Ben

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Wen, est venue toute épuisée et perdue à la maison. Je lui ai demandé ce qui n'allait pas, mais elle m'a dessiné un rictus, qui m'était complètement faux. Elle peut mentir à tout le monde, mais je sais très bien que quelque chose ne vas pas.
Il sonnait déjà 16h et elle rangeait ses affaires silencieusement, je la suivais du regard toujours dans se silence oppressant:
- Il s'passe quoi bébé? Dis je en l'attirant contre moi, elle détourna son regard sur le côté puis dit:
- Humn... Rien. Je la déposai sur la chaise puis la regarda dans les yeux:
- C'est quand même bizarre cette mine que tu fais, tu trouves pas? Elle m'embrassa simplement sur ma bouche, puis descenda. Elle vient de m'embrasser? Putain, cette fille c'est ma vitamine D! 
Elle s'avança vers la sortie, puis je la suivie jusqu'au dehors:
- Laisse moi te raccompagner, dis je sans avoir son avis. Je sais qu'elle aurait préféré rentrer seule, mais je ne la laisserai pas dans cet état.
Le voyage s'est passé tranquillement, elle regardait la voie défilé devant elle, et les quelques voitures qui nous dépassait de temps en temps:
- T'es sûrs que je ne peux pas t'accompagner? Elle me sourit timidement avant de me faire non de la tête. Elle a oublié un livre d'Anna Todd, dans ma voiture, du coup je la suivi discrètement. Merci Anna Todd!
Chose bizarre, elle tremblait devant sa porte, et je couru vers elle sans hésitations:
- Putain qu'est-ce qui s'est passé ici?
Sa porte était défoncée, elle tremblait comme une feuille et tout son appartement était ravagé. Que s'est il passé ici bordel? Je la suivi du regard, lentement elle entra dans son salon saccagé, elle souleva les feuilles qui se trouvait parterre. Elle s'accroupit doucement devant un porte documents, puis se mis à hurler très fort de rage:
- MERDE!!! Elle jeta le porte documents déchiqueté vers un mur
- Mon dernier devoir pour le mois prochain, fit elle en passant ses mains dans ses cheveux pour les retenir en arrière.
Elle donnais des coups de pieds par-ci, par-là, elle jetais tout sur son passage. Elle commença à taper fort sur le mur, que je dus la retenir pour qu'elle ne se fasse pas trop mal:
- Calme toi bébé, soufflai - je contre sa nuque. Doucement elle se laissa glisser jusqu'au sol, je l'ai suivi moi aussi. Ses larmes coulaient en silence pendant un long moment, seul les quelques reniflement de Wendy, brisait l'ambiance de deuil:
- Faut qu'on arrange se bordel, dit elle en se relevant.
Pendant deux heures environ, Wendy et moi avions essayer de sauver ce qui pouvait l'être. Elle ne parlait pas, son visage était blâmé, et son teint tout pale. J'avais aussi appelé un réparateur, pour qu'on change sa serrure. Et merde, je crois que je devrais lui changer d'appartement, ou lui dire simplement de venir vivre à la maison avec moi:
- Je vais prendre une douche; la voix brisée de Wendy venait de me faire sortir de mes pensées.
Une fois éloignée, j'appelai une agence immobilière et demandai des renseignements.
Après mon échange, je pénétrai dans la petite chambre de Wendy -rangée plutôt-; ses vêtements étaient au sol. Sans réfléchis, j'ôtai ma veste en cuire, puis mes chaussures.
Elle était là debout, une main collée au mur, la tête baissée:
- Tu pleures encore bébé! Elle ne me répondit pas, je l'enlaçai et la tirai-je contre moi.
- Ce devoir ma pris plus de deux semaines pour le faire, elle renifla puis poursuiva, dans ma chambre ils ont déchiré toutes mes économies qui me restait. Comment vais je faire?
- Ne t'inquiète pas pour ça je suis là. Elle n'eut pas le temps de répondre, je commençai déjà par l'embrasser. Ses reniflements se transformaient, petit à petit en gémissements. Sans plus attendre je la retournai puis m'emparai de ses lèvres. Elles étaient chaudes et son corps si fragile. Putain, je ne voudrai plus la voir dans cet état.
Sans prévenir, j'introduis un doigt en elle, ce qui lui échappa un cris de surprise.
Elle me gardait fermement par mes épaules:
- Humm Ben, dit-elle entre deux respiration. Je laissai par courir ma langue sur l'un de ses tétons, avant qu'elle ne dégrafe mon pantalon, tout de suite ses petites mains frottaient mon sexe. Dieu, qu'es ce qu'elle me faisait bander!
Si elle continuait, je risque de jouir maintenant:
- Accroche toi bien bébé, dis-je en même temps que je soulevai sa cuisse droite. Avec impatience, je la pénétrai de mon membre avec avidité.
Quelques instants, mes coups de reins se faisaient de plus en plus rapide. Ses cris comblait les écos de la salle de bain, nos langues se livraient une bataille insatiable:
- Oui...Ben.
Très rapidement, nous atteignions l'extase. Je la reposait doucement sur le carrelage de la sale de bain:
- Viens vivre avec moi, dis je en repoussant ses cheveux en arrière. Je sais que c'est propice, mais je ne veux plus rester loin d'elle sachant qu'elle n'est plus trop en sécurité.
Elle me regarda un instant, moi puis ensuite le carrelage du sol avant de répondre:
- Juste pour quelques jours alors.
Satisfait de sa réponse, je l'embrassai rapidement sur la bouche:
-  Je t'aime
- Moi aussi

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