Destin d'une inconnue (Oc X Livai)

~Chapitre Bonus~

Hey~ J'aimerais déjà vous remercier de lire ce chapitre ! Il faut savoir que c'est un lemon donc je déconseille les -14 ans de lire ! De plus, c'est mon premier, donc soyez indulgents. Bien sur, il n'est en aucun cas obligatoire de lire ce chapitre pour comprendre la suite de l'histoire, donc si vous n'aimez pas les lemon vous pouvez passer directement au chapitre suivant sans crainte. Sinon, bonne lecture !

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Dans un bruit mouillé, Livai sépara ses lèvres de celles d'Alpha. Son regard parcouru la cadette, il détaillait ses formes, une lueur de désir dans le regard. Cela ne passa pas inaperçue pour Alpha qui, joueuse, se mordit la lèvre d'un geste séducteur tout en se cambrant un peu plus. Livai déglutit, posant une main sur la joue de la jeune fille et l'autre sur sa hanche. 

Il monta sur le lit où elle s'allongea et se mit au dessus d'elle. Ne faisant preuve d'aucune résistance, Alpha planta son regard vairon dans celui métallique du caporal. Une fois de plus, leur bouche se réunirent, se mouvant l'une contre l'autre passionnément. Les mains de Livai se firent de plus en plus curieuse, descendant jusqu'en bas du t-shirt de la cadette pour passer en dessous et découvrir sa peau nue. Un petit gémissement échappa des lèvres de la blanche face à ce nouveau contact. Le caporal ne put réprimer un sourire, embrassant toujours son âme soeur. Il fit remonter ses mains avec une lenteur insupportable, ce qui causa à la jeune fille de mordiller la lèvre de Livai pour le réprimander. 

Lorsque ses mains prirent place sur la poitrine d'Alpha, elle eut un soupire de plaisir, et Livai n'y resta pas insensible. Son érection frottait contre la jambe de la cadette qui en profitait même pour le taquiner en bougeant sa jambe pour accentuer la friction. Un gémissement rauque sortit de la bouche de Livai qui enfouit son visage dans le cou de la jeune fille pour y déposer des baisers. Cependant, il ne comptait pas s'arrêter à de simples baisers concernant cette endroit. Possessif, il se mit à lui faire un suçon pour que la marque rosée signale à ses potentiels rivaux qu'elle était sienne. Ce geste arracha un sourire à la jeune fille.

Alpha : On est possessif ?

Le caporal grogna pour toute réponse. Il se redressa pour enlever son t-shirt et un rictus apparut sur son visage en voyant les yeux d'Alpha qui le dévorait. Hésitante, elle approcha ses mains de son torse. Elle les posa dessus et laissa ses doigts tracer les courbes virils de Livai, lui procurant des frissons. Il finit par écarter ses mains pour lui retirer son haut, ainsi que son soutien-gorge. 

Sa poitrine rebondit devant le visage de Livai, et Alpha vira au cramoisie. Le caporal, quant à lui, lécha ses lèvres sensuellement avant de déposer sa bouche sur l'extrémité d'un de ses seins. Alpha se cambra contre son caporal, la respiration haletante. Se faisant, elle accentuait le frottement de sa jambe contre l'entre-jambe de son homme qui se retint de la prendre tout de suite.

Alors que sa langue jouait avec le téton durcis de la demoiselle, le mordillant, la main de Livai se posa sur son autre sein et taquinait l'extrémité en le pinçant et le maltraitant légèrement ce qui excitait davantage la jeune fille qui avait la main posée sur sa bouche pour contenir tant bien que mal ses gémissements. Mais cela frustra Livai qui, de sa main libre, saisit les poignets d'Alpha pour les plaquer contre le matelas, l'empêchant de retenir ses couinements.

Livai : Laisse moi entendre ta voix...

Cela ne mit que peu de temps avant que les gémissements sensuels d'Alpha n'atteigne les oreilles du caporal. Ce son semblait comme une musique pour lui, il aurait pu passer des journées entières à l'écouter sans se lasser. Après avoir fais rougir ses seins, il descendit, faisant glisser sa langue qui laissait une légère ligne de salive, jusqu'à atteindre le bas de la jeune fille. D'une main experte, il lui retira son bas et en profita pour retirer le sien également.

Ils étaient à présent tout les deux nus, une légère gêne s'installant. Mais elle fut vite remplacée par un sentiment de chaleur qui prenait place en eux, du à l'amour qu'ils se portaient. Doucement, Livai inséra un doigt dans l'entre de la soldate qui retint sa respiration, tendue. Ne voulant pas rester sans rien faire, elle empoigna son membre et entama de langoureux vas et viens, causant au caporal d'émettre des gémissements rauques alors qu'il l'embrassait, faisant jouer leur langue entre elles. 

Le mouvement d'Alpha autour du membre de Livai s'accéléra et il grogna, plantant son regard métallique dans le sien. Il ne pouvait plus tenir, alors il demanda son consentement une dernière fois pour être sure. La jeune fille hocha la tête, un sourire prenant place sur son visage.

Ne pouvant attendre plus, Livai s'inséra quelque peu violemment en elle ce qui la fit se cambrer de douleur et de plaisir. Il saisit ses seins de ses deux mains et joua avec les tétons en entamant des vas et viens profonds et rapide. Les deux haletaient, Alpha passa ses bras dans le dos du caporal et griffa son dos dû à l'intense vague de plaisir qui avait pris place en elle. Mais il ne se plaint pas, il savait qu'il était rude avec elle mais ça leur plaisir à tout les deux.

Livai allait de plus en plus fort, leur corps s'enlaçait et se procurait du plaisir mutuellement. Les gémissements d'Alpha avait emplis la pièce, le caporal eut même un rictus en pensant au fait que leurs voisins devaient avoir du mal à dormir. Sentant qu'ils arrivaient à bout, le caporal plongea son visage dans le cou de la jeune fille et enlaça leur main ensemble.

Livai : Dis mon nom.

Alpha : Li-Livai...

Livai : Encore.

Alpha : Livai !

Au cri de plaisir d'Alpha, le caporal donna un dernier puissant coup de rein qui marquait la jouissance des deux partenaires. La sueur coulait le long de son front alors qu'il se laissa tomber sur le coté, le dos d'Alpha contre son torse. Il l'attira vers lui en plaçant sa main sur sa hanche d'un geste à la fois doux et ferme.

Livai : Je t'aime, Alpha.

Alpha : Je t'aime, Livai.

Un sourire sur leurs lèvres, ils savaient que la nuit n'était pas terminée. Et leurs ébats durèrent jusqu'au petit jour, causant des cernes aux soldats voisins.