20. Meurtre

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Par Aiko Akabane

Jeudi 07 Octobre 2027 : 16h35

Je me retrouvais devant le professeur de ma fille intelligente mais très apparemment très agité pour discuter du comportement de Nura. Enfin, c'est ce qu'il laissait croire.

Pour pouvoir parler sans problème et surtout sans intervention de ma fille, Nura, son professeur lui avait demandé de sortir de la salle. Je me retrouvais donc seule face à lui et à son bureau.

« Prof : Bien nous pouvons parler librement.

Moi : Je vous écoute.

Prof : Votre fille me pose un problème durant les cours que cette dernière passe avec moi.

Moi : C'est un peu bizarre. C'est la première fois depuis sept ans que je suis convoqué au sujet de son comportement.

Prof : Voyez-vous, ce n'est pas spécialement au sujet du comportement de votre fille, mais d'autre chose.

Moi : Soyez plus précis, s'il vous plaît. »

Il se leva et se dirigea vers la porte pour fermer cette dernière à clé. Il vient de nous enfermer dans la salle là ?

« Prof : Evidement. Le souci est que votre fille ressemble énormément à sa mère que je trouve absolument irrésistible.

Moi : Je suis vraiment flatté, mais je suis mariée, j'ai une famille et je suis heureuse.

Prof : Sauf que j'en n'ai rien faire ! Je veux vous sentir près de moi. Pouvoir touchez chaque recoins de votre corps. De votre peau. Que nos lèvres soient en contact et que je vous donne du plaisir.

Moi : Je suis obligé de décliné votre proposition.

Prof : Mais madame, vous n'avez pas le choix. »

Il me plaqua au mur en me tenant les mains au-dessus de ma tête avant de tenter de poser sa bouche dégueulasse de pervers sur mes lèvres réservé à l'homme de ma vie. Mais avant qu'il n'y arrive, je réussis à le pousser avec mes pieds ce qui le mit en colère. Il sauta sur moi pour m'assigné des coups sur mon visage pour m'assommé. Mais dommage pour lui, je suis résistante grâce à mes années au gang et au côté de Karma. Il prit un couteau avant de ma frapper avec la partie non tranchante ce qui me fit tombé au sol.

Il se mit en califourchon sur moi avant de levé le couteau et de le planté dans mon cœur sous le regard de Nura qui venait d'ouvrir la porte sur cette scène beaucoup trop sanglante pour une enfant de son âge.

J'entendais des hurlements de fonds qui provenait sûrement de Nura. Pendant un quart de seconde environ, je vis le doux visage de ma petite princesse avant que je finisse par fermer mes yeux et lui dire avec difficulté dans la pénombre de mes yeux fermé et la douleur ressenti au niveau de mon cœur :

« Moi : Je... vous... aime... toi et ton père... et... je veillerai toujours... sur vous deux. »

Après ces mots, le trou noir m'envahis et je sens que meurt.

AC - La Vie Au LycéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant