Quelle galère ! [Sebasciel] {FR}

Chapitre 2

Chapitre 2 : Un carnet.

May- Linn, Bardroy et Finnian étaient dans la cuisine. Chacun luttait contre le sommeil tant convoiter en attenant Sebastian, en tabt que majordome et chef des domestiques, c'était lui qui donnait les tâches journalière. Ils attendirent. Dix, quinze, vingt minutes, et Sebastian entra dans la pièce avec sa disserte empli de plats vides. Il rangea rapidement le tous dans l'évier avant de se tourner vers ses collègues.

" Finny, occupes- toi des roses dans la serre et n'apporte pas le poil a l'intérieur même si les fleures sont sur le point d'éclore. Bard, ce matin preparation de la pâte a pain et pas de cuisson au lance- flammes. May- Linn, tu fera la lessive de tous les draps des chambres et ce n'est pas trente mais trois doses de lessive. M.Tanaka, comment dire, ne vous dérangez pas, faites comme d'habitude., a peine ses ordres donnés chacun partit à son travail.
- Tout vas bien Sebastian ?, demanda Tanaka, ayant repris forme humaine.
- Oui, très bien. Ai-je l'air mal ?
- Que vous ayez pris vingt minutes de retard, prouve qu'il y a un problème. 
- Mmh, ce n'est rien. Cette nuit nous avons eu juste beaucoup de visite..
- Le majordome de la maison Phantomhive se doit d'être toujours rigoureux, en toutes circonstances. "

Merci veille homme qui n'as pas protéger mon actuel maître quand il était enfant, c'était une très jolie morale. Voici ce que pensa Sebastian, mais il se contenta de répondre un simple " certes" avant de terminer son travail inachevé de la veille.

Lorsque 15h sonna, le majordome se fit convoquer dans le bureau de son maître. Le diable abandonna donc ses ustensiles de cuisine et se dirigea dans la pièce demandée. Il frappa trois fois à la porte avant d'entrer. Dans la pièce se trouvait les quatre domestiques ainsi que M.Lau et Mlle.Ran- Mao, enfin son maître trônait sur son fauteuil en cuir derrière son bureau. Bureau sur lequel était posé la chambre noire et la photo. Comprenant la situation, Sebastian se prépara psychologiquement à ce qui allai suivre.

" Eh bien, c'est l'heure de vérité Sebastian., commença le comte, un sourire narquois aux lèvres. Mais avant cela, il tourna son regard vers Lau. Puis- je savoir ce que tu fais ici Lau.
- Eh bien, quoi ? Ran- Mao et moi nous avons aidez à prendre cette photo.
- Vos tentatives ont été inutiles, mais bon soit. Sebastian approches. Et racontes-nous tous., dit sournoisement le comte en poussant la photo vers son majordome. "

Le majordome se pencha sur la photo. On y voyait Sebastian droit comme un piquet ainsi qu'une jeune femme qui, de sa main, formait un ciseaux avec son index et son majeur, qu'elle plaçait de façon a encadrait son œil droit. Lui, avait une expression stoïque tandis qu'elle souriait à pleines dents. L'habit du majordome était impeccable et tirer à quatre épingles capillairement parlant, alors que la femme portait simplement une robe noire moulante arrivant au milieu des cuisses et ayant un décolleté plongeant jusqu'au dessous de son nombril, le tout accompagné de cuissardes a hauts talons. Le majordome observa la photo quelques instants avant de se redresser l'air songeur. Pendant ce moment de réflexion, les domestiques ainsi que Lau et Ran- Mao s'approchèrent pour voir la photo aussi. Bien sûr, les seuls a trouver cette tenue raisonnable furent Lau et Ran-Mao. Ciel la trouvait gênante mais sans plus , Bardroy et May- linn firent une nosebleed et Finnian se demanda simplement si de tel vêtements exister vraiment.Le comte finit par s'impatienter.

" Alors ?, demanda Ciel.
- Je n'ai pas de souvenir de cette jolie jeuune femme Monsieur.
- Vous êtes sérieux Sebastian ?! Une donzelle comme celle-ci ? vous n'en avez aucuns souvenirs ?
- En revanche ces longs cheveux gris et ce sourire, ne vous rappellent-ils rien monsieur ?
- Ce sont tes souvenirs pas les miens je te rappelles., soupira le jeune démon avant de poser ses yeux sur le femme pour confirmer les dires de son majordome.
- Je suis absolument désolé monsieur, mais ma mémoire refuse de fonctionner.
- Bon, eh bien nous y reviendrons plus tard dans ce cas.
- Vous n'allez pas laisser tomber ?, demanda May- linn surprise.
- Bien sûr que non voyons. Je veux tout savoir de mes domestique et donc savoir qui est cette femme. Vous pouvez disposer. "