Ben

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Cette fête était pour moi le moyen de me défouler, et d'oublier un peu ces deux derniers jours. J'avais bu plusieurs bière et plusieurs shots, mais dans l'espoir d'oublier mon comportement de merde avec Wendy, Brook et tous ses trucs qui m'énervais par dessus tout. Très vite l'alcool faisait effet, je me défoulais sur tout et n'importe quoi, j'acceptai même des paries inutile. Quand je m'assis sur le canapé où un couple était visiblement entrain de prendre son pied, une jolie rousse vient s'asseoir sur mes cuisses:
- Oula on dirait que quelqu'un aurait besoin d'un petit remontant, me dit elle en passant son bras autour de mon épaule. Je plongeai mon regards sur sa poitrine qui était quasiment découverte. Avec un sourire je lui empoigne une fesse, puis nous nous miment à nous embrasser avec avidité. Je l'entraînai dans l'une des chambres les plus proches et quand la porte s'ouvrit ce que je vis, suffit à réveiller la bête qui était en moi.
Je n'attends pas une seconde que j'agrippai sa veste crasseuse, et que je l'envoyait valser contre le mur. Il criait en attrapant sa tête, je détestait les lâches, pourquoi forcer une fille à coucher avec elle. Je tournai mon regard pour voir qui était cette fille, putain cette fille n'était personne d'autre que Wendy, qui pleurait à chaud de larme sa robe remontée. Putain se fumier allait me le payer, je m'avançai vers lui le levant du sol et en le sortant de la chambre. Il se rua vers moi; avec ce qui sembla un petit couteau, quand il vient à ma rencontre nous dévalâmes les escaliers et nous nous écrasâmes au salon devant les yeux ahuris des invités. Sur le champs la musique s'arrêta et tout le monde nous regardait:
- T'as pas honte de te comporter comme un lâche? Lui dis je en serrant mes points de colère, tu vas regretter ce que tu lui as fait subit, continuai je en fonçant vers lui. Je l'attrapai par le col de sa veste et je me mis à le frapper sur le visage encore et encore, ce connard n'allait pas s'en tirer de la sorte. Il était presque dans les pommes quand j'entendis une voix faible m'interpeller derrière moi:
- Ben... ça suffit je crois qu'il à compris, c'était Wendy qui venait avec l'aide de la rousse en ma direction. Je regardai un instant, le sale visage crasseux de se jeune homme et le gravai dans ma mémoire. C'est maintenant que je vis la salle nous regarder dans un silence plat. Je lâchai ce pervers brutalement sur le sol et me dirrigeai vers Wendy, qui était déjà avec deux autres filles qui la prenait dans leurs bras. À l'instant David, Will et Neal débarquaient autour du gars en lui posant plusieurs questions. Je m'approchai de Wendy en ouvrant mes bras, elle hésita pendant quelques minutes, alors la blonde la poussa à me rejoindre. Une fois dans mes bras elle se mit à sangloter doucement, j'étais en rogne contre ce sale type, contre David qui a organisé cette putain de fête - même si je ne devrais pas l'être -, contre moi même de m'être comporter en un véritable connard. Elle se détacha de moi et je m'avançai vers ses amies:
- Je m'occuperai d'elle les filles, dis je en passant ma main en bas de son dos. Elles me dévisagèrent, puis regardèrent leur amie comme pour savoir si elles devraient me faire confiance:
- Ne vous inquiétez pas les filles je vous appellerai, leur rassura t-elle.
- À plus Wen, lui dit la blonde en la serrant dans ses bras ainsi que la jolie afro-américaine. Sur ce nous nous retournons, à peine éloignés la fille au teint bronzé me lança:
- Tu as intérêt à t'occuper d'elle correctement. Je lui hochai la tête sans même me retourner, en partant la rousse voulait me parler mais je passai à côté d'elle sans même lui accorder un regard. Je cru entendre un '' espèce de con '' de sa part, mais je m'en fiche royalement. Une fois Wendy dans la voiture, Will s'approcha:
- Ça va pas trop secoué? Demanda t'il
- C'est à ce vieux con qu'il faut demander ça, renchéris je. Il s'avança à la hauteur de Wendy puis dis:
- C'était à la jolie demoiselle que je causais, il me regarda rapidement puis renouvela sa question, ça va? Elle ne lui repondit pas, elle secoua juste sa tête:
- Fais bien attention à elle gaffe pas mec
Je ne lui répondit pas, je mis vite ma voiture en marche puis pris la direction de ma maison.
