Irrésistible

98 6 1
                                    

Plus le temps passe, plus je voulais être prêt d'elle. Bientôt on serait séparé par les cours, l'école qui reprend et les vielles routines qui reviennent. Je savais pertinemment que je reverrai Rolande et qu'on était toujours ensemble.
- Ma relation avec Patricia n'est pas une bonne chose. Me dis-je.
Toute fois, je continuais de ressentir cette attirance féroce à l'égard de Patricia sans vraiment savoir comment y échapper. Cette épineuse situation avait des tournures et une capacité semblable à celle de la prolifération de ronces. Et pourtant, j'y prenais plaisir sans penser au futur, je voulais profiter autant que la vie me le permettait sans me questionner à tous moment ou à stresser. Tout cela était pour moi lointain et inutile, je ne voulais pas réfléchir sur tout ça; profiter du moment espérant que demain soit mieux. J'étaispris entre deux feux dont les flammes ardentes me brûlaient sans crier gare. L'attraction que Patricia exerçait sur moi était très forte, même et cela suffisait largement à faire en sorte que je ne m'éloigne pas d'elle, elle avait une emprise complète sur moi, j'étais subjugué par chaque aspect d'elle. Ces lèvres d'un rose pâle, petites et attirantes, cette taille de mannequin totalement irrésistible, elle avait une de ces formes qui ferait pâlir des sirènes; ces créatures mythiques dont la beauté transcendait n'importe laquelle des autres créatures, elles faisaient succomber les marins qui les écoutaient chanter ou, il suffirait d'un regard poser sur elle pour tout changer. Il n'en était pas moins différent des succubes, ces viles créatures, femmes au corps sublime, envoûtant les hommes afin de les dépouiller de leur énergie vitale: telle étaient les effets que Patricia éveillait en moi.

Puis arriva un jour fatidique, la fin des vacances pour elle, on allait plus pouvoir se revoir et en profiter. Et s'ajoute à cela, le retour de sa mère qui était en voyage. Ce qui n'arrange pas mes affairés.

Cependant je décidai le tout pour le tout, ressentir ces lèvres une dernière fois. Et, comme si nos esprits étaient connectés, je reçu un message qui tombait au bon moment.
" peux-tu passer ?"

Ma réponse ne se fit guère attendre, je me précipitai chez elle, et je lui envoie une réponse en chemin; aussitôt arrivé elle vint m'ouvrir. Je n'eus pas le temps de parler; elle me saisit par le main, me tira à l'intérieur de la maison avant de refermer la porte. Elle m'entraîna dans sa chambre. Je compris que nous étions seuls dans la maison. Je lui rendis le baiser avec la même fougue.
- Mes parents ne sont pas là aujourd'hui, profitons. On en aura peut-être pas l'occasion quand je reprendrai les cours. Me dit-elle en m'arrêtant.
On se retrouvait bientôt sur son lit, ses deux mains sur ma tête qui se trouvait sur sa poitrine, je suçais ses seins avec douceur profitant de l'instant pour que le plaisir dure. Encore et encore. Ses gémissements étaient une douce mélodie à mes oreilles. Elle faisait descendre ses mains dans mon dos cherchant à retirer mon t-shirt; je me redressai pour qu'elle puisse le faire, ce qu'elle fit bien que ce soit maladroitement. Je continuais d'aller plus bas, je retirai son short puis son slip. Impatiente, elle me retourna sur le dos et se mit à retirer mon pantalon et mon boxer; avant de mettre mon sexe dans sa bouche. Elle le faisait si bien que je ne puis retenir quelques bruits lui faisant comprendre que je prenais mon pied. Enfin elle se leva et s'assis dessus. Elle me chevaucha merveilleusement bien, je ne pouvais pas m'arrêter prendre plaisir et elle aimait ça, et elle continuait de plus belle. À un moment je l'arrête, ma main sur sa taille je tournais de la hanche, elle laissait sortir un petit Awn de plaisir, l'interaction de nos sexes était extraordinaire, pour mieux la faire jouir je la mis en levrette et lui fit l'amour comme si ma vie en dépendait et ses gémissements se faisaient de plus en plus fort et au bout de quelques minutes on jouit ensemble. Je compris qu'elle a atteint le paroxysme du plaisir lorsqu'elle s'écroula sur le lit l'air épuisée.
- C'était super. Je garderai le souvenir de ce moment longtemps. Il se peut qu'on ait plus l'occasion d'avoir pareil occasion. Dit-elle avant de s'endormir.
- Moi aussi, c'était magnifique, je ne te connaissais pas un talent pareil. Répondis-je en la regardant sourire dans son sommeil.

Outre ce sentiment de satisfaction, un sentiment profond de tristesse ne tardait pas à faire surface. Notre histoire allait connaître une suspension qui n'était pas de notre ressort.

Désirs InattendusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant