AC - La Vie Au Lycée

27. Mission Finale (1)

Par Nura Akabane

Dimanche 31 Décembre 2028 : 18h55

Je suis avec les autres pour mettre en route la mission de ma vie. La mission que j'ai préparé pendant toute une année et qui me tient très à cœur. Quelques minutes après, nous sommes arrivé devant la prison la plus sécurisé du pays. Le principal gardien de ces lieux est un féroce adversaire.

Hastu : C'est ça la prison la plus sécurisé du Japonais ?

Moi : Oui.

Kiken : Mais c'est le Kantei Japonais (Le Kantei est la maison du premier ministre Japonais).

Moi : Oui. Selon les informations locales japonaises, le centre pénitencier Japonais le plus sécurisé se trouve dans la maison du premier ministre Japonais depuis que celui-ci est entré en fonction.

Hastu : Et c'est qui le premier ministre actuel ?

Moi : Mon père. Et c'est lui le principal gardien de la maison.

Kiken : Ça sera facile, alors.

Moi : Non.

Hastu : Sur ce coup, on te suit.

Moi : Super.

On descend de nos voitures respectives pour entré par le toit, dans la plus grande discrétion du monde, dans les lieux. On est monté grâce à des cordes que nous avions apporté. Puis j'ai pris un coupe-verre et une ventouse avant de collé ce dernier à la vitre du toit et de la coupé avec le coupe-verre. Je tire la ventouse vers moi avec la vitre toujours collé ce qui laissa un gros trou soit bien visible. On utilise la corde avec laquelle on est monté sur le toit pour descendre par le trou, avec moi la première.

Arrivé au sol, je me colle de suite au mur pour ne pas me faire repérer. Je décale discrètement ma tête du bord du mur pour vérifier si la voie est libre. Ce qui est le cas. Je fais donc signe aux autres de passé et ils se mettent à courir dans la plus grande discrétion possible à l'autre bout de la salle où on a atterrit. On a continué notre route comme en assommant les agents qui nous repéraient.

On arrive enfin à la dernière intersection avant de se trouver devant devant la cellule de notre cible. Je passe un regard discret à l'entrée de la cellule et remarque un garde devant. Le contraire m'aurai étonné. Je regarde ma montre qui indique 19h57. Encore trois petites minutes à attendre.

**Trois minutes plus tard**

Les lumières du couloir où je me retrouve avec les autres se sont éteinte grâce à notre hacker en chef Kiken. En effet, elle a un don pour tout ce qui concerne l'informatique et le reste.

Le garde s'avance calmement vers le l'endroit où nous nous cachons avant de nous voir et que je l'assomme. Je m'avance vers la cellule qui est ouverte encore grâce à Kiken. Je ne la remercierai jamais assez, elle. J'ouvre la porte et me trouve en face d'un homme très mal au point et avec une longue barbe. Ça se voit qu'il ne se lave pas souvent. Il me regarde surprit sûrement de voir une gamine de douze ans le sortir de prison.

Lui : Tu sais que tu finir en maison de redressement pour me avoir fait ça.

Moi : Je sais, mais ce sera pour avoir tué mon professeur de primaire.

Lui : De qui tu parles ?

Moi : A votre avis, quelle gamine a tellement envie de venger le meurtre de sa mère ?

Lui : Nura ?

Moi : En personne.

Lui : Qu'est-ce que va dire ton père ?

Moi : J'en rien à faire.

Je le pris par le bras avant de le plaquer au sol l'immobilisant par la même occasion lorsque l'alarme de la cellule retenti. Putain, j'ai pris trop de temps. Mais il est hors de question je m'en aille sans le tué pour avoir privé à une femme de sa vie, d'un homme de sa femme et d'une gamine de sa mère. Mais je n'ai pas le temps de sortir mon arme qu'un homme aux cheveux rouge sang, au yeux dorés et un sourire arrogant dont seule ma famille à le secret se retrouve en face de nous une arme à la main. Il portait un jeans, une chemise blanche et une veste noire. Bon sang, je croyais qu'il devait être à sa soirée, lui. Il lâcha son arme afin d'immobilisé Hastu qui était le seul à être resté pas loin de moi.

Papa : Sale Enflure. La raclé que je t'avais donné ne te suffisait pas ?

Moi : Hastu ? Tu le connais ?

Mon père qui n'avait pas remarqué, posa enfin son regard sur moi. Je crois qu'il est surpris de voir une gamine aidé Hastu.

Papa : Qu'est-ce que tu fais gamine ?

Hastu : Oui, mais c'est une longue histoire.

Moi : Je comprends mieux ton comportement avec moi.

Papa : Avoir entraîné une gamine avec toi. Tu mérites la pire des morts.

Moi : On peut m'expliquer ?

Papa : Ce n'est pas tes affaires petites.

Je sors lentement de ma combinaison mon revolver afin de le pointer sur le meurtrier de ma mère et de mon innocence.

Papa : Tout doux avec ton arme. Tu risques de te faire mal.

Hastu : Crois-moi Akabane, elle maîtrise parfaitement cette arme en particulier.

Mon père lui donné un coup dont il se souviendra très longtemps, j'en suis sûr. Hastu agonisait de douleur après avoir reçu ce coup.

Hastu : Petite, pourquoi tu ne fait rien.

Papa : Ne fais rien.

Je baissa mon arme et le déposa au sol délicatement.

Papa : Que diraient tes parents s'ils savaient ce que tu fais ?

Moi : Ma mère est morte et mon père ne me reconnais pas. Alors, je n'ai rien à perdre.

Papa : Comment tu t'appelles ?

Je tournai mon regard vers lui et le détailla de plus près. Il avait vraiment mauvaise mine. Il avait des cernes et avait l'air fatigué et triste mais pourtant si on ne l'analyse pas, on n'aurait jamais dit.

Moi : Je peux savoir comment vous vous connaissez ?

Papa : Je t'ai déjà dis que...

Moi : S'il vous plaît.

Papa : Dans ma jeunesse, il m'avait kidnapper avec des amis pour obliger ma femme à se marié avec lui.

Après sa phrase, je commençait à voir rouge. C'est son gang qui à fait du mal à mes parents. Moi qui pensait qu'il ne chercherait pas à faire du mal à un membre de ma famille.

Moi : Je m'appelle Nura. Nura Akabane.

Il me regarda avec son éternel regard et son sourire arrogant, mais pas le moindre choque.

Papa : Je le sais ma puce.

Hatsu : C'est bien beau vos retrouvailles, mais...

Il me pris en me bloquant les bras et m'empêchant de bouger pendant que papa prit son arme en vitesse en le pointant sur nous.

Hastu : Tu ne veux pas faire de mal à ta chère fille ?