Pendant ce trajet silencieux, je jetais de temps en temps des regards à Wendy. Elle regardais par la fenêtre le paysage défilé sous ses yeux, et elle continuais de trembler encore. Pour la calmer je déposais ma main sur ses cuisses, elle me regarda puis me fit un faible sourire. Comment arrivait elle à rire et à sourire à chaque fois? Je me le suis toujours demandé, les seuls fois où je lui souriais s'étaient des sourires amères. Le trajet c'était donc passé dans un silence et calme assourdissant.
Une fois arrivé je lui montrai ça chambre, et elle couru immédiatement sous la douche. Pendant qu'elle prenait sa douche je profitai pour lui apporter quelques t-shirt -en espérant qu'il ne sont pas trop grand-, et je partis voir si toute la maison était verrouillée. Depuis que cette voiture se faisait de plus en plus présente, j'ai commencé par prendre l'habitude de vérifier ma sécurité. De plus ce qui s'est passé aujourd'hui avec Wendy justifie encore plus mon inquiétude. Après avoir finis ma ronde, je pris la direction de la chambre à ma charmante invitée. Je toquai doucement à la porte puis elle m'ordonna de rentrer. Putain elle était magnifique sous cet énorme t-shirt blanc, je distinguais déjà ses fines jambes et ses seins fermes à travers le tissu. Elle était assise sur le lit, et je voyais l'intensité de son regard triste me traverser- ce qui me faisais mal aussi de la voir ainsi. Je venais lui donner quelques anti douleurs, j'imaginais qu'elle avait mal partout:
- Hey !
- C'est pour moi? Dit elle en pointant du doigt les deux cachets et le verre d'eau que je tenais
- Oui c'est pour que tu pleures pas toute la nuit. Elle me pris juste les cachets et le verre des mains puis me sourit encore. C'était vraiment une habitude chez elle. Une fois fait elle se retourna sur le lit puis se coucha sans me dire un mot. Je la lassai puis repartis dans ma chambre. Une fois sous mon jet d'eau je repensais encore à la vu de Wendy plutôt. Quand je ressorti de la douche, je croyais au début que c'était un rêve. Wendy était dans ma chambre en train de dormir sur mon lit, mon centre de gravité lui ne voulais pas dormir, au contraire il gonflait et je n'avais qu'une envie lui donner satisfaction. Pour ne pas la réveiller, je me couchai tout doucement à ses côté, mais elle se retourna rapidement pour me faire face:
- Je n'arrive pas à dormir seule dans cette grande chambre, dit elle calmement
- Tu peux rester t'inquiète. Elle hésita un moment puis pris ma main et me dis:
- Merci, juste avant de poser ses lèvres sur les miennes pendant un bref instant. Elle recula puis m'observait, j'adorais l'effet de ses yeux sous la pré ombre.
- Il n'y a pas de quoi. C'était plus fort que moi, j'avais une seule envie lui faire du bien- et ce dans tous les sens du terme parlant. Je me plaçai directement entre ses jambes et me mis à l'embrasser fiévreusement, sous ses caresses je me sentais aimé et à l'aise. Elle gémissait tout en plongeant ses mains dans ma longue crinière. Je commençai à lui administré des baisers le long de son cou, et mon sexe ne cessait de grossir encore. Ses tétons pointaient d'excitation, cette fille me rendais fou. Mais je n'avais aucune envie d'aller loin aujourd'hui avec elle, alors je mis fin à notre petit moment très chaleureux. Elle semblait un peu déçue, mais très vite elle vient poser sa tête sur ma poitrine:
- Désolé chérie mais cette fois ci il faut que tu reprenne des forces, dis je doucement. Elle ne dit rien, mais se contenta de juste de s'endormir.
Pendant cette nuit je n'arrivais pas à dormir, je repensais encore à ce que Wendy avait subit. L'image d'elle avec son chignon décoiffé; son mascara étalé sur tout son visage ce même visage qui était terrifié, une Wendy qui pleurait à chaud larmes. Toutes ses pensées me foutaient la rage. Cette fille me faisais quelque chose, car je ne m'étais jamais préoccuper de la situation d'une personne. Jamais.

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Bonne lecture et pardon pour les fautes d'orthographes.
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