcha son visage du mien. De ses deux mains elle saisi mon t-shirt et me tira vers elle. Et là; mes lèvres frôlèrent les siennes. Un sentiment de surprise se mêla au désir de continuer sans se retenir.
-Je ne m'attends jamais à certaines choses mais lorsque ça  je profite.
Et sur ces mots je glissai ma main droite sur sa nuque pour la tirer vers moi et je l'embrassai.
Je senti ses mains passer dans mon dos et elle me serrait passionnément caressant, tout en cherchant à aller sous le t-shirt. On s'arrêta lorsque nous avons entendu la bonne se lever. On rentra illico dans sa chambre afin qu'on ne soit pas surpris là.

  Une fois dans la chambre, elle ferma la porte derrière nous et me poussa sur le lit. Les coudes posés sur le lit formant un angle droit, je la regardais retirer doucement son t-shirt qui laissait entrevoir petit à petit son nombril puis son ventre plat jusqu'à ce qu'elle ôte totalement son habit. Cette vision exquise donnait de l'appétit, je la dévorais du regard. Je découvrais un corps sublime. Ses grands vêtements cachaient un physique de toute beauté; elle était svelte, un fessier bien arrondi et aussi moelleux qu'un coussin, une  poitrine ornée de deux seins pointant  telle deux oranges pas trop grosses. Elle s'approcha de moi et se mis à  califourchon et on s'embrassa de plus belle.

J'étais en train de retirer mon t-shirt lorsque son téléphone sonna. C'était son père qui était de retour.  Il fallait que je fiche le camp illico avant que je ne me fasse choper. Je me hatai de sortir par le portail principal lorsqu'elle m'arrêta et me dit de sortir par la porte arrière où il y avait moins de risque que je sois vu. Ce que je fis sans demander mon reste. Une fois chez moi je lui écrivis pour lui dire que j'étais bien rentré. C'était pas passé loi . On en dit et on discuta le reste de la soirée jusqu'à ce que le sommeil ne m'emporte.

Désirs InattendusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant