Wendy

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Se soir je ne pensait qu'encore et qu'encore à Ben, son incroyable maison et aussi à sa copine aussi jolie que désagréable. Mais je crois ne l'avoir jamais vu à la FAC. Je ne savais pas pourquoi mais ce regards perçant qu'avait pausé Ben sur moi, ne cessait de me troubler jusqu'à présent. Je sais qu'il n'avait rien à foutre de moi, et que c'était juste pour m'aider qu'il m'avait juste emmener chez lui, mais je ne faisait que penser à lui. M'arrachant de mes pensées, mon portable sonna, c'était Queen j'aurai du la rappeler après avoir couper précipitamment chez Ben :
- Alors Wendy, ça fait la millième fois que je t'appelle, qu'es ce qui va pas ?
- Pardon de ne t'avoir pas rappeler, mais j'ai oublié. J'étais vraiment un boulet et ça tout le monde le savais si bien.
- J'espère que tu n'as rien eu
- Non ne t'inquiète pas j'ai juste eu un petit accident
- Le patron a dit que tu pouvais prendre deux jours de plus, je lui ai expliqué comme je pouvais. Qu'est-ce que je ne ferai pas des fois sans Queen, nous ne sommes pas très amis, mais c'était une fille bien qui a vite eu une certaine considération chez moi.
Je lui rassurai que tout allait bien et que ses deux jours de congés ne serait pas nécessaires, avant de lui dire bonne nuit. Une fois fait je pris une bonne douche froide avant mon rendez-vous avec Morphée. Quand je sortis de sous la douche, des coups de points retentirent. Machinalement je nouai ma serviette autour de ma poitrine en me dirigeant vers la porte. Qui cela pouvait être ? Mais une chose est sûrs, si c'était Joyce elle n'allait pas tarder à rentrer chez elle. Le regards perçant qui me hantait quelques minutes avant, était en train de me consumer au seuil de ma porte. Je craquais littéralement quand je le vis, avec cette veste en cuire noire qu'il portait sur un t-shirt gris, avec son éternel jean destroy et ses rangers. Ben était là, avec un livre de comptabilité qui ressemblait énormément au mien:
- Je peux entrer? Me dit il en tardant légèrement son regards vers la naissance de ma poitrine. Je lui fis signe de rentrer en me maudissant de l'avoir mater pendant plus de trente secondes:
- C'est... très petit ici, dit il en s'assignant sur mon petit canapé bon marché.
- Euh... oui c'est ici que je vis, dis je hésitante.
- C'est ce que je vois, dit il en haussant un sourcils. Je sentis le rouge monté sur mon visage tout d'un coup. Ses yeux, je ne pouvais pas me défaire de leurs intensités, ils étaient si profond. J'aurais juré avoir tremblé légèrement, face à cette intensité:
- T'as oublié ton livre dans ma voiture, dit il d'un tont neutre en se levant. Il s'avança vers moi, jusqu'à au moins vingt centimètres entre nous. Avec cette taille de géant, c'était comme si mon salon ne pouvais pas le contenir. Il me rendu mon livre, que pris en effleurant légèrement ses doigts. Son parfum viril remplissait totalement la petite pièce:
- Merci beaucoup. Je n'arrêtait pas de le fixer, d'un pas machinal il me contourna et se dirigea vers la sortie. Je n'eus même pas le courage de me retourner, j'avais juste entendu la porte se refermer à l'instant. Une fois qu'il est disparu, je pus enfin souffler. Es ce que je venais de me retenir de respirer? Oui, j'étais complètement stupide.
Il est déjà dix heure, et le seul cour que j'avais de la journée venait de finir. Avant de sortir de la salle, le professeur de comptabilité m'avait remis un papier dans une enveloppe. Je me demandais ce que cela pouvait être, mais je pris la décision de l'ouvrir une fois ma journée finis au Dream's café. Quand je me rendis sur les lieux, il n'y avait personnes c'était plutôt calme. Alors j'entrepris de me diriger vers les vestiaires quand quelqu'un me barra la route:
- Où crois-tu aller comme ça ? C'était Robert mon patron, et vu son air absent je craignais le pire
- Bonjour Robert... tu vas rire mais hier j...
- Ça suffit, il marqua une pause puis continua, j'espère que tu n'as rien de grave
- Non merci ça va, dis je rassurée
- T'aurais pu prendre tes deux jours de congés, me dit il en s'éloignant vers le bars.
- Fais plus attention à toi, continua t'il
