Putain j'ai merdé. Je n'aurai pas du fouiner dans les affaires de Ben, du moins dans les effets à sa mère- je suppose. Mais ce n'était pas non plus, une façon de me traiter ainsi. C'est avec le peu de dignité qui me restait que je pris un taxi, et que je me rendi chez moi. Le voyage fut un vrai flash, car mon cœur était meurtri et mon cerveau lui, me disait '' Je te l'avais pourtant bien dit''. Ta putain de gueule.
Une fois dans mon appartement je réflichissais à ce que j'avais mal fais, et pourtant je vois très bien que c'est exactement de ma faute. Il faut bien que je m'excuse parce que si je ne le fais pas c'est nul, et je suis sûrs qu'il ne voudrait entendre des excuses aujourd'hui, alors je pris la sage décision d'attendre Lundi au cour pour les lui présenter.
Pour me refaire les idées, je mis à bosser sur un exercice de science économique. Il était déjà 14h23 quand mon portable se mit à vibrer, c'était un numéro masqué. J'avais la peur au ventre, et mon sixième sens me disait clairement de ne pas décrocher, ce que j'exécutai immédiatement. Une fois que le smartphone arrêta de vibrer, je me remis au travail puis je contuniai de plus belle dans mon entraint. Le portable après une quinzaine de minutes se remit à vibrer, je pris une longue hésitation avant de regarder sur l'écran qui c'était: c'est un numéro que je n'avais pas enregistrer. Je pris directement cette fois ci cet appel mais avec assez de méfiance:
- Heu... Allô! Cette voix me fit couler une sueur froide dans le dos. C'était Ben bon sang! Et putain je ne savais même pas quoi dire:
- Salut! C'est tout ce que je pouvais dire tant j'étais stressée.
- Mmmh je peux passer là, maintenant? Il veut passer à l'appartement. Je je... Je suis perdue.
- Oui fais comme chez toi! Pourquoi je dis ça? Putain ça craint.
- Ok cool dans dix minutes alors. Sur ce il raccrocha, et à l'instant je me senti bête de ne pas lui avoir au moins présenter mes excuses, au moins je les lui présenterai dans exactement :
- TROIS minutes, m'écriai je. Sur l'instant quelqu'un cogna contre ma porte, et je venais juste de me rendre compte que je portais encore mon shortie et qu'un simple débardeur. Tempi j'y vais les coups de poings retentissèrent encore, je paignai à la main mes cheveux rebelles et je couru rapidement ouvrir la porte.
- Salut! M'écriai je nerveusement
- Ouais salut, dit il assez froidement. Il entra dans l'appartement et alla s'asseoir dans le canapé. Pendant près de trois minutes nous restions là, à nous regarder jusqu'à ce que je me décide de parler:
- Hum, voilà je suis vraiment désolée pour ce matin je crois que je n'aurais pas du fouiller dans tes affaires. Il passa sa main droite dans ses cheveux, et il finit par dire:
- C'est OK moi aussi je n'aurai pas du être violent, il pris une clope qu'il alluma immédiatement. Tout de suite la pièce se remplit de la fumer, je me déplaçai pour ouvrir la fenêtre.
En voulant me retourner Ben était nez à nez avec moi, et il laissa s'échapper de sa bouche une bouffé de fumer. Je toussai doucement, puis il s'approcha dangereusement de moi. Il écrasa son joint sur le bord de la fenêtre, puis il enroula ses mains autour de ma taille. L'atmosphère de la pièce changea tout de suite, et le simple contacte de la bouche de Ben sur ma nuque, envoyait de milliers de petits frissons tout le long de mon corps. Tout de suite nos bouches s'entrechoquèrent et nos langues se retrouvèrent, en s'unissant dans un seul mouvement frénétique. Hésitante au début je finis par me laisser aller; quoi que je ne comprends toujours pas se rapprochement soudain entre nous. C'était comme s'il avait besoin de me toucher, j'avais et je ne me l'explique pas aussi, besoin de sentir sa chaleur sur ma peau. Mes mains passèrent dans ses cheveux, et il monta les siens vers ma poitrine. Très vite il ôta mon débardeur et mes seins lui étaient dévoilés. Le vent passait de temps en temps éveiller un peu plus nos sens. Sans plus attendre, je lui enlève sa veste en cuire et son t-shirt. Il me souleva du sol en me jetant sur le canapé, ce qui me fit échapper un petit cris de surprise et un sourire sexy se dessina sur ses lèvres. Putain il est incroyablement beau en dessous de ses vêtements. Il était juste sexy, et le voir déposer de légers baisers sur mon ventre, amplifiait mon envie pour lui.
Soudain mon fixe sonna immédiatement dans le salon, nous nous regardions un instant gêné, puis il finit par se dégager me permettant ainsi de décrocher. Je couru répondre immédiatement:
- Allô! M'écriai je
- Ce n'est pas très poli de ne pas décrocher aux appels, dit la voix derrière le fixe. Je commence par avoir peur, et je regardai Ben qui se rhabillait déjà.
- Qui êtes vous? Hurlai je presque tremblante
- Personne pour l'instant va donc t'occuper de ton homme. C'était une voix féminine, la voix me disait quelque chose mais mes souvenirs ne m'éclairaient pas non plus.
Je me senti sur l'instant observée:
- Comment savez vous ça? Qui êtes vous? Criai je et l'appel se coupa sur le champs. Ben s'était rapproché de moi, avec un visage rempli d'interrogation:
- Que c'est il passé? Dit il vivement.
- Je... Je n'en sais vraiment rien, dis je confuse. Il se racla la gorge, puis me remis mon débardeur. Je le pris de sa main précipitamment toute rouge, puis je me retournai pour le porter. C'est ridicule je sais car il y'a dix minutes je ne me souciais pas de ce détail. Quand je me retournai Ben s'était assis puis il écrivait un message je crois à je ne sais qui:
- Je crois que tu te fais suivre, finit il par dire sans lâcher du regard son écran. Qui voudrait bien fais suivre, une fille aussi banal que moi? En plus je pense qu'il a raison, car cet appel téléphonique venait juste de me mettre dans tous mes états. Il remit son portable dans la poche, puis il se leva en s'avançant vers moi:
- Mmh se soir il y a une fête chez l'une de mes amie, il pris mes mains entre les siennes puis continua, pourrais tu m'y accompagner? Je ne sais pas, tout pas trop vite, super trop vite entre nous. J'ai peur et j'ai un mauvais pressentiment au ventre, avec ce qui s'était passé la veille:
- Je ne sais pas trop... Ce n'est pas prudent avec cet appel, hier et aussi ta copine...
- Quel copine?
- Mmh j'en sais rien, dis je toute rouge. Il se mit à rigoler doucement, puis il se racla la gorge:
- Et si je te disais que je suis célibataire? Dit il d'un ton neutre. Tu viendrais? Continua t'il. Cette situation est bizarre je le sens, mais en même temps nous ne sommes pas non plus un couple. Après quelques hésitations je finis par accepter sa demande:
- Donc soit prête pour 22h30 se soir. Sur ce il partis et juste avant de me laisser, il me lança un clin d'œil qui attisa tout mes sens.
Plus le temps passais, plus je voyais bien que le cour de ma vie devenait bizarre. Il y a quelque chose que Ben me cachait décidément.
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Save Me
Romance#New Romance Wendy est une jeune fille alternée à la faculté de Denver. Laissant derrière elle sa petite famille dans le Walt Street, elle veut poursuivre ses études afin de les aider dans un futur proche. Pendant prés d'un an, elle mène une vie pa...