- Merci, lui dis je. Robert était un peu comme le père que je n'ai jamais eu, il m'a toujours conseillé dans mes débuts ici. Cependant cela n'exclut pas qu'il est quand même mon patron. Une fois dans les vestiaires je portai mon uniforme de servante, un t-shirt orange sur un jean, sans oublier mon tablier orange qui va avec et des pairs de baskets. Une fois fais, je me mis à m'attaquer aux différentes tâches qui m'étaient administrées. Une fois fais, l'heur de pointe sonna et les clients venaient en masse. Ce soir là, il y avait assez de client. Queen était venue un peu plus tard pour le service du soir. Une fois mon service terminé, je rentrai chez moi. C'est vendredi et je planifiais déjà ma soirée quand mon portable se mit à sonné, c'était Joyce au bout du fil:
- Salut Joyce
- Hey Wen, j'ai essayé de te joindre plus tôt mais je suis tombée sur ta messagerie, dit elle doucement
- J'étais en plein service mais maintenant ça va, dis je en continuant de marcher
- Je viens squatter chez toi se soir, dit elle toute contente
- Je t'avais pourtant dire que je ne voulais plus que tu squattes mon appartement
- Oui mais j'ai un trucs spécial à te dire
- Et c'est quoi ce truc? Dis je agacée
- Tu le sauras une fois chez toi
- Non je te prév... Je ne finis même pas ma phrase qu'elle me coupa au nez.
Une fois chez devant mon immeuble, je me demandais déjà quelle excuse pouvais je avancer à Joyce pour passer ma soirée tranquille. Je ne fus pas suppris de la voir devant ma porte, elle m'attendait sagement comme un enfant obéissant attendait ses parents. Elle était un peu bizarre, elle n'était pas comme d'habitude. Quant elle me vit, elle s'approcha de moi en me serrant dans ses bras:
- Oula! On dirait que quelqu'un avait besoin d'un énorme câlin, dis je étouffée
- Tu n'as même pas idée, dit elle en relâchant sa prise.
- Alors tu restes pour combient de temps? Je fixai son sac à dos en haussant un sourcils.
- Merci Wendy -elle marqua une pose-,  tu es sympa. Il n'y avait rien à dire, Joyce avait le talent pour me faire accepter toutes ses requêtes. Mais au faite, je crois que c'est moi qui suis trop gentille. Une fois à l'intérieur, elle se dirigea vers la cuisine en me demandant ce je voulais manger:
- Des spaghetti ça te dis?
- Ouais pourquoi pas, lui dis je en me dirigeant dans ma chambre. Je me déshabillai rapidement et pris une douche bonne douche, pour réfléchir à cette enveloppe que m'avait donner monsieur Tonner. Quand je finis Joyce et moi avions manger et parler de notre semaine:
- Au faite Wendy j'ai un truc à te dire, dit elle l'air grave. Je lui pris la main, pour lui prouver mon attention:
- La semaine prochaine je me rend à New York chez mes parents, dit elle calmement
- C'est cool, disais je excitée
- Non justement c'est tout sauf cool, dit elle au bord des larmes. Elle était vraiment mal et la voir comme ça me rendait triste, vraiment triste:
- Ma mère est atteinte d'un cancer du poumon -elle essuya ses larmes rapidement-, elle se dirige au stade terminal et il faut que ....
- Ne continu plus s'il te plaît, quand je lui fit une étreinte elle tomba immédiatement en sanglot.
- Mon père lui aussi à l'attente de cette nouvelle n'a cessé de boire et.... Elle ne continua plus, les mots furent vite absorber par les pleurs. Je voulais lui dire que tout ira bien et que sa mère s'en tira, mais je ne pouvais lui mentir. Lui dire que tout s'arrangera, serai mettre le doigt là où ça fait mal. On y pouvait rien, la mort est le commun des mortels, le seul destin qui était commun à tous.
Le reste de la soirée s'est passée dans une ambiance plutôt calme. Joyce s'est endormie comme un bébé, on dirait qu'elle avait besoin qu'on l'écoute et de pleurer un bon coup. C'est une fille forte et je sais qu'elle saura se sortir de cette difficile phase. Avant d'aller me coucher, je réalisai que j'avais oublié cette enveloppe. Je l'ouvris avant de me coucher, et si j'avais deviné ce message plutôt, je crois que j'allais me taper de mauvaise note plus souvent. Le cas désespéré que je devais me taper n'était rien d'autre que Ben. On peut dire que j'en avais de la chance, merde. 

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Bonne lecture 😘

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